Bien que les prix ne seront annoncés que dans quelques jours, attendez-vous à payer entre 3800 $ et 7000 $ de moins, dépendamment des options choisies, que pour le modèle 2011.
J'ai commencé par essayer la Passat avec moteur TDI. Le décor crème pâle et gris charbon avec garniture en bois se veut conservateur, mais étonnamment bien assemblé compte tenu de l'importante baisse de prix. De l'intérieur, on n'entend aucun cliquetis de moteur diesel. Cette Passat comprend également la technologie Ad Blue avec injection d'urée dans l'échappement qui réduit les émissions polluantes.
Bourrée de couple à bas régime, elle livre sa puissance de manière fluide et constante. Les dépassements ne posent jamais problème et, avec la boîte DSG, les changements de rapport glissent comme dans du beurre à la vitesse de l'éclair.
À mi-chemin pour se rendre à Nashville, je suis passée aux commandes d'une Passat à moteur V6. Doux et puissant, ce dernier coûte plus cher et consomme davantage de carburant, ce qui me fait préférer l'économique mais fringant TDI, dont la moyenne se chiffre à 5,0 L/100 km. Volkswagen s'attend à ce que le V6 séduise 10 % des acheteurs, les deux autres moteurs se partageant équitablement les 90 % restants.
Sur l'autoroute, la Passat 2012 se montre tranquille et, au risque de me répéter, très silencieuse. Le vent ne vient nullement déranger, mais les pneus Continental se font relativement entendre, surtout en virage.
Le convoi a ensuite traversé d'autres petits villages aux routes endommagées. Fort heureusement, les imperfections de la chaussée ont été bien absorbées par la suspension entièrement indépendante avec quatre bras à l'arrière. La Passat conserve sa solidité et son sang-froid en tout temps, son roulis de caisse demeurant marginal et sa conduite, équilibrée. Relié à une direction bien dosée, le volant épais se prend bien en main et communique davantage d'informations au pilote que dans une berline familiale moyenne.
Bien entendu, le roulement de la Passat n'offre pas la fermeté d'une voiture sport, mais il s'avère quand même assez solide pour ne pas donner l'impression de rouler sur de la guimauve et assez confortable pour combler les attentes d'une famille nord-américaine typique.
La prochaine grande étoile
Volkswagen fonde de grands espoirs sur la Passat 2012. « Je crois qu'avec une gamme complète, nous avons l'occasion de vendre autant de véhicules que Mazda et Nissan au Canada », affirme John White, vice-président exécutif de Volkswagen Canada. La Passat jouera un rôle important dans les efforts de la compagnie de gonfler ses ventes annuelles au pays de 45 388 à plus de 55 000 unités.
Plus grande, mieux équipée, plus écoénergétique et nettement plus abordable que sa devancière, la Volkswagen Passat 2012 semble bien positionnée pour perpétuer le succès de la Jetta. Son arrivée dans les salles de montre est prévue pour la deuxième moitié de septembre 2011.
J'ai commencé par essayer la Passat avec moteur TDI. Le décor crème pâle et gris charbon avec garniture en bois se veut conservateur, mais étonnamment bien assemblé compte tenu de l'importante baisse de prix. De l'intérieur, on n'entend aucun cliquetis de moteur diesel. Cette Passat comprend également la technologie Ad Blue avec injection d'urée dans l'échappement qui réduit les émissions polluantes.
Bourrée de couple à bas régime, elle livre sa puissance de manière fluide et constante. Les dépassements ne posent jamais problème et, avec la boîte DSG, les changements de rapport glissent comme dans du beurre à la vitesse de l'éclair.
À mi-chemin pour se rendre à Nashville, je suis passée aux commandes d'une Passat à moteur V6. Doux et puissant, ce dernier coûte plus cher et consomme davantage de carburant, ce qui me fait préférer l'économique mais fringant TDI, dont la moyenne se chiffre à 5,0 L/100 km. Volkswagen s'attend à ce que le V6 séduise 10 % des acheteurs, les deux autres moteurs se partageant équitablement les 90 % restants.
Sur l'autoroute, la Passat 2012 se montre tranquille et, au risque de me répéter, très silencieuse. Le vent ne vient nullement déranger, mais les pneus Continental se font relativement entendre, surtout en virage.
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| La Passat jouera un rôle important dans les efforts de la compagnie de gonfler ses ventes annuelles au pays de 45 388 à plus de 55 000 unités. (Photo: Lesley Wimbush/Auto123.com) |
Le convoi a ensuite traversé d'autres petits villages aux routes endommagées. Fort heureusement, les imperfections de la chaussée ont été bien absorbées par la suspension entièrement indépendante avec quatre bras à l'arrière. La Passat conserve sa solidité et son sang-froid en tout temps, son roulis de caisse demeurant marginal et sa conduite, équilibrée. Relié à une direction bien dosée, le volant épais se prend bien en main et communique davantage d'informations au pilote que dans une berline familiale moyenne.
Bien entendu, le roulement de la Passat n'offre pas la fermeté d'une voiture sport, mais il s'avère quand même assez solide pour ne pas donner l'impression de rouler sur de la guimauve et assez confortable pour combler les attentes d'une famille nord-américaine typique.
La prochaine grande étoile
Volkswagen fonde de grands espoirs sur la Passat 2012. « Je crois qu'avec une gamme complète, nous avons l'occasion de vendre autant de véhicules que Mazda et Nissan au Canada », affirme John White, vice-président exécutif de Volkswagen Canada. La Passat jouera un rôle important dans les efforts de la compagnie de gonfler ses ventes annuelles au pays de 45 388 à plus de 55 000 unités.
Plus grande, mieux équipée, plus écoénergétique et nettement plus abordable que sa devancière, la Volkswagen Passat 2012 semble bien positionnée pour perpétuer le succès de la Jetta. Son arrivée dans les salles de montre est prévue pour la deuxième moitié de septembre 2011.
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