Le moteur hybride de troisième génération
La Prius est certainement plus puissante, mais est-ce que ça paraît vraiment? Je ne pense pas. Les 134 chevaux combinés du moteur 1,8 litre sont orientés vers l’économie et l’efficacité énergétique, pas sur la puissance. Accomplie, les amis de la Terre se retrouveront comblés par la technologie offerte par la Prius. Les statistiques avancées par Toyota parlent d’elles-mêmes. La puissance est améliorée de 25%, elle consomme 9% de moins que la deuxième génération avec environ 4 L/100km et ses émissions de CO2 sont diminuées de 14%. Afin de limiter son impact environnemental, le moteur est beaucoup plus compact qu’avant, donc plus léger. Le régime moteur limite la consommation et je suis resté surpris de voir les accélérations qui gagnent légèrement en performance, car le couple est disponible à bas régime.
Trois modes de conduite sont proposés, le premier en mode électrique sert lors des situations d’arrêt ou lorsque le véhicule roule techniquement à moins de 40km/h. Le deuxième mode uniquement thermique, sert quant à lui, lorsqu’on requiert la pleine puissance : accélération et conduite dynamique. Finalement en mode combiné, donc les situations se trouvant entre les deux autres modes. Il y a aussi la possibilité de la conduite ECO, soporifique, la voiture gère elle-même la puissance du moteur afin de réduire au maximum la consommation. Peu importe les circonstances, le moteur demeure un exemple de quiétude et de silence.
La tranquillité d’esprit
La conduite d’une Prius se qualifie difficilement de dynamique. L’assistance électronique de la direction aseptise tout contact avec la route. La transmission CVT est dans la même veine efficace, mais sans réelle sensation. Les freins, comme sur la majorité des hybrides, servent également de récupérateur de l’énergie cinétique causée par l’arrêt du mouvement. Cette fonction permet une économie d’essence supplémentaire, mais le système récupérateur produit un bruit très perceptible en plus d’une sensation spongieuse déconnectée.
J’accorde une bonne note au confort général de la Prius, les sièges offrent un soutien approprié pour les longs trajets. Il faut aussi noter que la souplesse de la suspension donne un comportement routier correct. Due à sa hauteur la Prius est assez sensible aux vents latéraux.
Conclusion
La Prius se présente comme une voiture au sommet de son art, l’hybridation. Extrêmement efficace en fait d’économie de carburant, elle se classe parmi les meilleures sur le marché. Cependant, l’arrivée des voitures conventionnelles également hybrides permet de poser un doute sur la nécessité de perdre en agrément de conduite et en dynamisme pour jouir d’une telle économie.
La Prius est certainement plus puissante, mais est-ce que ça paraît vraiment? Je ne pense pas. Les 134 chevaux combinés du moteur 1,8 litre sont orientés vers l’économie et l’efficacité énergétique, pas sur la puissance. Accomplie, les amis de la Terre se retrouveront comblés par la technologie offerte par la Prius. Les statistiques avancées par Toyota parlent d’elles-mêmes. La puissance est améliorée de 25%, elle consomme 9% de moins que la deuxième génération avec environ 4 L/100km et ses émissions de CO2 sont diminuées de 14%. Afin de limiter son impact environnemental, le moteur est beaucoup plus compact qu’avant, donc plus léger. Le régime moteur limite la consommation et je suis resté surpris de voir les accélérations qui gagnent légèrement en performance, car le couple est disponible à bas régime.
Trois modes de conduite sont proposés, le premier en mode électrique sert lors des situations d’arrêt ou lorsque le véhicule roule techniquement à moins de 40km/h. Le deuxième mode uniquement thermique, sert quant à lui, lorsqu’on requiert la pleine puissance : accélération et conduite dynamique. Finalement en mode combiné, donc les situations se trouvant entre les deux autres modes. Il y a aussi la possibilité de la conduite ECO, soporifique, la voiture gère elle-même la puissance du moteur afin de réduire au maximum la consommation. Peu importe les circonstances, le moteur demeure un exemple de quiétude et de silence.
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| Les 134 chevaux combinés du moteur 1,8 litre sont orientés vers l’économie et l’efficacité énergétique, pas sur la puissance. (Photo: Toyota) |
La tranquillité d’esprit
La conduite d’une Prius se qualifie difficilement de dynamique. L’assistance électronique de la direction aseptise tout contact avec la route. La transmission CVT est dans la même veine efficace, mais sans réelle sensation. Les freins, comme sur la majorité des hybrides, servent également de récupérateur de l’énergie cinétique causée par l’arrêt du mouvement. Cette fonction permet une économie d’essence supplémentaire, mais le système récupérateur produit un bruit très perceptible en plus d’une sensation spongieuse déconnectée.
J’accorde une bonne note au confort général de la Prius, les sièges offrent un soutien approprié pour les longs trajets. Il faut aussi noter que la souplesse de la suspension donne un comportement routier correct. Due à sa hauteur la Prius est assez sensible aux vents latéraux.
Conclusion
La Prius se présente comme une voiture au sommet de son art, l’hybridation. Extrêmement efficace en fait d’économie de carburant, elle se classe parmi les meilleures sur le marché. Cependant, l’arrivée des voitures conventionnelles également hybrides permet de poser un doute sur la nécessité de perdre en agrément de conduite et en dynamisme pour jouir d’une telle économie.
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