Quand le RAV4 est monté sur scène en 1996, je suis tombée sous le charme de ce mignon petit jeep de fille : 4 roues motrices, 4 places, décapotable. Il y avait aussi une version à quatre portières et toit fixe, le véhicule emblématique qui a plus ou moins donné naissance au segment des VUS compacts.
La génération actuelle du RAV4 n’a rien à voir avec la puce d’antan. Elle est plus grosse, plus puissante et désormais un peu plus fonctionnelle.
L’acheteur a l’embarras du choix, le bolide de Toyota se déclinant en neuf versions : trois RAV4 2RM, trois RAV4 4RM et trois RAV4 4RM V6. Chaque version propose divers degrés de finitions : de base, Sport et le raffiné Limited.
Cette semaine, j’ai empoché les clés d’un RAV4 de base à 4RM rouge Barcelone métallisé, animé par un quatre-cylindres de 2,5 litres produisant 179 ch et jumelé à une boîte automatique Super ECT à quatre rapports.
On peut également opter pour un V6 de 3,5 litres plus corsé, livrant 269 ch et marié à une boîte automatique à cinq rapports. En 2011, les versions à 2RM ne peuvent toutefois confisquer les services du V6.
Du premier coup d’œil, ce RAV4 est le modèle le plus ravissant de tout le vaste segment des utilitaires compacts. Avec ses lignes nettes et son style cohésif, il a de la gueule sous tous les angles. N’en reste qu’il retient toujours un petit côté mignonnet… tout en dégageant une impression de robustesse et d’athlétisme aussi!
Un bémol : la portière à charnière à l’arrière. Je ne saisis pas. Pourquoi pas un bon vieux hayon? D’abord, quand on se stationne dans un endroit serré, on n’arrive pas à ouvrir complètement la porte pour accéder au contenu du coffre.
Ensuite, imaginez si on se stationne en parallèle, puis on sort du côté conducteur puis on va chercher la poussette de bébé à l’arrière. On ouvre la porte… du côté du trottoir! Eh oui, l’ouverture fait face à la circulation! L’idée n’avait pas de bon sens au début, et je ne comprends simplement pas pourquoi Toyota n’a pas corrigé le tir. Je me croise les doigts, en espérant que c’est la première chose que le constructeur amendera pour la prochaine génération du modèle.
Bon. Maintenant que je me suis vidé le cœur, je n’ai que du bon à dire!
La génération actuelle du RAV4 n’a rien à voir avec la puce d’antan. Elle est plus grosse, plus puissante et désormais un peu plus fonctionnelle.
L’acheteur a l’embarras du choix, le bolide de Toyota se déclinant en neuf versions : trois RAV4 2RM, trois RAV4 4RM et trois RAV4 4RM V6. Chaque version propose divers degrés de finitions : de base, Sport et le raffiné Limited.
La génération actuelle du RAV4 est plus grosse, plus puissante et désormais un peu plus fonctionnelle. (Photo: Lacey Elliott/Auto123.com) |
Cette semaine, j’ai empoché les clés d’un RAV4 de base à 4RM rouge Barcelone métallisé, animé par un quatre-cylindres de 2,5 litres produisant 179 ch et jumelé à une boîte automatique Super ECT à quatre rapports.
On peut également opter pour un V6 de 3,5 litres plus corsé, livrant 269 ch et marié à une boîte automatique à cinq rapports. En 2011, les versions à 2RM ne peuvent toutefois confisquer les services du V6.
Du premier coup d’œil, ce RAV4 est le modèle le plus ravissant de tout le vaste segment des utilitaires compacts. Avec ses lignes nettes et son style cohésif, il a de la gueule sous tous les angles. N’en reste qu’il retient toujours un petit côté mignonnet… tout en dégageant une impression de robustesse et d’athlétisme aussi!
Un bémol : la portière à charnière à l’arrière. Je ne saisis pas. Pourquoi pas un bon vieux hayon? D’abord, quand on se stationne dans un endroit serré, on n’arrive pas à ouvrir complètement la porte pour accéder au contenu du coffre.
Ensuite, imaginez si on se stationne en parallèle, puis on sort du côté conducteur puis on va chercher la poussette de bébé à l’arrière. On ouvre la porte… du côté du trottoir! Eh oui, l’ouverture fait face à la circulation! L’idée n’avait pas de bon sens au début, et je ne comprends simplement pas pourquoi Toyota n’a pas corrigé le tir. Je me croise les doigts, en espérant que c’est la première chose que le constructeur amendera pour la prochaine génération du modèle.
Bon. Maintenant que je me suis vidé le cœur, je n’ai que du bon à dire!
Un bémol : la portière à charnière à l’arrière. Quand on se stationne dans un endroit serré, on n’arrive pas à ouvrir complètement la porte pour accéder au contenu du coffre. (Photo: Lacey Elliott/Auto123.com) |