D’après GMM
Deux semaines à peine après avoir tenu le premier Grand Prix de Corée du Sud, les nuages noirs s’accumulent au-dessus de la tête des dirigeants du circuit.
Le circuit de Yeongam a échoué l’inspection de sécurité gouvernementale et a dû annuler une course de Formule 3 prévue en novembre.
Maintenant, de tristes rumeurs de détournements de fonds planent au sein de la compagnie organisatrice et promoteur de l’événement, le KAVO.
Le journal Korea Herald indique que le gouvernement provincial de la région de South Jeolla va procéder à une investigation pour déterminer si de l’argent prévu pour la construction du circuit a été dépensé sans l’existence de documents administratifs.
« Nous allons consulter tous les documents légaux au cours de la semaine qui vient, » a déclaré Jung Hwan-dae, vice-directeur de l’assemblée provinciale.
« Nous prévoyons aussi convoquer les dirigeants du KAVO afin de déterminer comment l’argent a été dépensé, car selon nous, quelque chose sonne faux ».
Un porte-parole de KAVO n’a pas voulu ou pu expliquer comment l’argent a été dépensé, mais a indiqué : « Il ne s’est rien passé d’illégal ».
Deux semaines à peine après avoir tenu le premier Grand Prix de Corée du Sud, les nuages noirs s’accumulent au-dessus de la tête des dirigeants du circuit.
Le circuit de Yeongam a échoué l’inspection de sécurité gouvernementale et a dû annuler une course de Formule 3 prévue en novembre.
Maintenant, de tristes rumeurs de détournements de fonds planent au sein de la compagnie organisatrice et promoteur de l’événement, le KAVO.
Le journal Korea Herald indique que le gouvernement provincial de la région de South Jeolla va procéder à une investigation pour déterminer si de l’argent prévu pour la construction du circuit a été dépensé sans l’existence de documents administratifs.
« Nous allons consulter tous les documents légaux au cours de la semaine qui vient, » a déclaré Jung Hwan-dae, vice-directeur de l’assemblée provinciale.
« Nous prévoyons aussi convoquer les dirigeants du KAVO afin de déterminer comment l’argent a été dépensé, car selon nous, quelque chose sonne faux ».
Un porte-parole de KAVO n’a pas voulu ou pu expliquer comment l’argent a été dépensé, mais a indiqué : « Il ne s’est rien passé d’illégal ».