Et on roule!
Après quelques directives de M. Yanagawa, je me suis enfin assis au volant de la i MiEV, que j'ai trouvée aussi simple à démarrer que n'importe quel autre véhicule. Avec la clé intelligente à proximité, il suffit de tourner le contact pendant trois secondes. Un bip sonore nous confirme que la voiture est prête à fonctionner.
Un levier sur la console, semblable à celui d'une boîte automatique ordinaire, permet de sélectionner le mode approprié: Drive, Reverse, Eco et Brake. J'ai engagé le premier et retiré mon pied de la pédale de frein. Premier constat : la i MiEV décolle comme le fait tout véhicule muni d'une automatique. M. Yanagawa nous a raconté qu'un gros travail d'ingénierie est allé dans la reproduction du comportement routier d'une automobile conventionnelle.
Une légère pression sur l'accélérateur m'a permis d'atteindre graduellement la même vitesse que les véhicules qui m'entouraient -- tous alimentés au pétrole, bien sûr. La sensation la plus déroutante que j'ai éprouvée est probablement la poussée silencieuse et sans effort qui accompagne le mouvement de la pédale de droite. La i MiEV peut atteindre un bon rythme avec une vigueur impressionnante, et ce, sans faire de bruit ou de vibration.
Plus j'enfonçais l'accélérateur, plus la petite Mitsubishi se montrait empressée. Le couple est transmis aux roues de façon solide et instantanée grâce aux propriétés mêmes du moteur électrique. Bien que la pédale soit sensible en raison de la commande électronique, la réponse de l'accélérateur est constante et prévisible, ce qui fait de la i MiEV une voiture au comportement doux et agréable.
Le freinage est précis, progressif et facile à moduler, ce qui n'est pas toujours le cas avec les systèmes de freinage régénérateur. Lors de longues descentes, le levier peut être placé en position «Brake»; on profite alors d'une certaine retenue et la batterie, elle, se recharge.
Pratique et généreuse
Nonobstant sa nature électrique, la Mitsubishi i MiEV est géniale en ce sens que son format lui permet de se faufiler aisément dans le trafic congestionné et de se garer dans les espaces les plus restreints. Pourtant, elle est assez grande pour accueillir quatre adultes et une quantité raisonnable de bagages. D'ailleurs, le dégagement pour les jambes et la tête à l'avant est plus généreux que ce à quoi je m'attendais. Les dossiers arrière, eux, se rabattent à plat pour accroître considérablement le volume de chargement.
Après quelques directives de M. Yanagawa, je me suis enfin assis au volant de la i MiEV, que j'ai trouvée aussi simple à démarrer que n'importe quel autre véhicule. Avec la clé intelligente à proximité, il suffit de tourner le contact pendant trois secondes. Un bip sonore nous confirme que la voiture est prête à fonctionner.
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| Un gros travail d'ingénierie est allé dans la reproduction du comportement routier d'une automobile conventionnelle. |
Un levier sur la console, semblable à celui d'une boîte automatique ordinaire, permet de sélectionner le mode approprié: Drive, Reverse, Eco et Brake. J'ai engagé le premier et retiré mon pied de la pédale de frein. Premier constat : la i MiEV décolle comme le fait tout véhicule muni d'une automatique. M. Yanagawa nous a raconté qu'un gros travail d'ingénierie est allé dans la reproduction du comportement routier d'une automobile conventionnelle.
Une légère pression sur l'accélérateur m'a permis d'atteindre graduellement la même vitesse que les véhicules qui m'entouraient -- tous alimentés au pétrole, bien sûr. La sensation la plus déroutante que j'ai éprouvée est probablement la poussée silencieuse et sans effort qui accompagne le mouvement de la pédale de droite. La i MiEV peut atteindre un bon rythme avec une vigueur impressionnante, et ce, sans faire de bruit ou de vibration.
Plus j'enfonçais l'accélérateur, plus la petite Mitsubishi se montrait empressée. Le couple est transmis aux roues de façon solide et instantanée grâce aux propriétés mêmes du moteur électrique. Bien que la pédale soit sensible en raison de la commande électronique, la réponse de l'accélérateur est constante et prévisible, ce qui fait de la i MiEV une voiture au comportement doux et agréable.
Le freinage est précis, progressif et facile à moduler, ce qui n'est pas toujours le cas avec les systèmes de freinage régénérateur. Lors de longues descentes, le levier peut être placé en position «Brake»; on profite alors d'une certaine retenue et la batterie, elle, se recharge.
Pratique et généreuse
Nonobstant sa nature électrique, la Mitsubishi i MiEV est géniale en ce sens que son format lui permet de se faufiler aisément dans le trafic congestionné et de se garer dans les espaces les plus restreints. Pourtant, elle est assez grande pour accueillir quatre adultes et une quantité raisonnable de bagages. D'ailleurs, le dégagement pour les jambes et la tête à l'avant est plus généreux que ce à quoi je m'attendais. Les dossiers arrière, eux, se rabattent à plat pour accroître considérablement le volume de chargement.
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| La Mitsubishi i MiEV est géniale en ce sens que son format lui permet de se faufiler aisément dans le trafic congestionné. |