Puisque la voiture est une traction, il est normalement difficile pour le train avant de gérer autant de puissance et de garder la voiture dans la trajectoire voulue. Par contre, Nissan a vraiment travaillé à minimiser l'effet de couple. A-t-elle réussi ? Oui, en partie. En pleine accélération, il faut quand même tenir le volant fermement; autrement, c'est moins dramatique que dans l'ancienne génération de l'Altima et moins intrusif que dans la Maxima.
Le coupé Altima offre une belle tenue de route et une conduite dynamique. La direction est précise et directe, et la voiture est maniable. Toutefois, le roulement est un peu sec, puisque la suspension sportive cogne dur assez facilement. Mais en général, elle est très plaisante à conduire.
Habitacle serrée mais confortable
L'intérieur de l'Altima est très bien aménagé et propose des matériaux de bonne qualité. On trouve facilement une position de conduite qui nous convient, et le volant télescopique contribue à cet égard. Le tableau de bord est joli avec ses accents argentés qui ajoutent un peu de contraste.
Il ne faut pas s'attendre à asseoir quatre adultes dans le coupé Altima. Les sièges arrière sont très petits, et, même si on les réserve aux enfants, grimper à l'arrière pour les aider à boucler leur ceinture reste une opération pénible. Il s'agit d'une voiture axée sur le conducteur, après tout : si vous voulez transporter plus qu'un passager, procurez-vous la berline.
Le coffre est assez grand, mais son ouverture n'est pas très large : les gigantesques feux de freinage prennent beaucoup de place. Au moins, le seuil de chargement se trouve à la hauteur du pare-chocs.
Si le coupé Altima profite d'une carrosserie de rêve, il affiche toutefois un gros défaut : la visibilité vers l'arrière est très déficiente. Les angles morts latéraux sont importants, et il faut faire preuve de prudence quand on change de voie sur l'autoroute. De plus, la caméra de recul, offerte en option, est appréciée, mais il est quand même ironique de constater qu'elle est aussi utile que dans le monstrueux Armada...
Le coupé Altima offre une belle tenue de route et une conduite dynamique. La direction est précise et directe, et la voiture est maniable. Toutefois, le roulement est un peu sec, puisque la suspension sportive cogne dur assez facilement. Mais en général, elle est très plaisante à conduire.
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| L'habitacle est confortable, mais certaines personnes s'y sentiront un peu à l'étroit. |
Habitacle serrée mais confortable
L'intérieur de l'Altima est très bien aménagé et propose des matériaux de bonne qualité. On trouve facilement une position de conduite qui nous convient, et le volant télescopique contribue à cet égard. Le tableau de bord est joli avec ses accents argentés qui ajoutent un peu de contraste.
Il ne faut pas s'attendre à asseoir quatre adultes dans le coupé Altima. Les sièges arrière sont très petits, et, même si on les réserve aux enfants, grimper à l'arrière pour les aider à boucler leur ceinture reste une opération pénible. Il s'agit d'une voiture axée sur le conducteur, après tout : si vous voulez transporter plus qu'un passager, procurez-vous la berline.
Le coffre est assez grand, mais son ouverture n'est pas très large : les gigantesques feux de freinage prennent beaucoup de place. Au moins, le seuil de chargement se trouve à la hauteur du pare-chocs.
Si le coupé Altima profite d'une carrosserie de rêve, il affiche toutefois un gros défaut : la visibilité vers l'arrière est très déficiente. Les angles morts latéraux sont importants, et il faut faire preuve de prudence quand on change de voie sur l'autoroute. De plus, la caméra de recul, offerte en option, est appréciée, mais il est quand même ironique de constater qu'elle est aussi utile que dans le monstrueux Armada...
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| La ceinture de caisse élevée limite la visibilité arrière. |