Évidemment, si vous craquez déjà pour tout produit Subaru, vous serez davantage intrigué par le tout nouveau moteur de l’Impreza 2012. Bien que pas « nouveau » en tant que tel (la 2005 l’a recelé pour la dernière fois avant que Subaru passe au 2,5-litres), le nouveau moteur boxer de 2,0 litres sème une certaine consternation. Certains y voient le retour à une des meilleures plates-formes de Subaru (surtout si on le reprend dans les WRX et STI 2012, dont on attend toujours le dévoilement), alors que d’autres le considèrent comme une sérieuse régression en matière de puissance.
Et ils auraient raison. Le nouveau moulin ne produira que 148 chevaux (près de 30 de moins que l’Impreza 2011) et 145 pi-lb (un autre recul de près de 30 pi-lb). Malgré cette perte de puissance, la course plus longue du moteur optimise le couple à bas et moyen régime. Ce qui permet aussi de donner un coup de pouce à l’environnement, toujours une préoccupation des constructeurs.
La cylindrée moindre engendre des performances moindres, certes, mais une consommation moindre aussi, le véritable enjeu cette année.
Avec ce nouveau quatre-cylindres à plat de 2,0 litres, Subaru estime pouvoir offrir les meilleures cotes de consommation de tout véhicule à transmission intégrale en Amérique du Nord. Les chiffres projetés? 7,5 litres aux 100 km en ville et 5,5 litres sur la route. Et le plus petit moteur n’en est pas l’unique responsable. D’abord lancée dans le Forester 2011, la boîte à variation continue Lineartronic permet au moteur de toujours fonctionner dans la plage la plus efficace.
Évidemment, l’Impreza 2012 héritera de série de la renommée transmission intégrale symétrique du constructeur, dont le rôle variera toutefois du modèle manuel au modèle avec CVT. Sur les versions manuelles, la transmission intégrale fera appel à un différentiel visco-coupleur central à glissement limité qui répartira la puissance également entre l’avant à l’arrière (50/50), alors que les modèles à CVT utiliseront un embrayage à variation continue à commande électronique qui adaptera activement la puissance distribuée à chaque roue tout en maintenant un rapport 60/40 sur les surfaces ordinaires.
L’Impreza se déclinera en trois versions, Touring, Sport et Limited, chacune dotée de son propre lot de raffinements et commodités.
Subaru ne prend peut-être pas le virage que la majorité souhaite… mais il s’agit du virage inévitable. En effet, au moment où les constructeurs du monde entier flirtent avec le 5 litres aux 100 km, Subaru se devait d’emboîter le pas.
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| Photo: Luc Gagné/Auto123.com |
Et ils auraient raison. Le nouveau moulin ne produira que 148 chevaux (près de 30 de moins que l’Impreza 2011) et 145 pi-lb (un autre recul de près de 30 pi-lb). Malgré cette perte de puissance, la course plus longue du moteur optimise le couple à bas et moyen régime. Ce qui permet aussi de donner un coup de pouce à l’environnement, toujours une préoccupation des constructeurs.
La cylindrée moindre engendre des performances moindres, certes, mais une consommation moindre aussi, le véritable enjeu cette année.
Avec ce nouveau quatre-cylindres à plat de 2,0 litres, Subaru estime pouvoir offrir les meilleures cotes de consommation de tout véhicule à transmission intégrale en Amérique du Nord. Les chiffres projetés? 7,5 litres aux 100 km en ville et 5,5 litres sur la route. Et le plus petit moteur n’en est pas l’unique responsable. D’abord lancée dans le Forester 2011, la boîte à variation continue Lineartronic permet au moteur de toujours fonctionner dans la plage la plus efficace.
Évidemment, l’Impreza 2012 héritera de série de la renommée transmission intégrale symétrique du constructeur, dont le rôle variera toutefois du modèle manuel au modèle avec CVT. Sur les versions manuelles, la transmission intégrale fera appel à un différentiel visco-coupleur central à glissement limité qui répartira la puissance également entre l’avant à l’arrière (50/50), alors que les modèles à CVT utiliseront un embrayage à variation continue à commande électronique qui adaptera activement la puissance distribuée à chaque roue tout en maintenant un rapport 60/40 sur les surfaces ordinaires.
L’Impreza se déclinera en trois versions, Touring, Sport et Limited, chacune dotée de son propre lot de raffinements et commodités.
Subaru ne prend peut-être pas le virage que la majorité souhaite… mais il s’agit du virage inévitable. En effet, au moment où les constructeurs du monde entier flirtent avec le 5 litres aux 100 km, Subaru se devait d’emboîter le pas.
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| Photo: Luc Gagné/Auto123.com |
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