Malheureusement, ce que j'ai détesté le plus et ce qui m'a véritablement énervée tout au long de la semaine, ce sont les sièges. Ex-é-cra-bles. Offrant zéro soutien nulle part, on aurait dit des tabourets de bar. Peu importe ma posture, j'avais l'impression de planer des kilomètres au-dessus du tableau de bord et de tout le reste, même des accoudoirs, que je devais me pencher de côté pour utiliser. Pas trop trop pratique. Et j'aurais pensé qu'une position surélevée se traduirait par une meilleure visibilité. Eh bien, non.
Outre les protestations de mon popotin, j'ai eu du plaisir à conduire le RAV4. Encore une fois, il ne révolutionnera pas l'industrie, mais il ne m'a pas dégoûtée non plus. Je pilotais le 4-cylindres de 2,5 litres au lieu du V6, cependant il avait quand même du punch et s'activait quand je le lui demandais. La Super boîte de vitesses à quatre rapports à commande électronique (on se calme, Toyota!) n'était pas la plus leste de la gang, pourtant elle a bien fait ça malgré tout.
Avec 179 ch et 172 pi-lb à mes commandes, je n'ai jamais eu l'impression d'avancer d'un pied pesant dans une énorme et pesante machine... à part dans les virages. Je ne pense pas avoir senti autant de gravité dans une voiture à si basse vitesse de ma vie. Je ne sais pas si c'est simplement parce que le RAV4 est lourd du haut, seulement prendre un virage relevait toujours de l'aventure.
Le rangement et l'espace de chargement sont respectables pour un multisegment de cette taille. En effet, les sièges arrière rabattus, le RAV4 se targue d'un volume de 2 074 litres, en masse pour la majorité des acheteurs. Et quand on pense que le RAV4 peut tracter jusqu'à 680 kilos (à moins d'opter pour le V6, qui fait bondir ce chiffre à 1 587 kg), on a une petite machine idéale pour partir en camping la fin de semaine.
Et voilà l'essentiel du RAV4. On a droit à un utilitaire compact polyvalent, à l'aise autant en banlieue qu'en campagne. Même l'étiquette de la version à 4RM se veut « confortable », partant à 27 230 $; mon modèle profitait également du groupe de valeur Touring de 1 765 $.
Et grâce au dispositif de blocage du système 4RM toujours de garde, le RAV4 fait fit de la boue, la neige et les terrains accidentés. Et on peut tout aussi bien installer les petits à l'arrière, charger le coffre et partir pour la campagne. Enfin, le RAV4 ne sirote que 8,6 litres plutôt économiques aux 100 km.
Outre les protestations de mon popotin, j'ai eu du plaisir à conduire le RAV4. Encore une fois, il ne révolutionnera pas l'industrie, mais il ne m'a pas dégoûtée non plus. Je pilotais le 4-cylindres de 2,5 litres au lieu du V6, cependant il avait quand même du punch et s'activait quand je le lui demandais. La Super boîte de vitesses à quatre rapports à commande électronique (on se calme, Toyota!) n'était pas la plus leste de la gang, pourtant elle a bien fait ça malgré tout.
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| Le RAV4 ne sirote que 8,6 litres plutôt économiques aux 100 km. (Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com) |
Avec 179 ch et 172 pi-lb à mes commandes, je n'ai jamais eu l'impression d'avancer d'un pied pesant dans une énorme et pesante machine... à part dans les virages. Je ne pense pas avoir senti autant de gravité dans une voiture à si basse vitesse de ma vie. Je ne sais pas si c'est simplement parce que le RAV4 est lourd du haut, seulement prendre un virage relevait toujours de l'aventure.
Le rangement et l'espace de chargement sont respectables pour un multisegment de cette taille. En effet, les sièges arrière rabattus, le RAV4 se targue d'un volume de 2 074 litres, en masse pour la majorité des acheteurs. Et quand on pense que le RAV4 peut tracter jusqu'à 680 kilos (à moins d'opter pour le V6, qui fait bondir ce chiffre à 1 587 kg), on a une petite machine idéale pour partir en camping la fin de semaine.
Et voilà l'essentiel du RAV4. On a droit à un utilitaire compact polyvalent, à l'aise autant en banlieue qu'en campagne. Même l'étiquette de la version à 4RM se veut « confortable », partant à 27 230 $; mon modèle profitait également du groupe de valeur Touring de 1 765 $.
Et grâce au dispositif de blocage du système 4RM toujours de garde, le RAV4 fait fit de la boue, la neige et les terrains accidentés. Et on peut tout aussi bien installer les petits à l'arrière, charger le coffre et partir pour la campagne. Enfin, le RAV4 ne sirote que 8,6 litres plutôt économiques aux 100 km.
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| Et grâce au dispositif de blocage du système 4RM toujours de garde, le RAV4 fait fit de la boue, la neige et les terrains accidentés. (Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com) |