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Toyota Corolla 1998-2002 : Occasion

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Le meilleur taux d'intérêt
Mathieu St-Pierre
Sous la carrosserie
Quand la nouvelle Corolla de 1998 est arrivée, elle arborait un nouveau moteur à quatre cylindres de 1,8 litre. En 2000, Toyota lui a greffé son système de calage variable des soupapes (VVT-i), ce qui a augmenté la puissance de cinq chevaux. Les acheteurs pouvaient choisir entre une boîte manuelle à cinq rapports et une automatique à quatre rapports.

Le moteur de 1,8 litre s'avère plus qu'adéquat pour une conduite urbaine.

Le moteur de 125 chevaux de ma Corolla 2001 s'avère plus qu'adéquat pour une conduite urbaine. Quand on lui met de la pression, il devient bruyant et rauque mais pas autant que la compétition. La transmission manuelle est facile à manipuler d'un rapport à l'autre, quoique la pédale d'embrayage est relativement lourde. Par ailleurs, la direction est très légère en dépit de son manque de feedback. Encore une fois, comme c'est souvent le cas chez Toyota, les freins sont douteux. La pédale est extrêmement spongieuse et la performance au freinage en général est mitigée. Le mieux est de ne pas trop brusquer la voiture...

Tellement souple...
La suspension s'avère très coussinée et souple, ce qui est parfait pour rouler en ville. Bien que la conduite soit douce, un duel constant avec les nids-de-poule finit par ébranler les bras de la suspension, qui n'arrivent pas à gérer proprement tout ce mouvement vertical. Le roulis de caisse est prononcé lorsque la voiture effectue ses transferts de poids en virages. En un sens, c'est une mesure de sécurité, car le conducteur a tendance à relâcher l'accélérateur quand il voit la voiture tanguer. Par surcroît, malgré le généreux débattement de la suspension, la Corolla est totalement dépourvue de vibrations.

La suspension ultra souple de la Corolla ne plaira pas aux mordus du volant.

Mathieu St-Pierre
Mathieu St-Pierre
Expert automobile
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