«Tout ce que l'on désire», soit dit en passant, signifie la «fiabilité, la durabilité et ce qui se fait de mieux en matière de traction intégrale.»
Pour atteindre cette nouvelle position dans le marché, Lalka a avoué que la compagnie allait devoir dénicher un nouveau type de clientèle. «Nous remarquons un déclin du nombre de retraités et une hausse croissante du nombre de jeunes et de professionnels. Nous avons vu que nos modèles WRX et Impreza attirent des consommateurs bien différents.»
«Ceux qui montrent de l'intérêt pour la WRX, enchaîne-t-il, regardent aussi du côté de Audi et de BMW, tandis que les acheteurs de Legacy magasinent plutôt chez Volvo et Volkswagen. Ça nous donne vraiment une bonne indication de la variété de nos clients. Ces nouveaux acheteurs sont portés à se procurer des versions supérieures des mêmes produits, avec plus d'options qui s'avèrent bien sûr coûteuses mais aussi rentables.»
Il ajoute rapidement «qu'en même temps, au Canada, les opportunités de vente sont plus nombreuses avec les modèles de base. Nous portons donc une attention spéciale à ces modèles plus économiques, qui occupent une position très compétitive sur le marché.»
Peu importe leur fourchette de prix, les modèles Subaru sont généralement bien accueillis par les consommateurs canadiens. Contrairement à des fabricants japonais comme Nissan, Honda et particulièrement Mitsubishi, qui enregistre jusqu'ici cette année des ventes décevantes (pour ne pas dire désastreuses), Subaru Canada connaît présentement une croissance au niveau des ventes. La hausse de 1,2 % en septembre est sans doute modeste, mais elle s'inscrit tout de même dans un marché à la baisse.
Lalka a dit qu'il ne lui serait «pas approprié de dévoiler quels sont les objectifs de ventes de Subaru Canada». Toutefois, il a parlé de doubler la part de Subaru sur le marché canadien, à environ 2 %, ce qui voudrait dire une moyenne annuelle d'environ 32 000 unités.
C'est donc beaucoup de «fierté» pour Subaru, surtout si cela implique de payer plus cher pour avoir ce privilège.
Pour atteindre cette nouvelle position dans le marché, Lalka a avoué que la compagnie allait devoir dénicher un nouveau type de clientèle. «Nous remarquons un déclin du nombre de retraités et une hausse croissante du nombre de jeunes et de professionnels. Nous avons vu que nos modèles WRX et Impreza attirent des consommateurs bien différents.»
«Ceux qui montrent de l'intérêt pour la WRX, enchaîne-t-il, regardent aussi du côté de Audi et de BMW, tandis que les acheteurs de Legacy magasinent plutôt chez Volvo et Volkswagen. Ça nous donne vraiment une bonne indication de la variété de nos clients. Ces nouveaux acheteurs sont portés à se procurer des versions supérieures des mêmes produits, avec plus d'options qui s'avèrent bien sûr coûteuses mais aussi rentables.»
Il ajoute rapidement «qu'en même temps, au Canada, les opportunités de vente sont plus nombreuses avec les modèles de base. Nous portons donc une attention spéciale à ces modèles plus économiques, qui occupent une position très compétitive sur le marché.»
Peu importe leur fourchette de prix, les modèles Subaru sont généralement bien accueillis par les consommateurs canadiens. Contrairement à des fabricants japonais comme Nissan, Honda et particulièrement Mitsubishi, qui enregistre jusqu'ici cette année des ventes décevantes (pour ne pas dire désastreuses), Subaru Canada connaît présentement une croissance au niveau des ventes. La hausse de 1,2 % en septembre est sans doute modeste, mais elle s'inscrit tout de même dans un marché à la baisse.
Lalka a dit qu'il ne lui serait «pas approprié de dévoiler quels sont les objectifs de ventes de Subaru Canada». Toutefois, il a parlé de doubler la part de Subaru sur le marché canadien, à environ 2 %, ce qui voudrait dire une moyenne annuelle d'environ 32 000 unités.
C'est donc beaucoup de «fierté» pour Subaru, surtout si cela implique de payer plus cher pour avoir ce privilège.