Maintenant, demandez-moi ce qui me fait vraiment rager à propos du Forester. N’importe qui au bureau vous le dira : « Matt déteste la boîte automatique à quatre vitesses ». Elle fonctionne bien, très bien. Mais… quatre vitesses. En 2011? Inacceptable. Inacceptable, parce que la boîte bourdonne à 60 km/h en quatrième, tourne à plus de 3 000 tours à 110 km/h, doit maintenir la troisième (ou la deuxième) ad vitam æternam pour accélérer, et tout ce tra la la fait grimper la consommation (modèle d’essai : 13 l/100 km). Inacceptable aussi parce que Subaru dispose d’une CVT parfaitement géniale. Larguez donc la quatre-vitesses, ça presse, on veut la CVT!
Une chose rachète le Forester : son puissant moteur Boxer H4 de 2,5 litres. Générant 170 ch et 174 pi-lb de couple, ce moteur a le punch nécessaire pour rescaper le Subaru d’entrée de jeu. Il s’essoufflera à régime élevé, ce que fait la boîte vu sa modeste dotation en engrenages.
Comme pour tout modèle Subaru, l’adhérence ne pose jamais problème. La célèbre transmission intégrale symétrique ne faillit jamais à la tâche. Qu’elle soit humide, enneigée ou glacée, la route n’aura jamais le dessus sur le Forester, à moins de le pousser trop fort. Et vous le saurez quand ce sera trop fort.
Malgré toutes les qualités mentionnées ci-dessus, qui font du Forester un produit attrayant, je n’en achèterais jamais un. Même histoire pour le Honda CR-V, qui ne m’attire pas du tout. Et n’oublions pas que le Toyota RAV4 n’est pas exactement un Prince charmant non plus…
Et puis il y a la question de la quatre-vitesses aussi.
Sans parler du prix. Frisant les 28 000 $, le Forester n’est pas donné. Exiger d’énormes primes pour une transmission intégrale, ça allait quand Subaru en avait le monopole. Aujourd’hui, tous les constructeurs jouent cette carte, et peu importe l’excellence du système de Subaru, il ne vaut pas le tribut. Cela s’applique aux autres machines japonaises. Les Coréennes, elles, ont un beau jeu.
Et voilà, je le déteste plus que je l’aime. Je me croise les doigts depuis novembre 2010 et l’avènement du concept Impreza. La pire des hypothèses pour Subaru? Que j’adore les prochains Impreza et Forester, mais pas le grand public…
Une chose rachète le Forester : son puissant moteur Boxer H4 de 2,5 litres. Générant 170 ch et 174 pi-lb de couple, ce moteur a le punch nécessaire pour rescaper le Subaru d’entrée de jeu. Il s’essoufflera à régime élevé, ce que fait la boîte vu sa modeste dotation en engrenages.
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| Générant 170 ch et 174 pi-lb de couple, ce moteur a le punch nécessaire pour rescaper le Subaru d’entrée de jeu. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
Comme pour tout modèle Subaru, l’adhérence ne pose jamais problème. La célèbre transmission intégrale symétrique ne faillit jamais à la tâche. Qu’elle soit humide, enneigée ou glacée, la route n’aura jamais le dessus sur le Forester, à moins de le pousser trop fort. Et vous le saurez quand ce sera trop fort.
Malgré toutes les qualités mentionnées ci-dessus, qui font du Forester un produit attrayant, je n’en achèterais jamais un. Même histoire pour le Honda CR-V, qui ne m’attire pas du tout. Et n’oublions pas que le Toyota RAV4 n’est pas exactement un Prince charmant non plus…
Et puis il y a la question de la quatre-vitesses aussi.
Sans parler du prix. Frisant les 28 000 $, le Forester n’est pas donné. Exiger d’énormes primes pour une transmission intégrale, ça allait quand Subaru en avait le monopole. Aujourd’hui, tous les constructeurs jouent cette carte, et peu importe l’excellence du système de Subaru, il ne vaut pas le tribut. Cela s’applique aux autres machines japonaises. Les Coréennes, elles, ont un beau jeu.
Et voilà, je le déteste plus que je l’aime. Je me croise les doigts depuis novembre 2010 et l’avènement du concept Impreza. La pire des hypothèses pour Subaru? Que j’adore les prochains Impreza et Forester, mais pas le grand public…
Subaru Forester 2.5X Commodité 2011
Subaru Forester 2.5X Commodité 2011
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