Comportement
Pour employer une expression un peu galvaudée, la Solara livre la marchandise. Sa douceur de roulement est l'une de ses forces. Les accélérations ne sont pas foudroyantes mais amplement suffisantes. Avec le surplus de puissance du moteur à 4 cylindres, il faut prêter l'oreille pour le différencier du 6-cylindres. Les deux moteurs sont très souples, offrent des performances quasi similaires et un rendement à la hausse. Le châssis, emprunté à la division Lexus, procure une rigidité renouvelée qui faisait défaut à la voiture. Malgré toutes ses qualités routières cette Toyota n'est pas une berline pour enthousiastes.
Habitacle
La qualité du produit est sans aucun doute la première constatation qu'on peut faire en montant dans la Solara. La présentation, l'assemblage et la finition sont impeccables. Les matériaux choisis ont belle apparence, et tous les composants se marient bien les uns aux autres. Le grand coffre est transformable si l'on abaisse le dossier de la banquette arrière, mais l'orifice est un peu petit. Question confort, il est difficile de prendre la Solara en défaut. La souplesse de la suspension, qui accentue le sous-virage en courbe serrée, offre tout de même une bonne tenue de route. Ajoutez à cela des sièges bien rembourrés et une insonorisation efficace et vous avez une combinaison gagnante. Un détail à souligner: le manque de rangements, qui rend le camouflage des petits objets difficile. Un dernier élément qui rend la conduite un peu moins agréable: la très grande discrétion de la mécanique et des bruits de roulement bien étouffés. Le fait que la voiture soit si silencieuse met en évidence les bruits éoliens qui se font un peu agaçants au-dessus de 115 km/h.
Pour employer une expression un peu galvaudée, la Solara livre la marchandise. Sa douceur de roulement est l'une de ses forces. Les accélérations ne sont pas foudroyantes mais amplement suffisantes. Avec le surplus de puissance du moteur à 4 cylindres, il faut prêter l'oreille pour le différencier du 6-cylindres. Les deux moteurs sont très souples, offrent des performances quasi similaires et un rendement à la hausse. Le châssis, emprunté à la division Lexus, procure une rigidité renouvelée qui faisait défaut à la voiture. Malgré toutes ses qualités routières cette Toyota n'est pas une berline pour enthousiastes.
Habitacle
La qualité du produit est sans aucun doute la première constatation qu'on peut faire en montant dans la Solara. La présentation, l'assemblage et la finition sont impeccables. Les matériaux choisis ont belle apparence, et tous les composants se marient bien les uns aux autres. Le grand coffre est transformable si l'on abaisse le dossier de la banquette arrière, mais l'orifice est un peu petit. Question confort, il est difficile de prendre la Solara en défaut. La souplesse de la suspension, qui accentue le sous-virage en courbe serrée, offre tout de même une bonne tenue de route. Ajoutez à cela des sièges bien rembourrés et une insonorisation efficace et vous avez une combinaison gagnante. Un détail à souligner: le manque de rangements, qui rend le camouflage des petits objets difficile. Un dernier élément qui rend la conduite un peu moins agréable: la très grande discrétion de la mécanique et des bruits de roulement bien étouffés. Le fait que la voiture soit si silencieuse met en évidence les bruits éoliens qui se font un peu agaçants au-dessus de 115 km/h.