Marc-Antoine Camirand (BMW 330i No. 96) a enfilé une seconde victoire lors de la deuxième épreuve du Championnat canadien pour voitures de tourisme (CTCC) présentée dans les rues de Trois-Rivières, samedi.
La seconde victoire du weekend de Camirand, 11e en carrière dans son patelin, est venue faire suite à sa première victoire, décrochée vendredi soir.
« Ça n'a pas été une course facile, de reconnaître Camirand, car [Sasha] Anis est demeuré proche de moi pendant une bonne partie de la course. La moindre petite erreur et il en aurait profité pour me dépasser. Mais ce n'est pas arrivé[.] »
C’est ce même Anis (Hyundai Genesis No. 14) qui a complété la course sur la deuxième marche du podium, suivi par Benjamin Distaulo (Honda Civic Si No. 6).
Mathieu Audette (Acura RSX No. 12), qu’on attendait aux avant-postes ce weekend, a encaissé ses deux premiers abandons de la campagne, en raison de problèmes électriques intermittents.
« Le problème c’est que comme il n’y a pas de séance d’essais après les qualifs puis entre les deux courses, explique Audette, nous n’avions pas la certitude que les solutions que nous tentions d’apporter allaient régler le problème. Et nous n’avons finalement pas pu mettre le doigt sur ce problème. »
La seconde victoire du weekend de Camirand, 11e en carrière dans son patelin, est venue faire suite à sa première victoire, décrochée vendredi soir.
« Ça n'a pas été une course facile, de reconnaître Camirand, car [Sasha] Anis est demeuré proche de moi pendant une bonne partie de la course. La moindre petite erreur et il en aurait profité pour me dépasser. Mais ce n'est pas arrivé[.] »
C’est ce même Anis (Hyundai Genesis No. 14) qui a complété la course sur la deuxième marche du podium, suivi par Benjamin Distaulo (Honda Civic Si No. 6).
Mathieu Audette (Acura RSX No. 12), qu’on attendait aux avant-postes ce weekend, a encaissé ses deux premiers abandons de la campagne, en raison de problèmes électriques intermittents.
« Le problème c’est que comme il n’y a pas de séance d’essais après les qualifs puis entre les deux courses, explique Audette, nous n’avions pas la certitude que les solutions que nous tentions d’apporter allaient régler le problème. Et nous n’avons finalement pas pu mettre le doigt sur ce problème. »