L'espace n'est pas la principale raison qui pousse les gens à se procurer cette voiture; en effet, c'est plutôt exigu. Tant à l'avant qu'à l'arrière, c'est juste; on peut être confortable, mais il faut être de taille moyenne. De plus, le coffre est relativement réduit en partie en raison de la configuration de la carrosserie; heureusement les sièges arrière sont rabattables 60/40. Par contre, la qualité du tissu des sièges est bonne, et il est facile de trouver une position de conduite et d'avoir une bonne visibilité vers l'avant grâce au réglage manuel. La visibilité vers l'arrière n'est pas de tout repos en raison des rétroviseurs qui n'offrent pas un angle de vision suffisamment large.
Un lapin sport
Les voitures de ce format du côté de Volkswagen ont toujours offert un bon agrément de conduite; et cette version ne fait pas exception. Avec un 5-cylindres en ligne de 2,5 litres de 177 chevaux, les performances sont intéressantes. Les accélérations ne sont pas foudroyantes (pour cela, il faut se diriger vers la version GTI), mais elles sont dans la moyenne de la catégorie. Le rendement du moteur est correct sans plus. La consommation de carburant est un peu décevante, j'espérais descendre sous la barre des 10 litres aux 100 kilomètres.
Le reste de la mécanique est un pur plaisir. La boîte de vitesses à embrayage hydraulique est précise et rapide d'exécution. La direction est sportive et communique bien les sensations de la route afin de donner de la précision et du plaisir de conduire. La maniabilité est également très bonne, en partie grâce à l'empattement et au court porte-à-faux de la voiture. Le freinage pourrait cependant gagner en puissance. La Rabbit est un véhicule qui aime se faire conduire dans les courbes, et sa passion pour les virages est communicative pour le conducteur. Le rendez-vous avec l'agrément de conduite n'est donc pas manqué.
Concurrence
De par sa configuration, la Rabbit n'a pas beaucoup de prédateur naturel. En réalité, il n'y a que la Saturn Astra XE (17 900 $) qui est similaire. Par la suite, on peut, bien sûr, inclure les Honda Civic (16 990 $), Toyota Corolla S (18 930 $) et autres berlines compactes de ce monde, mais les versions à hayon sont plus près de la réalité de la Rabbit
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| Avec un 5-cylindres en ligne de 2,5 litres de 177 chevaux, les performances sont intéressantes. |
Un lapin sport
Les voitures de ce format du côté de Volkswagen ont toujours offert un bon agrément de conduite; et cette version ne fait pas exception. Avec un 5-cylindres en ligne de 2,5 litres de 177 chevaux, les performances sont intéressantes. Les accélérations ne sont pas foudroyantes (pour cela, il faut se diriger vers la version GTI), mais elles sont dans la moyenne de la catégorie. Le rendement du moteur est correct sans plus. La consommation de carburant est un peu décevante, j'espérais descendre sous la barre des 10 litres aux 100 kilomètres.
Le reste de la mécanique est un pur plaisir. La boîte de vitesses à embrayage hydraulique est précise et rapide d'exécution. La direction est sportive et communique bien les sensations de la route afin de donner de la précision et du plaisir de conduire. La maniabilité est également très bonne, en partie grâce à l'empattement et au court porte-à-faux de la voiture. Le freinage pourrait cependant gagner en puissance. La Rabbit est un véhicule qui aime se faire conduire dans les courbes, et sa passion pour les virages est communicative pour le conducteur. Le rendez-vous avec l'agrément de conduite n'est donc pas manqué.
Concurrence
De par sa configuration, la Rabbit n'a pas beaucoup de prédateur naturel. En réalité, il n'y a que la Saturn Astra XE (17 900 $) qui est similaire. Par la suite, on peut, bien sûr, inclure les Honda Civic (16 990 $), Toyota Corolla S (18 930 $) et autres berlines compactes de ce monde, mais les versions à hayon sont plus près de la réalité de la Rabbit
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| La direction est sportive et communique bien les sensations de la route. |