Les cotes de consommation de ville, de route et combinée s’élèvent à 10,4 l, 7,3 l et 9,0 litres aux 100 km respectivement, manifestement meilleures que les cotes respectives du V6 de 12,3 l, 8,8 l et 10,8 l.
Le nouveau modèle Highlander de base
Il n’est pas surprenant que le Highlander à quatre cylindres devienne le nouveau modèle de base de la gamme, en un degré de finition baptisé simplement « Highlander ». Le PDSF est de 32 600 $.
Le modèle de base de l’an dernier, le V6 4WD, grimpe d’un échelon avec l’ajout d’attributs et entre en jeu à 37 570 $, tandis que le 4WD Sport commence à 42 505 $ et le 4WD V6 Limited à 46 205 $.
Toyota reconnaît toutefois que ces jours-ci, les consommateurs ne songent qu’au « quatre » pour des raisons économiques et environnementales et qu’ils ne sont pas pour abandonner les commodités luxueuses et pratiques. Ainsi, ce modèle de base est associé à une longue liste d’options. Le véhicule est également offert de série avec trois rangées de sièges.
Et vu la bonne dose de couple, sa capacité de remorquage est toujours de 1 588 kg.
Premières impressions
Notre premier essai du Highlander quatre cylindres ne fut que positif. Comme toute personne qui a déjà conduit une Camry quatre cylindres y attesteront, Toyota sait fabriquer un suave « quatre ». Comme son prédécesseur, le moteur de 2,7 litres est muni d’arbres d’équilibrage et semble aussi doux et raffiné que tout six cylindres.
(Si vous vous demandez pourquoi on ne voit pas de moteurs à quatre cylindres beaucoup plus gros, c’est parce que 2,7 litres est à peu près la cylindrée maximale où les quatre cylindres fonctionnent encore en douceur. Les vibrations propres à tout ce qui est plus gros sont si violentes que la seule façon d’adoucir le moteur est de passer à six cylindres.)
Et si on y pense, il n’y a pas si longtemps ces rendements (186 ch, 187 pi-lb) auraient représenté la norme pour la plupart des V6. On ne parle donc pas d’une énorme pénalité de puissance ici. Le moteur s’emballe plus lorsqu’on enfonce l’accélérateur par rapport au six, mais c’est à peu près tout.
Le Highlander peut transporter bien des choses et bien des personnes, alors si vous prévoyez le charger souvent, le quatre cylindres sera peut-être un peu éprouvé. Votre consommation en souffrira aussi et avoisinera celle du V6 si vous poussez votre machine la plupart du temps.
Mais si vous êtes comme la majorité des gens et n’avez pas si souvent besoin des compétences du Highlander, le quatre cylindres s’avérera une excellente option.
Le modèle n’altère pas non plus la personnalité originale du Highlander, un utilitaire très compétent, raffiné et bien construit, mais quelque peu inoffensif. Sa conduite n’est toujours pas engageante.
Une dernière réflexion
Mais cette tendance est toutefois la bienvenue : se contenter de moins. Surtout dans un segment où « plus c’est gros, mieux c’est ». Assistons-nous au début d’une course inverse aux armements? Verrons-nous un jour un Ford Expedition animé par le quatre cylindres de 1,25 litre de la Festiva européenne?
photo:Matthieu Lambert
Le nouveau modèle Highlander de base
Il n’est pas surprenant que le Highlander à quatre cylindres devienne le nouveau modèle de base de la gamme, en un degré de finition baptisé simplement « Highlander ». Le PDSF est de 32 600 $.
Le modèle de base de l’an dernier, le V6 4WD, grimpe d’un échelon avec l’ajout d’attributs et entre en jeu à 37 570 $, tandis que le 4WD Sport commence à 42 505 $ et le 4WD V6 Limited à 46 205 $.
Toyota reconnaît toutefois que ces jours-ci, les consommateurs ne songent qu’au « quatre » pour des raisons économiques et environnementales et qu’ils ne sont pas pour abandonner les commodités luxueuses et pratiques. Ainsi, ce modèle de base est associé à une longue liste d’options. Le véhicule est également offert de série avec trois rangées de sièges.
Et vu la bonne dose de couple, sa capacité de remorquage est toujours de 1 588 kg.
Le modèle n’altère pas la personnalité originale du Highlander, un utilitaire très compétent, raffiné et bien construit. |
Premières impressions
Notre premier essai du Highlander quatre cylindres ne fut que positif. Comme toute personne qui a déjà conduit une Camry quatre cylindres y attesteront, Toyota sait fabriquer un suave « quatre ». Comme son prédécesseur, le moteur de 2,7 litres est muni d’arbres d’équilibrage et semble aussi doux et raffiné que tout six cylindres.
(Si vous vous demandez pourquoi on ne voit pas de moteurs à quatre cylindres beaucoup plus gros, c’est parce que 2,7 litres est à peu près la cylindrée maximale où les quatre cylindres fonctionnent encore en douceur. Les vibrations propres à tout ce qui est plus gros sont si violentes que la seule façon d’adoucir le moteur est de passer à six cylindres.)
Et si on y pense, il n’y a pas si longtemps ces rendements (186 ch, 187 pi-lb) auraient représenté la norme pour la plupart des V6. On ne parle donc pas d’une énorme pénalité de puissance ici. Le moteur s’emballe plus lorsqu’on enfonce l’accélérateur par rapport au six, mais c’est à peu près tout.
Le Highlander peut transporter bien des choses et bien des personnes, alors si vous prévoyez le charger souvent, le quatre cylindres sera peut-être un peu éprouvé. Votre consommation en souffrira aussi et avoisinera celle du V6 si vous poussez votre machine la plupart du temps.
Mais si vous êtes comme la majorité des gens et n’avez pas si souvent besoin des compétences du Highlander, le quatre cylindres s’avérera une excellente option.
Le modèle n’altère pas non plus la personnalité originale du Highlander, un utilitaire très compétent, raffiné et bien construit, mais quelque peu inoffensif. Sa conduite n’est toujours pas engageante.
Une dernière réflexion
Mais cette tendance est toutefois la bienvenue : se contenter de moins. Surtout dans un segment où « plus c’est gros, mieux c’est ». Assistons-nous au début d’une course inverse aux armements? Verrons-nous un jour un Ford Expedition animé par le quatre cylindres de 1,25 litre de la Festiva européenne?
photo:Matthieu Lambert