Sous le capot
Le nouveau moteur de 2,0 litres conserve toujours la configuration à cylindres opposés à plat. Or, sa course plus longue que la normale et son plus petit alésage permettent de mieux remplir le cylindre et d’obtenir un peu plus de couple pour la même cylindrée. La tubulure d’admission, la culasse et l’échappement sont tous nouveaux aussi. Subaru avait pour objectif d’améliorer la consommation sans sacrifier les performances. La puissance s’élève donc à 148 ch et le couple à 145 pi-lb.
Le moteur consomme 8 % moins de carburant et produit moins d’émissions en vue de respecter les futures normes de 2016. Pour ce faire, les ingénieurs de Subaru ont déplacé le catalyseur à côté de la tubulure d’échappement tout en ajoutant divers dispositifs de réduction du frottement, dont des culbuteurs à galet, et ont amélioré la propagation de l’étincelle dans l’alésage réduit afin d’optimiser la combustion.
De plus, la température du système RGE (recirculation des gaz d’échappement) est désormais contrôlée par un dispositif utilisant du liquide de refroidissement. Ainsi, le moteur se réchauffe plus vite, ce qui réduit la quantité de polluants produits au démarrage.
De série sur toutes les versions, Subaru offrira une boîte manuelle à cinq rapports, dont on a modifié les rapports pour l’adapter au moteur de 2,0 litres. La boîte automatique à variation continue (CVT) de deuxième génération signée Subaru sera optionnelle sur toutes les versions également, alors que des palettes montées au volant seront incluses dans chaque version sauf la 2.0i de base.
Suspension
Si le diable se cache dans les détails, Subaru a réussi tout un exorcisme! La suspension consiste en des jambes MacPherson à l’avant avec bras inférieur en L et des bras à double triangulation à l’arrière, mais la ressemblance avec l’ancienne génération s’arrête là.
À l’avant, on a rajouté des ressorts et repensé la géométrie. On a retravaillé les bagues de la barre stabilisatrice et leurs fixations afin d’améliorer l’efficacité de la barre. À l’arrière, un nouveau berceau avec de nouvelles bagues retient plus fermement l’architecture à double triangulation, améliorant ainsi la tenue de route.
On a remplacé la servodirection par un dispositif électronique qui offre d’aussi bonnes sensations que le système précédent, tout en pesant moins et utilisant moins de chevaux.
Consommation
Par rapport à l’Impreza 2011, la silhouette plus aérodynamique a permis de diminuer la consommation de 8 %, et la nouvelle direction électrique ainsi que la réduction de poids (50 kg) d’un autre 4 %. Mais Subaru ne s’est pas arrêtée là. La configuration du moteur permet des économies additionnelles de 8 % et la nouvelle CVT de 10 % à elle seule.
On parle donc d’une consommation 30 % moins importante que la génération sortante. Transport Canada a fixé la cote de l’Impreza à 7,5 L/100 km en ville, 5,5 L sur la route et 6,6 L en moyenne.
Subaru a reporté le lancement canadien jusqu’en octobre.
Le nouveau moteur de 2,0 litres conserve toujours la configuration à cylindres opposés à plat. Or, sa course plus longue que la normale et son plus petit alésage permettent de mieux remplir le cylindre et d’obtenir un peu plus de couple pour la même cylindrée. La tubulure d’admission, la culasse et l’échappement sont tous nouveaux aussi. Subaru avait pour objectif d’améliorer la consommation sans sacrifier les performances. La puissance s’élève donc à 148 ch et le couple à 145 pi-lb.
Le moteur consomme 8 % moins de carburant et produit moins d’émissions en vue de respecter les futures normes de 2016. Pour ce faire, les ingénieurs de Subaru ont déplacé le catalyseur à côté de la tubulure d’échappement tout en ajoutant divers dispositifs de réduction du frottement, dont des culbuteurs à galet, et ont amélioré la propagation de l’étincelle dans l’alésage réduit afin d’optimiser la combustion.
De plus, la température du système RGE (recirculation des gaz d’échappement) est désormais contrôlée par un dispositif utilisant du liquide de refroidissement. Ainsi, le moteur se réchauffe plus vite, ce qui réduit la quantité de polluants produits au démarrage.
De série sur toutes les versions, Subaru offrira une boîte manuelle à cinq rapports, dont on a modifié les rapports pour l’adapter au moteur de 2,0 litres. La boîte automatique à variation continue (CVT) de deuxième génération signée Subaru sera optionnelle sur toutes les versions également, alors que des palettes montées au volant seront incluses dans chaque version sauf la 2.0i de base.
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| Photo: Charles Renny/Auto123.com |
Suspension
Si le diable se cache dans les détails, Subaru a réussi tout un exorcisme! La suspension consiste en des jambes MacPherson à l’avant avec bras inférieur en L et des bras à double triangulation à l’arrière, mais la ressemblance avec l’ancienne génération s’arrête là.
À l’avant, on a rajouté des ressorts et repensé la géométrie. On a retravaillé les bagues de la barre stabilisatrice et leurs fixations afin d’améliorer l’efficacité de la barre. À l’arrière, un nouveau berceau avec de nouvelles bagues retient plus fermement l’architecture à double triangulation, améliorant ainsi la tenue de route.
On a remplacé la servodirection par un dispositif électronique qui offre d’aussi bonnes sensations que le système précédent, tout en pesant moins et utilisant moins de chevaux.
Consommation
Par rapport à l’Impreza 2011, la silhouette plus aérodynamique a permis de diminuer la consommation de 8 %, et la nouvelle direction électrique ainsi que la réduction de poids (50 kg) d’un autre 4 %. Mais Subaru ne s’est pas arrêtée là. La configuration du moteur permet des économies additionnelles de 8 % et la nouvelle CVT de 10 % à elle seule.
On parle donc d’une consommation 30 % moins importante que la génération sortante. Transport Canada a fixé la cote de l’Impreza à 7,5 L/100 km en ville, 5,5 L sur la route et 6,6 L en moyenne.
Subaru a reporté le lancement canadien jusqu’en octobre.
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