Plus de muscle
L'ancien V6 de 3,3 litres a pris le bord en faveur du vénérable 3,5-litres qu'on retrouve dans plusieurs produits Toyota et Lexus. Avec 55 chevaux de plus, le Highlander galope pas mal plus qu'auparavant. Il accélère de 0 à 100 km/h en 8,5 secondes, ce qui le place nez à nez avec les Saturn Outlook et GMC Acadia.
Mais ce moteur peut accomplir des miracles au chapitre de la consommation de carburant quand on ne le sollicite pas vivement : nous sommes revenus du Festival des Essais de l'AJAC au volant de ce Highlander et, en rentrant à Montréal, notre consommation moyenne de carburant s'est établie à 10,0 litres aux 100 kilomètres. En ville, par contre, attendez-vous à consommer environ 13,0 litres aux 100 kilomètres.
Durant ce trajet, nous avons également trouvé que le roulement du véhicule était acceptable, quoique un peu sautillant par moments. Un gros merci à la plateforme empruntée à la Camry.
En général et malgré les dimensions plus imposantes, le Highlander demeure facile à conduire. Il est relativement maniable, la direction est légère sans être floue, et la visibilité vers l'extérieur est bonne, sauf vers l'arrière : une caméra de recul sur toutes les versions sauf celle-ci (de base) nous donne un coup de main. Dommage que l'écran d'affichage soit si minuscule.
Plus de gueule
Le Highlander précédant n'a jamais été une beauté fatale, et ce nouveau modèle ne l'est pas non plus. Par contre, ses lignes lui confèrent plus de caractère, de présence. Ce qui est particulièrement notable, ce sont les ailes enflées qui donnent un air plus costaud et peu moins svelte à la fois.
À l'intérieur, le tableau de bord ressemble plus à celui d'un véhicule haut de gamme par rapport à l'ancien modèle, qui ressemblait à l'habitacle d'une Corolla. Toyota a cru bon d'inclure des commandes et des boutons extra gros, comme si l'on conduisait avec des gants de boxe. Les rhéostats de la radio sont particulièrement surdimensionnés, comme s'ils étaient moulés dans des verres à « shooter ». À ta santé !
Pour ce qui est de l'équipement, même ce modèle de base est bien garni : volant télescopique, climatiseur, lecteur de CD/MP3 avec 6 haut-parleurs, télédéverrouillage, régulateur de vitesse, jantes en alliage de 17 pouces, rétroviseurs chauffants, sept coussins de sécurité gonflables, et j'en passe.
L'ancien V6 de 3,3 litres a pris le bord en faveur du vénérable 3,5-litres qu'on retrouve dans plusieurs produits Toyota et Lexus. Avec 55 chevaux de plus, le Highlander galope pas mal plus qu'auparavant. Il accélère de 0 à 100 km/h en 8,5 secondes, ce qui le place nez à nez avec les Saturn Outlook et GMC Acadia.
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| Ce moteur procure 55 chevaux de plus que son prédécesseur tout en permettant une économie de carburant de 4%. |
Mais ce moteur peut accomplir des miracles au chapitre de la consommation de carburant quand on ne le sollicite pas vivement : nous sommes revenus du Festival des Essais de l'AJAC au volant de ce Highlander et, en rentrant à Montréal, notre consommation moyenne de carburant s'est établie à 10,0 litres aux 100 kilomètres. En ville, par contre, attendez-vous à consommer environ 13,0 litres aux 100 kilomètres.
Durant ce trajet, nous avons également trouvé que le roulement du véhicule était acceptable, quoique un peu sautillant par moments. Un gros merci à la plateforme empruntée à la Camry.
En général et malgré les dimensions plus imposantes, le Highlander demeure facile à conduire. Il est relativement maniable, la direction est légère sans être floue, et la visibilité vers l'extérieur est bonne, sauf vers l'arrière : une caméra de recul sur toutes les versions sauf celle-ci (de base) nous donne un coup de main. Dommage que l'écran d'affichage soit si minuscule.
Plus de gueule
Le Highlander précédant n'a jamais été une beauté fatale, et ce nouveau modèle ne l'est pas non plus. Par contre, ses lignes lui confèrent plus de caractère, de présence. Ce qui est particulièrement notable, ce sont les ailes enflées qui donnent un air plus costaud et peu moins svelte à la fois.
À l'intérieur, le tableau de bord ressemble plus à celui d'un véhicule haut de gamme par rapport à l'ancien modèle, qui ressemblait à l'habitacle d'une Corolla. Toyota a cru bon d'inclure des commandes et des boutons extra gros, comme si l'on conduisait avec des gants de boxe. Les rhéostats de la radio sont particulièrement surdimensionnés, comme s'ils étaient moulés dans des verres à « shooter ». À ta santé !
Pour ce qui est de l'équipement, même ce modèle de base est bien garni : volant télescopique, climatiseur, lecteur de CD/MP3 avec 6 haut-parleurs, télédéverrouillage, régulateur de vitesse, jantes en alliage de 17 pouces, rétroviseurs chauffants, sept coussins de sécurité gonflables, et j'en passe.
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| Sa direction aseptisée gagnerait à être plus communicative. |