PDK intelligente
Afin d’économiser l’essence, le mode standard de la PDK fait tourner les gros engrenages afin de minimiser le régime du moteur et optimiser la consommation, ce qui amène parfois le moteur à tourner trop lentement par rapport à la vitesse de la voiture.
En actionnant le mode Sport, on reconfigure la boîte de vitesses pour que le moulin soit prêt à réagir immédiatement. Ce qui n’est pas mal, mais à mon avis un réglage entre les deux modes améliorerait la dynamique de conduite en ville.
Malgré la tendance de la PDK à maintenir le régime dans les bas fonds, elle a la capacité phénoménale d’interpréter notre degré d’agressivité au volant et de s’adapter en conséquence. Ainsi, quand on attaque un carrousel avec enthousiasme, la PDK rétrograde et se prépare pour une sortie de virage fougueuse.
Pour ceux qui connaissent l’émission M.A.S.H., la PDK s’apparente à Radar O’Reilly. On dirait qu’elle sait ce que nous devons faire avant nous… comme il se doit pour une option à 4 930 $! Or, cette boîte ne représente qu’une partie de la magie de la GTS.
Prendre les virages d’assaut
Ou plutôt, chercher les virages. Sillonnant les routes de campagne, je cherchais effectivement des virages que je pouvais prendre d’assaut. Des fois, tout s’harmonise : la météo, la voiture et la route. Dans notre cas, le soleil brillait, nos cheveux étaient au vent et nous admirions le superbe paysage sur un chemin de campagne qui serpentait élégamment, plongeait puis remontait. Une spectaculaire harmonie de la route.
Couronnant le tout, la direction directe, communicative et compulsivement précise de la GTS. J’étais émerveillé par la justesse avec laquelle elle répondait à mes sollicitations et de la confiance qu’elle inspirait à mesure que j’avalais les virages, en redemandant toujours plus, comme un toxicomane.
Bon, je me laisse emporter un peu avec l’histoire de toxicomane, mais vous comprenez où je veux en venir!
Mener à bonne fin
La GTS s’est avérée une magnifique compagne de route pour cette échappée père/fils. Alors que le capot ne dissimule pas un vaste coffre, il y avait tout de même assez de place pour quelques sacs avec nos trucs pour la nuit ainsi qu’un ordinateur portable, mais rien d’autre. Les sièges, par contre, offraient un incroyable soutien et se sont avérés remarquablement confortables au fil des heures.
Oui, ce véhicule coûte cher (144 000 $ pour ma version), et il a des défauts, en matière d’espace et de raffinement de fonctionnement, par exemple, mais sous un astre favorable, il offre une expérience à couper le souffle.
Afin d’économiser l’essence, le mode standard de la PDK fait tourner les gros engrenages afin de minimiser le régime du moteur et optimiser la consommation, ce qui amène parfois le moteur à tourner trop lentement par rapport à la vitesse de la voiture.
En actionnant le mode Sport, on reconfigure la boîte de vitesses pour que le moulin soit prêt à réagir immédiatement. Ce qui n’est pas mal, mais à mon avis un réglage entre les deux modes améliorerait la dynamique de conduite en ville.
Malgré la tendance de la PDK à maintenir le régime dans les bas fonds, elle a la capacité phénoménale d’interpréter notre degré d’agressivité au volant et de s’adapter en conséquence. Ainsi, quand on attaque un carrousel avec enthousiasme, la PDK rétrograde et se prépare pour une sortie de virage fougueuse.
Pour ceux qui connaissent l’émission M.A.S.H., la PDK s’apparente à Radar O’Reilly. On dirait qu’elle sait ce que nous devons faire avant nous… comme il se doit pour une option à 4 930 $! Or, cette boîte ne représente qu’une partie de la magie de la GTS.
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| Oui, ce véhicule coûte cher (144 000 $ pour ma version) mais il offre une expérience à couper le souffle. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
Prendre les virages d’assaut
Ou plutôt, chercher les virages. Sillonnant les routes de campagne, je cherchais effectivement des virages que je pouvais prendre d’assaut. Des fois, tout s’harmonise : la météo, la voiture et la route. Dans notre cas, le soleil brillait, nos cheveux étaient au vent et nous admirions le superbe paysage sur un chemin de campagne qui serpentait élégamment, plongeait puis remontait. Une spectaculaire harmonie de la route.
Couronnant le tout, la direction directe, communicative et compulsivement précise de la GTS. J’étais émerveillé par la justesse avec laquelle elle répondait à mes sollicitations et de la confiance qu’elle inspirait à mesure que j’avalais les virages, en redemandant toujours plus, comme un toxicomane.
Bon, je me laisse emporter un peu avec l’histoire de toxicomane, mais vous comprenez où je veux en venir!
Mener à bonne fin
La GTS s’est avérée une magnifique compagne de route pour cette échappée père/fils. Alors que le capot ne dissimule pas un vaste coffre, il y avait tout de même assez de place pour quelques sacs avec nos trucs pour la nuit ainsi qu’un ordinateur portable, mais rien d’autre. Les sièges, par contre, offraient un incroyable soutien et se sont avérés remarquablement confortables au fil des heures.
Oui, ce véhicule coûte cher (144 000 $ pour ma version), et il a des défauts, en matière d’espace et de raffinement de fonctionnement, par exemple, mais sous un astre favorable, il offre une expérience à couper le souffle.
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