Mitsubishi a apporté un grand soin à la convivialité des commandes. Que ce soit la radio, les rhéostats de chauffage et de ventilation ou les boutons montées dans les portes, on a la sensation que c'est du solide. Toutefois, le panneau de plastique qui recouvre les cadrans se réfléchit dans le pare-brise, ce qui est dommage. De plus, l'affichage à lettrage rouge au-dessus de la radio est quasi impossible à consulter si l'on porte des lunettes solaires. « Personne n'est parfait, quand même... non ? »
L'ordinateur de bord, dont l'affichage est placé entre l'indicateur de vitesse et le compte-tours, est très pratique et donne la consommation moyenne de carburant. Par contre, je me suis aperçu assez rapidement que la moyenne se réinitialisait toute seule. En fouillant dans le guide du propriétaire de la voiture, on indique que la moyenne s'efface chaque fois qu'on arrête le moteur de la Lancer durant quatre heures ou plus.
On peut passer à un mode traditionnel (réinitialiser la moyenne manuellement), mais je n'ai pas réussi à me rendre dans le menu pour le faire, et ce, même si j'ai suivi les instructions du guide. Et comme je n'ai pas inventé la patience, j'ai jeté l'éponge.
Une autre chose qui m'embête... le coffre souffre du même problème que celui de la Mazda3 : la forme de cette berline fait en sorte que le couvercle du coffre est très court. Par conséquent, l'ouverture est assez étroite. Donc, même si le coffre est aussi grand que les Civic, Sentra, Cobalt/G5 et compagnie, on ne peut y insérer de gros objets. Si c'est là votre besoin, procurez-vous un Outlander.
Une motorisation familière
Je n'ai pas eu besoin de me rendre bien loin pour m'apercevoir que la Lancer a reçu le même moteur et la même boîte de vitesses que la Dodge Caliber. Eh oui, le 4-cylindres de 2 litres qui génère 152 chevaux a été développé par Mitsubishi de concert avec Chrysler et Hyundai. La même chose s'applique à la boîte à variation continue, la seule option offerte avec la Lancer ES.
Je dois dire que le niveau de bruit du moteur est moins élevé dans la Mitsubishi. Cependant, la boîte CVT a la fâcheuse habitude de s'installer à 6 000 tr/min durant les accélérations à plein régime et d'y rester jusqu'à ce qu'on lève le pied parce qu'on en a ras le bol du bruit ou qu'on a l'impression que le moteur va sauter. Accélérer de 0 à 100 km/h requiert environ 9,5 secondes.
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| La disposition des différents instruments a été bien pensée. |
L'ordinateur de bord, dont l'affichage est placé entre l'indicateur de vitesse et le compte-tours, est très pratique et donne la consommation moyenne de carburant. Par contre, je me suis aperçu assez rapidement que la moyenne se réinitialisait toute seule. En fouillant dans le guide du propriétaire de la voiture, on indique que la moyenne s'efface chaque fois qu'on arrête le moteur de la Lancer durant quatre heures ou plus.
On peut passer à un mode traditionnel (réinitialiser la moyenne manuellement), mais je n'ai pas réussi à me rendre dans le menu pour le faire, et ce, même si j'ai suivi les instructions du guide. Et comme je n'ai pas inventé la patience, j'ai jeté l'éponge.
Une autre chose qui m'embête... le coffre souffre du même problème que celui de la Mazda3 : la forme de cette berline fait en sorte que le couvercle du coffre est très court. Par conséquent, l'ouverture est assez étroite. Donc, même si le coffre est aussi grand que les Civic, Sentra, Cobalt/G5 et compagnie, on ne peut y insérer de gros objets. Si c'est là votre besoin, procurez-vous un Outlander.
Une motorisation familière
Je n'ai pas eu besoin de me rendre bien loin pour m'apercevoir que la Lancer a reçu le même moteur et la même boîte de vitesses que la Dodge Caliber. Eh oui, le 4-cylindres de 2 litres qui génère 152 chevaux a été développé par Mitsubishi de concert avec Chrysler et Hyundai. La même chose s'applique à la boîte à variation continue, la seule option offerte avec la Lancer ES.
Je dois dire que le niveau de bruit du moteur est moins élevé dans la Mitsubishi. Cependant, la boîte CVT a la fâcheuse habitude de s'installer à 6 000 tr/min durant les accélérations à plein régime et d'y rester jusqu'à ce qu'on lève le pied parce qu'on en a ras le bol du bruit ou qu'on a l'impression que le moteur va sauter. Accélérer de 0 à 100 km/h requiert environ 9,5 secondes.
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| Le moteur à 4 cylindres produit 152 chevaux et s'acquitte bien de sa tâche. |