Habitacle sans grand changement
Quand on s'assoit dans la nouvelle Matrix, on s'aperçoit qu'elle ressemble drôlement à l'ancienne. Les buses d'aération circulaires, les garnitures argentées qui s'éraflent toujours aussi facilement et le levier de vitesses qui prend racine dans le bloc d'instruments central. Cependant, l'apparence du plastique utilisé pour le tableau de bord semble un peu plus riche.
Pour ce qui est de l'espace, même refrain : on profite d'un espace appréciable à l'avant comme à l'arrière, et le toit surélevé est un net avantage quand on a de jeunes enfants et qu'on doit se pencher dans le véhicule pour boucler leur ceinture.
S'il y a un aspect qui semble avoir perdu du terrain par rapport à l'ancienne Matrix, c'est sa capacité de chargement. L'ouverture du hayon est plus étroite, et l'aire de chargement est un peu moins volumineuse en raison de la courbure des piliers du toit. J'ai dû me servir d'un ruban à mesurer pour vérifier, par contre, et on parle d'un pouce ici et là.
Une allure « tuning »
Mes collègues du bureau me demandent ce que je conduis cette semaine; quand je leur dis que c'est la Matrix XRS 2009, l'un d'eux m'a répondu : « Ah oui, le machin tuning qui est dans le stationnement ? » Euh, oui. Disons que sa couleur jaune moutarde est difficile à manquer...
La nouvelle Matrix a maintenant de gros piliers à l'arrière qui obstruent la visibilité. C'est dommage, car le modèle précédent offrait une plus grande surface vitrée.
Tout comme l'ancienne version XRS de la Matrix, on compte sur une foule d'ajouts aérodynamiques pour mettre un peu de piquant dans l'apparence extérieure et la distinguer des Matrix de base. Le résultat donne une voiture qui semble conçue pour une génération plus jeune. Bref, sportive mais pas sport.
Quand on s'assoit dans la nouvelle Matrix, on s'aperçoit qu'elle ressemble drôlement à l'ancienne. Les buses d'aération circulaires, les garnitures argentées qui s'éraflent toujours aussi facilement et le levier de vitesses qui prend racine dans le bloc d'instruments central. Cependant, l'apparence du plastique utilisé pour le tableau de bord semble un peu plus riche.
Pour ce qui est de l'espace, même refrain : on profite d'un espace appréciable à l'avant comme à l'arrière, et le toit surélevé est un net avantage quand on a de jeunes enfants et qu'on doit se pencher dans le véhicule pour boucler leur ceinture.
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| Quand on s'assoit dans la nouvelle Matrix, on s'aperçoit qu'elle ressemble drôlement à l'ancienne. |
S'il y a un aspect qui semble avoir perdu du terrain par rapport à l'ancienne Matrix, c'est sa capacité de chargement. L'ouverture du hayon est plus étroite, et l'aire de chargement est un peu moins volumineuse en raison de la courbure des piliers du toit. J'ai dû me servir d'un ruban à mesurer pour vérifier, par contre, et on parle d'un pouce ici et là.
Une allure « tuning »
Mes collègues du bureau me demandent ce que je conduis cette semaine; quand je leur dis que c'est la Matrix XRS 2009, l'un d'eux m'a répondu : « Ah oui, le machin tuning qui est dans le stationnement ? » Euh, oui. Disons que sa couleur jaune moutarde est difficile à manquer...
La nouvelle Matrix a maintenant de gros piliers à l'arrière qui obstruent la visibilité. C'est dommage, car le modèle précédent offrait une plus grande surface vitrée.
Tout comme l'ancienne version XRS de la Matrix, on compte sur une foule d'ajouts aérodynamiques pour mettre un peu de piquant dans l'apparence extérieure et la distinguer des Matrix de base. Le résultat donne une voiture qui semble conçue pour une génération plus jeune. Bref, sportive mais pas sport.
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| La XRS compte sur une foule d'ajouts aérodynamiques pour mettre un peu depiquant dans l'apparence extérieure et la distinguer des Matrix de base. |