La souplesse permise par les six rapports (au lieu de quatre, comme en 2007) maximise la performance du modeste moteur (0-100 km/h en 12,1 longues secondes -- ou 10,4 avec la manuelle). De plus, la consommation d'essence de 9,9 L/100 km en ville et 6,9 L/100 km sur l'autoroute est bien supérieure à celle de plusieurs berlines compactes rivales.
Impressions de conduite
Trouver un confort optimal à bord de la Jetta City est facile. L'espace pour les jambes et la tête à l'avant est généreux, même pour des personnes de grande taille. Mais si ces dernières ne veulent pas faire de compromis, les passagers arrière auront beaucoup moins de chance. Bien qu'aucun réglage du support lombaire ne soit offert, le siège du conducteur est remarquablement enveloppant et il aide beaucoup à réduire la fatigue lors des longues promenades.
En démarrant le moteur, on sent tout de suite une vibration indésirable au ralenti. Ce genre de sensation nous ramène à une époque où les moteurs étaient moins raffinés qu'aujourd'hui. Certains pourraient toutefois y voir une dose de sportivité. Idem pour le grondement émis par le système d'échappement à l'accélération. Je ne m'en suis pas trop formalisé car, une fois que la Jetta City a atteint sa vitesse de croisière, elle demeure silencieuse à souhait.
Les voitures économiques de moins de 20 000 $ tendent à afficher leurs différences -- et leurs lacunes -- sur l'autoroute. Ce qui fait la marque de commerce de cette Volks, c'est son comportement très serein et civilisé. Le bruit généré par le vent et la route est particulièrement bien atténué pour un véhicule de cette catégorie et, grâce au sixième rapport qui diminue le régime d'opération, le moteur se montre plus tranquille.
Autre différence: la suspension magnifiquement calibrée jumelée à une structure rigide. Ensemble, elles favorisent un roulement et une tenue de route dignes d'une Européenne beaucoup plus dispendieuse, comme une Audi ou une BMW.
J'ai été impressionné par l'extraordinaire capacité de la Jetta City à absorber les pires défauts de la chaussée sans maltraiter ses occupants ou perdre son sang-froid. La solidité du châssis est à la base même de ce succès. Voilà pourquoi la petite berline de Volkswagen se démarque autant de la concurrence.
La Jetta City est par ailleurs très amusante à lancer dans les courbes, où elle démontre un équilibre et une assurance prévisibles. Hyper agile et pleine de bonne volonté, on la sent attaquer la route avec une franche détermination et un désir d'obéir avec enthousiasme aux commandes du pilote.
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| L'espace pour les jambes et la tête à l'avant est généreux, même pour des personnes de grande taille. |
Impressions de conduite
Trouver un confort optimal à bord de la Jetta City est facile. L'espace pour les jambes et la tête à l'avant est généreux, même pour des personnes de grande taille. Mais si ces dernières ne veulent pas faire de compromis, les passagers arrière auront beaucoup moins de chance. Bien qu'aucun réglage du support lombaire ne soit offert, le siège du conducteur est remarquablement enveloppant et il aide beaucoup à réduire la fatigue lors des longues promenades.
En démarrant le moteur, on sent tout de suite une vibration indésirable au ralenti. Ce genre de sensation nous ramène à une époque où les moteurs étaient moins raffinés qu'aujourd'hui. Certains pourraient toutefois y voir une dose de sportivité. Idem pour le grondement émis par le système d'échappement à l'accélération. Je ne m'en suis pas trop formalisé car, une fois que la Jetta City a atteint sa vitesse de croisière, elle demeure silencieuse à souhait.
Les voitures économiques de moins de 20 000 $ tendent à afficher leurs différences -- et leurs lacunes -- sur l'autoroute. Ce qui fait la marque de commerce de cette Volks, c'est son comportement très serein et civilisé. Le bruit généré par le vent et la route est particulièrement bien atténué pour un véhicule de cette catégorie et, grâce au sixième rapport qui diminue le régime d'opération, le moteur se montre plus tranquille.
Autre différence: la suspension magnifiquement calibrée jumelée à une structure rigide. Ensemble, elles favorisent un roulement et une tenue de route dignes d'une Européenne beaucoup plus dispendieuse, comme une Audi ou une BMW.
J'ai été impressionné par l'extraordinaire capacité de la Jetta City à absorber les pires défauts de la chaussée sans maltraiter ses occupants ou perdre son sang-froid. La solidité du châssis est à la base même de ce succès. Voilà pourquoi la petite berline de Volkswagen se démarque autant de la concurrence.
La Jetta City est par ailleurs très amusante à lancer dans les courbes, où elle démontre un équilibre et une assurance prévisibles. Hyper agile et pleine de bonne volonté, on la sent attaquer la route avec une franche détermination et un désir d'obéir avec enthousiasme aux commandes du pilote.
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| Le bruit généré par le vent et la route est particulièrement bien atténué pour un véhicule de cette catégorie. |