Sur la route, la voiture ne fait heureusement pas son poids, grâce à beaucoup de puissance, beaucoup de couple, une distribution de poids équilibrée à 50/50 et—nous devinons—la Direction Active Intégrale, qui effectue une légère rotation des roues arrière afin de réduire le diamètre de braquage. On remarque également une différence notable entre les modes Normal et Sport+ de la suspension réglable.
Mais la conduite de la voiture semble artificielle. Il y a tellement de microprocesseurs au boulot, et chaque aspect de la conduite est contrôlé électroniquement, alors on ne sent pas la connexion entre l’homme et la machine comme cela devrait être le cas dans une BMW. Il ne s’agit plus du «Plaisir de conduire», mais plutôt du «Plaisir de se faire conduire».
Bon, on est peut-être un peu dur. La grande force de la Gran Turismo, c’est d’effectuer de longs trajets dans un confort absolu pour cinq—mais particulièrement quatre—adultes. Avec la suspension en mode Normal, la voiture plane sur l’autoroute et la cabine est très sereine.
Dans le GT, les coussins de sièges sont plus hauts que dans la berline de Série 5. En avant, les Sièges Confort se règlent de tellement de manières qu’il est impossible, peu importe la forme et le gabarit d’une personne, de ne pas trouver une position de conduite confortable. À l’arrière, les dossiers divisés se rabattent pour révéler—surprise!—une cloison rabattable et divisible entre l’habitacle et l’aire de chargement.
La cabine est garnie de cuir somptueux, quoique sa couleur blanc ivoire se salisse définitivement après quelques mois de conduite en jeans, des enfants assis en arrière, la gadoue de l’hiver … je pense que vous saisissez le concept.
Le toit ouvrant panoramique de série est un bel ajout, car il ensoleille l’habitacle pour les occupants arrière et leur donne une impression d’espace intérieur supplémentaire. Ces personnes profitent également de leurs propres réglages de chauffage et de climatisation.
 |
| Avec tous les microprocesseurs au boulot, la conduite de la voiture semble artificielle. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
Mais la conduite de la voiture semble artificielle. Il y a tellement de microprocesseurs au boulot, et chaque aspect de la conduite est contrôlé électroniquement, alors on ne sent pas la connexion entre l’homme et la machine comme cela devrait être le cas dans une BMW. Il ne s’agit plus du «Plaisir de conduire», mais plutôt du «Plaisir de se faire conduire».
Bon, on est peut-être un peu dur. La grande force de la Gran Turismo, c’est d’effectuer de longs trajets dans un confort absolu pour cinq—mais particulièrement quatre—adultes. Avec la suspension en mode Normal, la voiture plane sur l’autoroute et la cabine est très sereine.
Dans le GT, les coussins de sièges sont plus hauts que dans la berline de Série 5. En avant, les Sièges Confort se règlent de tellement de manières qu’il est impossible, peu importe la forme et le gabarit d’une personne, de ne pas trouver une position de conduite confortable. À l’arrière, les dossiers divisés se rabattent pour révéler—surprise!—une cloison rabattable et divisible entre l’habitacle et l’aire de chargement.
La cabine est garnie de cuir somptueux, quoique sa couleur blanc ivoire se salisse définitivement après quelques mois de conduite en jeans, des enfants assis en arrière, la gadoue de l’hiver … je pense que vous saisissez le concept.
Le toit ouvrant panoramique de série est un bel ajout, car il ensoleille l’habitacle pour les occupants arrière et leur donne une impression d’espace intérieur supplémentaire. Ces personnes profitent également de leurs propres réglages de chauffage et de climatisation.
 |
| La cabine est garnie de cuir somptueux, quoique sa couleur blanc ivoire se salisse définitivement après quelques mois de conduite en jeans. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |