Je ne suis pas un pilote de course et je n’aspire aucunement en devenir un, mais la GLI m’a rapidement mis en confiance, me permettant de compléter chaque tour plus vite que le précédent tout en me procurant un plaisir fou. La direction est parfaitement précise, rendant chaque virage facile à maîtriser après quelques conseils du pilote professionnel Richard Spénard, invité par Volkswagen afin d’aider les journalistes à tirer le maximum de la voiture. Ce que nous avons fait.
Pourtant la DSG sur la piste n’était pas parfaite. Avec le levier en position ‘S’ (Sport, évidemment), la boîte refusait de monter en rapport à quelques occasions, laissant le moteur franchir la ligne rouge. On peut cependant utiliser les sélecteurs de rapport montés au volant pour garder le contrôle de la boîte. Je préfère la boîte manuelle, avec sa pédale d’embrayage légère et la netteté des courses de son levier de vitesses.
Ah, oui, j’oubliais : comme dans toutes les autres Jetta, on ne peut désactiver le programme électronique de stabilité, mais je peux personnellement attester que le système fait du bon boulot, et n’empêche nullement de s’amuser sur la piste.
On a de plus roulé en campagne durant le trajet entre le centre-ville de Toronto et le circuit de Mosport. Bien que la suspension semble sèche en ville, sans doute à cause du piteux état du pavé, elle s’est avérée plus docile sur l’autoroute et sur les rangs de campagne.
La GLI est fort jolie, avec un pare-chocs dont le design imite celui de la GTI, une grille de calandre unique, des feux arrière fumés, un diffuseur à air noir au pare-chocs arrière, des étriers de freins peints en rouge, des jupes latérales ainsi que des jantes en alliage de 17 pouces que je remplacerais définitivement pour les superbes roues optionnelles de 18 pouces à 975 $. La voiture exhibe un air plus agressif, sans se démarquer clairement des autres Jetta.
À l’intérieur, on profite d’un volant difforme sorti tout droit de la GTI, des pédales en aluminium, des sièges sport avec un garnissage en cuir/tissu ou une sellerie de cuir optionnelle (offerte au Canada, pas aux États-Unis), des coutures rouges sur le volant, les sièges et sur la gaine du levier de vitesses, une chaîne audio à 6 haut-parleurs avec changeur à 6 CD, port USB et intégration iPod et un système de clé intelligente et puis (roulement de tambour svp) un tableau de bord en plastique mou.
Les options, hormis celles décrites plus tôt, comprennent un toit ouvrant électrique (1 400 $) et une chaîne audio Fender de 400 watts avec navigation (1 250 $).
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| La GLI m’a rapidement mis en confiance, me permettant de compléter chaque tour plus vite que le précédent tout en me procurant un plaisir fou. (Photo: Michel Deslauriers/Auto123.com) |
Pourtant la DSG sur la piste n’était pas parfaite. Avec le levier en position ‘S’ (Sport, évidemment), la boîte refusait de monter en rapport à quelques occasions, laissant le moteur franchir la ligne rouge. On peut cependant utiliser les sélecteurs de rapport montés au volant pour garder le contrôle de la boîte. Je préfère la boîte manuelle, avec sa pédale d’embrayage légère et la netteté des courses de son levier de vitesses.
Ah, oui, j’oubliais : comme dans toutes les autres Jetta, on ne peut désactiver le programme électronique de stabilité, mais je peux personnellement attester que le système fait du bon boulot, et n’empêche nullement de s’amuser sur la piste.
On a de plus roulé en campagne durant le trajet entre le centre-ville de Toronto et le circuit de Mosport. Bien que la suspension semble sèche en ville, sans doute à cause du piteux état du pavé, elle s’est avérée plus docile sur l’autoroute et sur les rangs de campagne.
La GLI est fort jolie, avec un pare-chocs dont le design imite celui de la GTI, une grille de calandre unique, des feux arrière fumés, un diffuseur à air noir au pare-chocs arrière, des étriers de freins peints en rouge, des jupes latérales ainsi que des jantes en alliage de 17 pouces que je remplacerais définitivement pour les superbes roues optionnelles de 18 pouces à 975 $. La voiture exhibe un air plus agressif, sans se démarquer clairement des autres Jetta.
À l’intérieur, on profite d’un volant difforme sorti tout droit de la GTI, des pédales en aluminium, des sièges sport avec un garnissage en cuir/tissu ou une sellerie de cuir optionnelle (offerte au Canada, pas aux États-Unis), des coutures rouges sur le volant, les sièges et sur la gaine du levier de vitesses, une chaîne audio à 6 haut-parleurs avec changeur à 6 CD, port USB et intégration iPod et un système de clé intelligente et puis (roulement de tambour svp) un tableau de bord en plastique mou.
Les options, hormis celles décrites plus tôt, comprennent un toit ouvrant électrique (1 400 $) et une chaîne audio Fender de 400 watts avec navigation (1 250 $).
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| À l’intérieur, on profite d’un volant difforme sorti tout droit de la GTI, des sièges sport avec un garnissage en cuir/tissu, des coutures rouges sur le volant, et plus encore. (Photo: Michel Deslauriers/Auto123.com) |