Efficacité énergétique impressionnante
Mon modèle d'essai comprenant le système à quatre roues motrices intelligent (4RM-i) de Toyota développait une puissance totale de 280 chevaux. Ironiquement, il s'agit du plus puissant Highlander disponible. Par ailleurs, le conducteur peut activer les modes ECON et EV (électrique) pour ajuster le groupe motopropulseur selon ses préférences du moment.
Sans y recourir ni même faire de gros efforts pour maximiser l'économie de carburant, votre humble serviteur a pu obtenir une moyenne impressionnante – plutôt digne d'une berline intermédiaire à vocation familiale que d'un imposant 4x4. Durant cet essai routier par temps froid, le Highlander hybride a brûlé environ trois litres de moins aux 100 kilomètres que la plupart des véhicules réguliers comparables dont je me souviens. Alors que mon exemplaire tournait autour de 11 L/100 km, le Ford Edge conduit une semaine plus tôt dans des conditions similaires frôlait les 15 L/100 km.
Presque aucun compromis
En prime, rien ne distingue vraiment le Highlander hybride du modèle régulier. À part des lumières bleutées et quelques écussons spécifiques, les deux sont identiques.
Il en va de même pour l'habitacle et la conduite. Cinq personnes y trouveront amplement d'espace et l'aire de chargement peut accueillir soit un grand nombre de bagages, soit deux passagers supplémentaires grâce à une petite banquette de troisième rangée escamotable. Le rangement abonde à l'intérieur, les occupants avant ont quatre porte-gobelets à leur disposition et le conducteur jouit d'une position dominante.
Les commandes bien dimensionnées s'avèrent faciles à manipuler même avec de gros gants d'hiver, leur disposition logique et conviviale aidant. Une visibilité et un accès adéquats sont aussi offerts par le Highlander.
Une fois décollé, celui-ci se veut confortable, relativement silencieux et étonnamment rapide lors des dépassements. Il se comporte et se manie davantage comme une voiture qu'un camion tout en procurant une nette sensation de stabilité sur les voies enneigées.
Mon exemplaire étant chaussé de pneus d'hiver, ce n'est ni l'adhérence, ni la confiance au volant qui manquaient. J'ai bien aimé par surcroît sa généreuse garde au sol et ses essuie-glaces chauffants.
Mon modèle d'essai comprenant le système à quatre roues motrices intelligent (4RM-i) de Toyota développait une puissance totale de 280 chevaux. Ironiquement, il s'agit du plus puissant Highlander disponible. Par ailleurs, le conducteur peut activer les modes ECON et EV (électrique) pour ajuster le groupe motopropulseur selon ses préférences du moment.
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| À part des lumières bleutées et quelques écussons spécifiques, ien ne distingue vraiment le Highlander hybride du modèle régulier. (Photo: Justin Pritchard/Auto123.com) |
Sans y recourir ni même faire de gros efforts pour maximiser l'économie de carburant, votre humble serviteur a pu obtenir une moyenne impressionnante – plutôt digne d'une berline intermédiaire à vocation familiale que d'un imposant 4x4. Durant cet essai routier par temps froid, le Highlander hybride a brûlé environ trois litres de moins aux 100 kilomètres que la plupart des véhicules réguliers comparables dont je me souviens. Alors que mon exemplaire tournait autour de 11 L/100 km, le Ford Edge conduit une semaine plus tôt dans des conditions similaires frôlait les 15 L/100 km.
Presque aucun compromis
En prime, rien ne distingue vraiment le Highlander hybride du modèle régulier. À part des lumières bleutées et quelques écussons spécifiques, les deux sont identiques.
Il en va de même pour l'habitacle et la conduite. Cinq personnes y trouveront amplement d'espace et l'aire de chargement peut accueillir soit un grand nombre de bagages, soit deux passagers supplémentaires grâce à une petite banquette de troisième rangée escamotable. Le rangement abonde à l'intérieur, les occupants avant ont quatre porte-gobelets à leur disposition et le conducteur jouit d'une position dominante.
Les commandes bien dimensionnées s'avèrent faciles à manipuler même avec de gros gants d'hiver, leur disposition logique et conviviale aidant. Une visibilité et un accès adéquats sont aussi offerts par le Highlander.
Une fois décollé, celui-ci se veut confortable, relativement silencieux et étonnamment rapide lors des dépassements. Il se comporte et se manie davantage comme une voiture qu'un camion tout en procurant une nette sensation de stabilité sur les voies enneigées.
Mon exemplaire étant chaussé de pneus d'hiver, ce n'est ni l'adhérence, ni la confiance au volant qui manquaient. J'ai bien aimé par surcroît sa généreuse garde au sol et ses essuie-glaces chauffants.
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| Les commandes bien dimensionnées s'avèrent faciles à manipuler même avec de gros gants d'hiver, leur disposition logique et conviviale aidant. (Photo: Justin Pritchard/Auto123.com) |