Toyota Highlander 4WD V6 Sport 2009 : essai routier
Ce qui frappe le plus du Highlander, c'est sa façon d'apaiser mon humeur avant même de me trouver derrière le volant. Il fait parfois frisquet lorsqu'on y monte à bord tôt un matin de printemps, avant que la neige ne soit fondue (tous les véhicules de presse restent à l'extérieur). Après avoir tourné la clé, la première chose que je fais est de m'assurer que les sièges chauffants sont allumés, puis je sors dégivrer le pare-brise. Les sièges ne chauffent que lorsqu'on y est assis, je les active donc plus pour me faire plaisir qu'autre chose.