L'écurie qui a réalisé le changement de pneus le plus rapide de l'histoire de la Formule 1, McLaren, vise à en effectuer des plus rapides au cours de la saison 2013, selon ce que publie mardi le magazine britannique Autosport.
Les mécanos de l'écurie McLaren ont changé les quatre pneus Pirelli de la MP4-27 de Jenson Button en seulement 2,3 secondes à l'occasion du Grand Prix d'Allemagne au Hockenheimring l'été dernier.
Dans son article, Autosport a demandé au directeur sportif de McLaren, Sam Michael, si le temps requis pour changer les pneus avait atteint la limite des possibilités physiques.
« Ils le sont, mais il n'est pas difficile en ce moment de constater que bien des choses peuvent évoluer », d'affirmer l'ingénieur australien.
« Notre objectif pour l'an prochain est de réaliser des arrêts sous la barre des deux secondes. Nous disposerons de quelques améliorations technologiques, mais déjà notre préparation à la première course de 2013 est complètement différente à celle que nous avons effectuée cette saison. Notre but est d'effectuer des arrêts en moins de deux secondes dès cet hiver pour que cette rapidité d'exécution soit routinière la saison prochaine et non plus un exploit », de poursuivre Sam Michael.
Pour ce faire, l'écurie doit concevoir de nouvelles composantes, comme des écrous et des porte-moyeux, des crics et peut-être des pistolets à air comprimé.
Mais pourquoi cette obsession à effectuer des arrêts encore plus rapides ? « Quand la compétition est tellement serrée, avec 50 millièmes de seconde ici et là, les changements de pneus font une énorme différence dans l'issue d'une course. Économiser une demi-seconde représente un gain de temps énorme », d'expliquer Michael.
Les mécanos de l'écurie McLaren ont changé les quatre pneus Pirelli de la MP4-27 de Jenson Button en seulement 2,3 secondes à l'occasion du Grand Prix d'Allemagne au Hockenheimring l'été dernier.
Dans son article, Autosport a demandé au directeur sportif de McLaren, Sam Michael, si le temps requis pour changer les pneus avait atteint la limite des possibilités physiques.
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| Photo: McLaren |
« Ils le sont, mais il n'est pas difficile en ce moment de constater que bien des choses peuvent évoluer », d'affirmer l'ingénieur australien.
« Notre objectif pour l'an prochain est de réaliser des arrêts sous la barre des deux secondes. Nous disposerons de quelques améliorations technologiques, mais déjà notre préparation à la première course de 2013 est complètement différente à celle que nous avons effectuée cette saison. Notre but est d'effectuer des arrêts en moins de deux secondes dès cet hiver pour que cette rapidité d'exécution soit routinière la saison prochaine et non plus un exploit », de poursuivre Sam Michael.
Pour ce faire, l'écurie doit concevoir de nouvelles composantes, comme des écrous et des porte-moyeux, des crics et peut-être des pistolets à air comprimé.
Mais pourquoi cette obsession à effectuer des arrêts encore plus rapides ? « Quand la compétition est tellement serrée, avec 50 millièmes de seconde ici et là, les changements de pneus font une énorme différence dans l'issue d'une course. Économiser une demi-seconde représente un gain de temps énorme », d'expliquer Michael.