Toyota Highlander: Le meilleur de deux mondes
Spécialement développé pour le marché nord-américain, le Highlander témoigne de la volonté de Toyota d'occuper une place de plus en plus grande dans le marché des utilitaires. Dans ce cas-ci, la clientèle visée est l'utilisateur de véhicules de loisir qui privilégient le confort et le côté pratique à celui de l'approche camion préconisé par les Américains. Toyota a trouvé la juste mesure entre le côté pratique d'un véhicule utilitaire et le confort d'une berline.
Carrosserie
Le Highlander ne possède pas une silhouette très inspirée. De l'extérieur, il ressemble à une Camry familiale sur pilotis. Son gabarit le place entre le Land Cruiser (vendu aux États-Unis) et le 4 Runner. Une seule nouveauté digne de mention pour la cuvée 2003, en plus de la traction avant, la version 4 cylindres sera maintenant offerte avec le même système 4 roues motrices que le V6.
Si j'avais un seul conseil à donner aux gens de Toyota: il consisterait à engager un concepteur inspiré car la flotte entière de la compagnie est morose. Chez Toyota, le Highlander est offert avec deux mécaniques. Un quatre cylindres de base avec ses 155 cv et un V6 de 3,0 L qui produit 220 chevaux de puissance toute en souplesse. Disponible en deux ou quatre roues motrices, le Highlander propose l'approche citadine. Suspension indépendante aux quatre roues avec amortisseurs réglés pour un confort optimum, le bitume est son territoire de prédilection. Le système quatre roues motrices divise également l'adhérence 50/50 entre les roues avant et les roues arrière. Résultat, une conduite dans un confort souverain.
Spécialement développé pour le marché nord-américain, le Highlander témoigne de la volonté de Toyota d'occuper une place de plus en plus grande dans le marché des utilitaires. Dans ce cas-ci, la clientèle visée est l'utilisateur de véhicules de loisir qui privilégient le confort et le côté pratique à celui de l'approche camion préconisé par les Américains. Toyota a trouvé la juste mesure entre le côté pratique d'un véhicule utilitaire et le confort d'une berline.
Carrosserie
Le Highlander ne possède pas une silhouette très inspirée. De l'extérieur, il ressemble à une Camry familiale sur pilotis. Son gabarit le place entre le Land Cruiser (vendu aux États-Unis) et le 4 Runner. Une seule nouveauté digne de mention pour la cuvée 2003, en plus de la traction avant, la version 4 cylindres sera maintenant offerte avec le même système 4 roues motrices que le V6.
Si j'avais un seul conseil à donner aux gens de Toyota: il consisterait à engager un concepteur inspiré car la flotte entière de la compagnie est morose. Chez Toyota, le Highlander est offert avec deux mécaniques. Un quatre cylindres de base avec ses 155 cv et un V6 de 3,0 L qui produit 220 chevaux de puissance toute en souplesse. Disponible en deux ou quatre roues motrices, le Highlander propose l'approche citadine. Suspension indépendante aux quatre roues avec amortisseurs réglés pour un confort optimum, le bitume est son territoire de prédilection. Le système quatre roues motrices divise également l'adhérence 50/50 entre les roues avant et les roues arrière. Résultat, une conduite dans un confort souverain.