Le plus incroyable avec cette luxueuse berline, c’est qu’elle conserve toutes les qualités d’une Porsche. D’ailleurs, une fois au volant, on profite de la même position de conduite et du même point de vue que dans la 911 Carrera. Sur la route, la puissance et la maniabilité époustouflantes nous rappellent constamment qu’on joue avec un bolide portant l’emblème à l’étalon allemand.
Toutes les versions au menu héritent d’un moteur V8 de 4,8 litres couplé à une transmission PDK à double embrayage et à sept rapports. La Panamera S (aussi disponible avec une boîte manuelle à six rapports) atteint les 100 km/h en 5,4 secondes; la Turbo que j’ai essayée, en 4,2 secondes! Je me suis trouvée une cour de stationnement déserte afin de pouvoir utiliser le système de contrôle du décollage. Encore une fois : wow! Maintenant, je regrette de ne pas avoir eu l’occasion de conduire cette bombe sur une piste.
La version S génère 400 chevaux et réalise une pointe de 283 km/h. La Turbo, de son côté, développe 500 chevaux et dépasse les 300 km/h. La conduite en milieu urbain se révèle agréable, mais sans plus. Après tout, la Panamera nous supplie continuellement de rouler à fond, chose impossible en ville. Je dois reconnaître qu’elle se faufile très bien à travers la circulation malgré son gabarit. De même, les manœuvres de stationnement ne posent pas problème… à condition d’utiliser la caméra de recul!
La conduite sur l’autoroute m’a comblée de joie. En enfonçant davantage l’accélérateur et en enchaînant les rapports tout en douceur, les dépassements se comparent à un jeu d’enfant. L’habitacle demeure suffisamment silencieux pour qu’on puisse vraiment apprécier la balade, même si on peut difficilement s’empêcher de faire grogner la bête et de s’extasier en écrasant la pédale.
Fidèle à la compagnie de Stuttgart, la Panamera accorde beaucoup d’importance à la sécurité et à la tenue de route. Le système de gestion de la stabilité de Porsche (PSM) fait partie de l’équipement de série et aide à maximiser l’adhérence sur chaussée mouillée ou précaire. De plus, en cas de relâchement brusque de l’accélérateur, le système PSM prépare les freins par un pré-remplissage du circuit de freinage. Les plaquettes se rapprochent alors des disques pour que la puissance de freinage maximale soit atteinte plus rapidement en cas de sollicitation des freins. Advenant une urgence, la fonction d’assistance au freinage permet de livrer aussitôt la puissance nécessaire pour une décélération maximale.
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| La Panamera peut engloutir jusqu’à 432 litres de bagages (ou 1250 litres avec les sièges rabattus). |
Toutes les versions au menu héritent d’un moteur V8 de 4,8 litres couplé à une transmission PDK à double embrayage et à sept rapports. La Panamera S (aussi disponible avec une boîte manuelle à six rapports) atteint les 100 km/h en 5,4 secondes; la Turbo que j’ai essayée, en 4,2 secondes! Je me suis trouvée une cour de stationnement déserte afin de pouvoir utiliser le système de contrôle du décollage. Encore une fois : wow! Maintenant, je regrette de ne pas avoir eu l’occasion de conduire cette bombe sur une piste.
La version S génère 400 chevaux et réalise une pointe de 283 km/h. La Turbo, de son côté, développe 500 chevaux et dépasse les 300 km/h. La conduite en milieu urbain se révèle agréable, mais sans plus. Après tout, la Panamera nous supplie continuellement de rouler à fond, chose impossible en ville. Je dois reconnaître qu’elle se faufile très bien à travers la circulation malgré son gabarit. De même, les manœuvres de stationnement ne posent pas problème… à condition d’utiliser la caméra de recul!
La conduite sur l’autoroute m’a comblée de joie. En enfonçant davantage l’accélérateur et en enchaînant les rapports tout en douceur, les dépassements se comparent à un jeu d’enfant. L’habitacle demeure suffisamment silencieux pour qu’on puisse vraiment apprécier la balade, même si on peut difficilement s’empêcher de faire grogner la bête et de s’extasier en écrasant la pédale.
Fidèle à la compagnie de Stuttgart, la Panamera accorde beaucoup d’importance à la sécurité et à la tenue de route. Le système de gestion de la stabilité de Porsche (PSM) fait partie de l’équipement de série et aide à maximiser l’adhérence sur chaussée mouillée ou précaire. De plus, en cas de relâchement brusque de l’accélérateur, le système PSM prépare les freins par un pré-remplissage du circuit de freinage. Les plaquettes se rapprochent alors des disques pour que la puissance de freinage maximale soit atteinte plus rapidement en cas de sollicitation des freins. Advenant une urgence, la fonction d’assistance au freinage permet de livrer aussitôt la puissance nécessaire pour une décélération maximale.
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| Toutes les versions au menu héritent d’un moteur V8 de 4,8 litres couplé à une transmission PDK à double embrayage et à sept rapports. |