Les avantages-clés concernent le raffinement et la sonorité. La puissance se déploie superbement en terrain accidenté, et la consommation se maintient dans des limites très acceptables. En effet, les conducteurs modestes devraient être en mesure d’enregistrer une consommation moyenne de 9 litres aux 100 km ou moins.
Au final, on ne perçoit pas de différence significative lors de conduite modérée. Le problème se produit lorsqu’on enfonce la pédale pour de vrai, la transmission à variation continue s’apparente à une boîte manuelle dont l’embrayage glisse terriblement. C’est pour cette raison qu’elle ne fait pas fureur auprès des amateurs de conduite. Heureusement, ces derniers peuvent opter pour une boîte manuelle à six vitesses.
Un transporteur obligeant
La plupart des acheteurs seront impressionnés par la volonté de l’Outback de se plier à pratiquement toutes les situations. On apprécie sa conduite confortable, sa vue dominante sur la route, sa bonne visibilité et son diamètre de braquage étonnamment serré. On se faufile facilement à travers la circulation, et il se laisse garer tout aussi facilement.
Sur l’autoroute, le bruit du vent et de la route reste bien atténué jusqu’à ce qu’on dépasse les 110 km/h. Il y règne une ambiance générale de détente et de confort dans la majorité des situations, et cette impression de désinvolture est accentuée par la configuration simple de la plupart des commandes.
La garde au sol relativement généreuse et la tenue de route stable assurée par la transmission intégrale inspirent confiance. Malgré la suspension haute et molle, l’arrière de l’Outback suit le devant au pas lors de manœuvres d’urgence. Les essais de freinage d’urgence se sont avérés moins effarants qu’anticipés.
Nouvel habitacle confortable
Rien à dire à propos de l’accès et du dégagement offert par les deux rangées de sièges, et on y trouve un bon nombre de petits espaces de rangement à portée de la main aussi. C’est grâce en partie à un nouveau frein à main électronique qui remplace le levier traditionnel de la console centrale par un petit bouton situé à gauche du tableau de bord.
À l’arrière, l’espace de chargement peut facilement accueillir deux cages pour pitous ou votre attirail de camping. Vous voulez transporter quelque chose sur le toit? Un ingénieux système de rails à déclenchement instantané peut être posé parallèlement ou perpendiculairement à la ligne de toit en deux temps, trois mouvements.
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| La consommation se maintient dans des limites très acceptables. |
Au final, on ne perçoit pas de différence significative lors de conduite modérée. Le problème se produit lorsqu’on enfonce la pédale pour de vrai, la transmission à variation continue s’apparente à une boîte manuelle dont l’embrayage glisse terriblement. C’est pour cette raison qu’elle ne fait pas fureur auprès des amateurs de conduite. Heureusement, ces derniers peuvent opter pour une boîte manuelle à six vitesses.
Un transporteur obligeant
La plupart des acheteurs seront impressionnés par la volonté de l’Outback de se plier à pratiquement toutes les situations. On apprécie sa conduite confortable, sa vue dominante sur la route, sa bonne visibilité et son diamètre de braquage étonnamment serré. On se faufile facilement à travers la circulation, et il se laisse garer tout aussi facilement.
Sur l’autoroute, le bruit du vent et de la route reste bien atténué jusqu’à ce qu’on dépasse les 110 km/h. Il y règne une ambiance générale de détente et de confort dans la majorité des situations, et cette impression de désinvolture est accentuée par la configuration simple de la plupart des commandes.
La garde au sol relativement généreuse et la tenue de route stable assurée par la transmission intégrale inspirent confiance. Malgré la suspension haute et molle, l’arrière de l’Outback suit le devant au pas lors de manœuvres d’urgence. Les essais de freinage d’urgence se sont avérés moins effarants qu’anticipés.
Nouvel habitacle confortable
Rien à dire à propos de l’accès et du dégagement offert par les deux rangées de sièges, et on y trouve un bon nombre de petits espaces de rangement à portée de la main aussi. C’est grâce en partie à un nouveau frein à main électronique qui remplace le levier traditionnel de la console centrale par un petit bouton situé à gauche du tableau de bord.
À l’arrière, l’espace de chargement peut facilement accueillir deux cages pour pitous ou votre attirail de camping. Vous voulez transporter quelque chose sur le toit? Un ingénieux système de rails à déclenchement instantané peut être posé parallèlement ou perpendiculairement à la ligne de toit en deux temps, trois mouvements.
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| À l’arrière, l’espace de chargement peut facilement accueillir deux cages pour pitous ou votre attirail de camping. |