Sur la route
Le nouveau moteur à tout faire de Toyota, le V6 de 3,3 litres, anime les versions haut de gamme. Silencieux, celui-ci correspond au tempérament des récentes Sienna et RX330. Toutefois, boulonné dans la Solara, ce V6 est un peu trop discret. Non pas qu'il manque de puissance. Au contraire. Toutefois, il est navrant que les motoristes n'aient pas daigné lui greffer une paire d'échappement plus musicale. Côté performance, la boîte semi-automatique à 5 rapports et les 225 chevaux du V6 vous collent au siège. De même, la tenue de route fait des progrès grâce à son châssis plus rigide et ses pneumatiques de 17 pouces. Malgré ces améliorations, la Solara est loin d'engendrer la grande passion. Il lui manque toujours ce petit quelque chose qui fait la différence entre le grand amour et une relation platonique.
Quant à la version de base SE, elle demeure animée par le moteur 4 cylindres de 2,4 litres et 157 chevaux. S'il convient à la vocation familiale de la Camry, il n'est pas à son meilleur sous le capot de la Solara. Toutefois, il a le mérite de maintenir le prix de la SE à un seuil raisonnable si l'on considère son équipement de série.
Du côté de l'habitacle, l'insonorisation est digne d'une Lexus. Qui plus est, la présentation du tableau de bord s'inspire également de la gamme mondaine de Toyota. Par ailleurs, les ingénieurs ont enfin concocté des sièges et une banquette confortables.
En conclusion, malgré l'optimiste qui règne chez les constructeurs japonais, il serait surprenant que Toyota réussisse à atteindre son objectif de vendre plus de 3 000 Solara au pays. Des prévisions surestimées pour un coupé qui est loin de bouleverser la catégorie.
Le nouveau moteur à tout faire de Toyota, le V6 de 3,3 litres, anime les versions haut de gamme. Silencieux, celui-ci correspond au tempérament des récentes Sienna et RX330. Toutefois, boulonné dans la Solara, ce V6 est un peu trop discret. Non pas qu'il manque de puissance. Au contraire. Toutefois, il est navrant que les motoristes n'aient pas daigné lui greffer une paire d'échappement plus musicale. Côté performance, la boîte semi-automatique à 5 rapports et les 225 chevaux du V6 vous collent au siège. De même, la tenue de route fait des progrès grâce à son châssis plus rigide et ses pneumatiques de 17 pouces. Malgré ces améliorations, la Solara est loin d'engendrer la grande passion. Il lui manque toujours ce petit quelque chose qui fait la différence entre le grand amour et une relation platonique.Quant à la version de base SE, elle demeure animée par le moteur 4 cylindres de 2,4 litres et 157 chevaux. S'il convient à la vocation familiale de la Camry, il n'est pas à son meilleur sous le capot de la Solara. Toutefois, il a le mérite de maintenir le prix de la SE à un seuil raisonnable si l'on considère son équipement de série.
Du côté de l'habitacle, l'insonorisation est digne d'une Lexus. Qui plus est, la présentation du tableau de bord s'inspire également de la gamme mondaine de Toyota. Par ailleurs, les ingénieurs ont enfin concocté des sièges et une banquette confortables.
En conclusion, malgré l'optimiste qui règne chez les constructeurs japonais, il serait surprenant que Toyota réussisse à atteindre son objectif de vendre plus de 3 000 Solara au pays. Des prévisions surestimées pour un coupé qui est loin de bouleverser la catégorie.
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