Nous apprécions également les sièges chauffants qui offrent un bon niveau de confort et de soutien. Et après s’être penché la tête pour accéder à la banquette arrière, on trouve amplement d’espace pour deux adultes, trois si on force la note. L’Avenger n’a pas essayé les hormones de croissance que plusieurs autres berlines intermédiaires ont achetées dans une ruelle sombre.
Le coffre bénéficie d’une bonne taille, mais comme dans bien des voitures, il n’y a pas de poignée à l’intérieur du couvercle, alors à chaque fois qu’on le referme en hiver, on se salit la main. Yark !
La voiture est motivée par le V6 Chrysler de 3,5 litres à 24 soupapes qui génère 235 chevaux et un couple de 232 lb-pi, géré par une boîte automatique à 6 rapports avec mode manuel. La concurrence à motorisation similaire compte environ 30 chevaux de plus et plus de couple à bas régime, et le V6 de l’Avenger ne semble pas heureux lors d’accélérations à plein régime.
Des commentaires sarcastiques ont été entendus autour de la machine à eau du bureau, tels que : « une chance qu’ils l’appellent le V6 à haut rendement ». Néanmoins, il est doux et silencieux à vitesse d’autoroute. Le V6 de 2,7 litres ne s’offre plus dans l’Avenger, ce qui ne nous fera pas pleurer.
La R/T prend 8,0 secondes pour atteindre les 100 km/h, ce qui ne semble pas aussi rapide que certaines rivales intermédiaires munies de moteurs V6. Mais encore là, êtes-vous vraiment si pressés, tout le temps? Je ne crois pas. La consommation d’essence n’est pas mauvaise, cependant, puisque notre moyenne côtoie le 11,8 L/100 km.
Les roues 18 pouces et la suspension sport de la voiture procurent un roulement un peu sec, mais on doit s’y attendre lorsqu’on choisit le modèle R/T. À part un peu de bruit de suspension, si typique dans les produits Chrysler, l’Avenger s’avère très agréable durant de longs voyages. Un passager a apporté un bon point : elle profiterait peut-être d’une meilleure insonorisation au plancher et au mur pare-feu.
Quant à son apparence, le look mini-Charger s’affiche plutôt attrayant. Les ailes arrière bombées donnent du muscle à la voiture mais coupent dans les glaces latérales arrière, ce qui réduit la visibilité arrière un peu. Ce qui apparaît particulier de l’Avenger, c’est que la carrosserie semble haute du sol, on constate la même chose avec la Caliber.
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| Nous apprécions les sièges chauffants qui offrent un bon niveau de confort et de soutien. (Photo: Chrysler) |
Le coffre bénéficie d’une bonne taille, mais comme dans bien des voitures, il n’y a pas de poignée à l’intérieur du couvercle, alors à chaque fois qu’on le referme en hiver, on se salit la main. Yark !
La voiture est motivée par le V6 Chrysler de 3,5 litres à 24 soupapes qui génère 235 chevaux et un couple de 232 lb-pi, géré par une boîte automatique à 6 rapports avec mode manuel. La concurrence à motorisation similaire compte environ 30 chevaux de plus et plus de couple à bas régime, et le V6 de l’Avenger ne semble pas heureux lors d’accélérations à plein régime.
Des commentaires sarcastiques ont été entendus autour de la machine à eau du bureau, tels que : « une chance qu’ils l’appellent le V6 à haut rendement ». Néanmoins, il est doux et silencieux à vitesse d’autoroute. Le V6 de 2,7 litres ne s’offre plus dans l’Avenger, ce qui ne nous fera pas pleurer.
La R/T prend 8,0 secondes pour atteindre les 100 km/h, ce qui ne semble pas aussi rapide que certaines rivales intermédiaires munies de moteurs V6. Mais encore là, êtes-vous vraiment si pressés, tout le temps? Je ne crois pas. La consommation d’essence n’est pas mauvaise, cependant, puisque notre moyenne côtoie le 11,8 L/100 km.
Les roues 18 pouces et la suspension sport de la voiture procurent un roulement un peu sec, mais on doit s’y attendre lorsqu’on choisit le modèle R/T. À part un peu de bruit de suspension, si typique dans les produits Chrysler, l’Avenger s’avère très agréable durant de longs voyages. Un passager a apporté un bon point : elle profiterait peut-être d’une meilleure insonorisation au plancher et au mur pare-feu.
Quant à son apparence, le look mini-Charger s’affiche plutôt attrayant. Les ailes arrière bombées donnent du muscle à la voiture mais coupent dans les glaces latérales arrière, ce qui réduit la visibilité arrière un peu. Ce qui apparaît particulier de l’Avenger, c’est que la carrosserie semble haute du sol, on constate la même chose avec la Caliber.
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| Les roues 18 pouces et la suspension sport de la voiture procurent un roulement un peu sec. (Photo: Chrysler) |