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Nissan Maxima 2009 : premières impressions

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Le meilleur taux d'intérêt
Rob Rothwell
Tout comme son prédécesseur, le moteur dirige la puissance vers les roues avant par l'entremise d'une boîte à variation continue (CVT) sophistiquée. Cette boîte dispose de quatre modes au choix du conducteur ainsi que des leviers de sélection de rapports montés au volant. Après une journée de conduite sur les autoroutes et les routes secondaires, je dois changer mon opinion face aux boîtes CVT, grâce à la performance exemplaire de cette boîte. En mode manuel, elle imite la fonctionnalité d'une boîte traditionnelle à 6 rapports, et ce, efficacement. Autrement, elle accomplit son travail sans problème.

La boîte dispose de quatre modes au choix du conducteur ainsi que des leviers de sélection montés au volant.

Quand on a besoin de puissance pour dépasser, la boîte CVT rétrograde instantanément et place le moteur en plein dans son apogée, lançant la Maxima dans une accélération forte et constante, et ce, sans effet de couple, si typique dans les voitures puissantes à traction. L'absence de l'effet de couple est un bonus, et je ne m'y attendais pas. Les générations précédentes de la Maxima ont tourmenté leurs conducteurs avec ce problème de façon excessive. Donc, découvrir plus de puissance aux roues avant sans l'effet de couple est un plaisir.

Qualité de roulement améliorée
Mais le plaisir n'est pas limité à l'absence de l'effet de couple. La qualité du roulement dans la nouvelle Maxima de Nissan est remarquable, étant donné la grande compétence de la tenue de route. Les ingénieurs de Nissan ont réussi à créer un juste milieu entre ces deux dynamiques juxtaposées.

Une grande partie de la qualité de roulement peut être attribuée à une structure et à une plateforme plus rigides. Dans toutes les mesures de rigidité, la Maxima 2009 surpasse les cotes obtenues par l'ancien modèle. Par conséquent, les bosses, les nids-de-poule et autres dommages routiers sont absorbés par la suspension à 4 roues indépendantes plutôt que d'être transmis dans la cabine en bruits et en réverbération.

Même si notre voyage d'une journée ne nous a pas permis de passer du temps sur une piste, les ingénieurs ont calibré la tenue de route de la Maxima sur le fameux circuit Nürburgring, en Allemagne. Je crois qu'ils n'ont pas perdu leur temps là-bas. La direction est précise, et le roulis de caisse est inexistant. En dérive, on sent le véhicule bien connecté à la route, il est stable et inspire merveilleusement confiance.

Dans toutes les mesures de rigidité, la Maxima 2009 surpasse les cotes obtenues par l'ancien modèle.
Rob Rothwell
Rob Rothwell
Expert automobile
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