Confort routier
Le Venza fut conçu dans l’optique de maximiser le bien-être de ses occupants. L’environnement chaleureux du cuir et des fausses boiseries contribue à la sensation de bien-être que l’on éprouve à bord. Les sièges offrent un confort remarquable en ligne droite. Il faut noter que les supports latéraux sont assez restreints. À l’usage, on réalise que le Venza ne fut nullement créé pour des prétentions sportives.
L’équipement permet de retrouver la majorité des gadgets actuellement sur le marché. L’un particulièrement apprécié, à cause de la faible visibilité arrière, est la caméra de recul.
Sans dire que le Venza est soporifique, l’impression de relaxation que l’on éprouve à bord étonne toujours. Il répond bien à sa vocation de nous transporter du point A au point B sans chercher à se casser la tête. Derrière le volant, on n’a nullement envie d’étudier les limites du véhicule, on se laisse simplement porter. La conséquence de cette béatitude entraîne un comportement routier peu dynamique surtout en virage.
Tout doucement
La version V6 du Venza se fit sur l’un des moteurs les plus répandus de la gamme Toyota. La compétence du moteur de 3,5 litres développant 268 chevaux est remarquable, surtout avec des accélérations franches. Par contre, la juxtaposition de la traction intégrale, d’un poids élevé et des roues de 20 pouces ne permet pas une consommation sous les 11L-100Km.
Comme le Venza partage beaucoup de composantes avec la Camry, on éprouve sensiblement le même sentiment de conduite. La direction est un peu floue, tout comme la suspension, qui, malgré les énormes jantes, s’oriente vers le confort. Les freins subissent le poids du véhicule avec un effet de lourdeur.
Compétition
On peut difficilement établir une véritable compétition au Venza, par contre bon nombre de véhicules possèdent les mêmes qualités. Ford Edge SEL-Ti (à partir de 35 999 $), Dodge Journey R/T Ti (30 195 $), Hyundai Santa Fe 3,3L. Limited (35 445 $), Mazda CX-7 GT-Ti (38 990 $), Subaru Outback 3.6 Limited (38 495 $). D’ici quelques mois, le Venza aura un véritable compétiteur avec le Honda Crosstour EX-L Ti (36 900 $). Le Toyota Venza V6-Ti débute à 32 050 $.
Tout bien, rien d’exceptionnel
Le Venza est un véhicule qui cherche tellement à plaire à tout le monde qu’il finit par perdre beaucoup de saveur et un peu de personnalité en cours de route. Il affirme un style original, mais le fait que certaines composantes soient aseptisées apporte une conduite moins dynamique. Bien peu de modifications pourraient rendre l’ensemble plus énergique. Une suspension plus ferme et une direction plus précise augmenteraient considérablement l’agrément de conduite.
photo:Bertrand Godin
Le Venza fut conçu dans l’optique de maximiser le bien-être de ses occupants. L’environnement chaleureux du cuir et des fausses boiseries contribue à la sensation de bien-être que l’on éprouve à bord. Les sièges offrent un confort remarquable en ligne droite. Il faut noter que les supports latéraux sont assez restreints. À l’usage, on réalise que le Venza ne fut nullement créé pour des prétentions sportives.
L’équipement permet de retrouver la majorité des gadgets actuellement sur le marché. L’un particulièrement apprécié, à cause de la faible visibilité arrière, est la caméra de recul.
Sans dire que le Venza est soporifique, l’impression de relaxation que l’on éprouve à bord étonne toujours. Il répond bien à sa vocation de nous transporter du point A au point B sans chercher à se casser la tête. Derrière le volant, on n’a nullement envie d’étudier les limites du véhicule, on se laisse simplement porter. La conséquence de cette béatitude entraîne un comportement routier peu dynamique surtout en virage.
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| La compétence du moteur de 3,5 litres développant 268 chevaux est remarquable, surtout avec des accélérations franches. |
Tout doucement
La version V6 du Venza se fit sur l’un des moteurs les plus répandus de la gamme Toyota. La compétence du moteur de 3,5 litres développant 268 chevaux est remarquable, surtout avec des accélérations franches. Par contre, la juxtaposition de la traction intégrale, d’un poids élevé et des roues de 20 pouces ne permet pas une consommation sous les 11L-100Km.
Comme le Venza partage beaucoup de composantes avec la Camry, on éprouve sensiblement le même sentiment de conduite. La direction est un peu floue, tout comme la suspension, qui, malgré les énormes jantes, s’oriente vers le confort. Les freins subissent le poids du véhicule avec un effet de lourdeur.
Compétition
On peut difficilement établir une véritable compétition au Venza, par contre bon nombre de véhicules possèdent les mêmes qualités. Ford Edge SEL-Ti (à partir de 35 999 $), Dodge Journey R/T Ti (30 195 $), Hyundai Santa Fe 3,3L. Limited (35 445 $), Mazda CX-7 GT-Ti (38 990 $), Subaru Outback 3.6 Limited (38 495 $). D’ici quelques mois, le Venza aura un véritable compétiteur avec le Honda Crosstour EX-L Ti (36 900 $). Le Toyota Venza V6-Ti débute à 32 050 $.
Tout bien, rien d’exceptionnel
Le Venza est un véhicule qui cherche tellement à plaire à tout le monde qu’il finit par perdre beaucoup de saveur et un peu de personnalité en cours de route. Il affirme un style original, mais le fait que certaines composantes soient aseptisées apporte une conduite moins dynamique. Bien peu de modifications pourraient rendre l’ensemble plus énergique. Une suspension plus ferme et une direction plus précise augmenteraient considérablement l’agrément de conduite.
photo:Bertrand Godin
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