J'ai réalisé quelque chose au cours des dernières années : nous aimons les chevaux-vapeur autant que les chevaux tout court. Le lien entre les deux n'a jamais été aussi clair pour moi que lors d'un récent voyage à Lexington, au Kentucky, où j'ai fait l'essai de quelques modèles Land Rover et assisté à des compétitions équestres au Kentucky Horse Park.
La première journée, j'ai trouvé fascinant d'entendre les annonceurs du concours de dressage employer des termes comme « propulsion », « virage contrôlé » et « attaquer le point de corde » pour décrire la performance des chevaux. Le lendemain, durant l'épreuve de cross-country, la puissance, la précision et la performance des chevaux étaient constamment analysées par les annonceurs.
Il y avait sur place un tas de gens passionnés par cet animal qui incarne la fougue, la robustesse et l'agilité. L'événement de trois jours a permis d'admirer le talent des cavaliers ainsi que les qualités athlétiques de leurs montures dans trois disciples différentes.
Quel meilleur véhicule qu'un Land Rover, qui prouve sans arrêt son incroyable capacité à conjuguer luxe, vie urbaine et conduite hors route, pour s'associer à pareil événement?
Pas besoin d'être riche pour apprécier les voitures et les chevaux. Plusieurs journalistes automobiles que je connais ont une affinité avec nos amis équins (moi, la première). Je vous le jure : nous ne sommes pas une bande de prétentieux qui roulent sur l'or. Nous recherchons tout simplement cette sensation de pouvoir et de liberté que procure la maîtrise d'une bête tantôt si docile, tantôt si sauvage. C'est comme piloter une Porsche 911 décapotable sur l'autobahn en Allemagne. Pur bonheur!
Je m'excite chaque fois que je monte à cheval, comme c'est le cas lorsque je me glisse à bord d'une puissante voiture sport. Je sais que je suis sur le point de vivre quelque chose de spectaculaire qui fera couler mon adrénaline à flots, même au point de me faire un peu peur et d'apprendre une bonne leçon. Je suis à la fois nerveuse, fébrile, contente et méfiante. J'ai confiance en ma capacité de maîtriser la voiture ou le cheval, mais je suis consciente que je peux commettre une erreur à tout moment.
Pour que l'union fonctionne bien, les deux parties doivent travailler ensemble et se respecter, tout en reconnaissant qu'il y a un chef, c'est-à-dire le conducteur/cavalier.
Bref, je n'avais jamais autant réalisé que la conduite d'une voiture puissante ressemble à la conduite d'un cheval puissant. De même, se la couler douce au volant d'une voiture ordinaire s'apparente à trotter sur un vieux cheval paresseux; il faut quand même rester alerte, parce qu'on peut se faire renverser à tout moment.
Les chevaux et les voitures entretiennent un lien dont plusieurs personnes ignorent l'existence. Même si vous ne désirez pas faire une randonnée avec l'un ou l'autre, vous savez surement apprécier sa puissance, son agilité et sa robustesse.
La première journée, j'ai trouvé fascinant d'entendre les annonceurs du concours de dressage employer des termes comme « propulsion », « virage contrôlé » et « attaquer le point de corde » pour décrire la performance des chevaux. Le lendemain, durant l'épreuve de cross-country, la puissance, la précision et la performance des chevaux étaient constamment analysées par les annonceurs.
Il y avait sur place un tas de gens passionnés par cet animal qui incarne la fougue, la robustesse et l'agilité. L'événement de trois jours a permis d'admirer le talent des cavaliers ainsi que les qualités athlétiques de leurs montures dans trois disciples différentes.
Quel meilleur véhicule qu'un Land Rover, qui prouve sans arrêt son incroyable capacité à conjuguer luxe, vie urbaine et conduite hors route, pour s'associer à pareil événement?
Pas besoin d'être riche pour apprécier les voitures et les chevaux. Plusieurs journalistes automobiles que je connais ont une affinité avec nos amis équins (moi, la première). Je vous le jure : nous ne sommes pas une bande de prétentieux qui roulent sur l'or. Nous recherchons tout simplement cette sensation de pouvoir et de liberté que procure la maîtrise d'une bête tantôt si docile, tantôt si sauvage. C'est comme piloter une Porsche 911 décapotable sur l'autobahn en Allemagne. Pur bonheur!
Je m'excite chaque fois que je monte à cheval, comme c'est le cas lorsque je me glisse à bord d'une puissante voiture sport. Je sais que je suis sur le point de vivre quelque chose de spectaculaire qui fera couler mon adrénaline à flots, même au point de me faire un peu peur et d'apprendre une bonne leçon. Je suis à la fois nerveuse, fébrile, contente et méfiante. J'ai confiance en ma capacité de maîtriser la voiture ou le cheval, mais je suis consciente que je peux commettre une erreur à tout moment.
Pour que l'union fonctionne bien, les deux parties doivent travailler ensemble et se respecter, tout en reconnaissant qu'il y a un chef, c'est-à-dire le conducteur/cavalier.
Bref, je n'avais jamais autant réalisé que la conduite d'une voiture puissante ressemble à la conduite d'un cheval puissant. De même, se la couler douce au volant d'une voiture ordinaire s'apparente à trotter sur un vieux cheval paresseux; il faut quand même rester alerte, parce qu'on peut se faire renverser à tout moment.
Les chevaux et les voitures entretiennent un lien dont plusieurs personnes ignorent l'existence. Même si vous ne désirez pas faire une randonnée avec l'un ou l'autre, vous savez surement apprécier sa puissance, son agilité et sa robustesse.
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| Photo: Miranda Lightstone |