Quelle surprise! Ses larges épaules ont rentré tout juste mais confortablement dans le siège. Il a toutefois insisté pour que notre sortie soit de courte durée, mais en m'avouant du même souffle que l'espace pour les jambes et la tête lui convenait et qu'il pouvait tolérer le siège dans lequel il prenait place. Bref, cette expérience me confirme que la MX-5 n'est pas recommandée pour les individus mesurant six pieds ou plus.
Aucun de nous n'aime entrer et sortir d'une voiture qui repose aussi près du sol (est-ce un signe de vieillissement?), mais le bas centre de gravité et la configuration de la MX-5 (moteur avant, roues motrices arrière) favorisent une répartition quasi parfaite du poids. Il en résulte une tenue de route prévisible et docile, comme c'est le cas d'année en année.
Ce que j'aime par-dessus tout, c'est la sensation de conduire un go-kart en ville et de jouir d'une stabilité remarquable à haute vitesse. Le toit rigide rétractable procure une insonorisation supplémentaire, mais l'intérieur demeure quand même assez bruyant, en particulier sur l'autoroute. Cela dit, le moteur à quatre cylindres de 2,0 litres développant 158 chevaux (167 avec la boîte manuelle) émet un son grisant.
La Mazda MX-5 2011 de base inclut des commodités de série telles qu'un régulateur de vitesse, des commandes audio sur le volant, des espaces de rangement pratiques un peu partout, une colonne de direction inclinable, un lecteur CD/MP3 et une prise auxiliaire. Malheureusement, il faut opter pour la version supérieure GT afin de compter sur la téléphonie Bluetooth et la radio satellite SIRIUS.
En matière de sécurité, ce roadster possède des freins à disque aux quatre roues avec antiblocage, un système antidérapage ainsi que des coussins gonflables frontaux et latéraux.
La GT ajoute une chaîne audio Bose à sept haut-parleurs qui livre un son incroyable même en roulant la capote baissée.
Ah oui, j'oubliais : j'ai passé une semaine entière avec la boîte automatique à six rapports et je reste impressionnée. Avec son mode Sport (manuel) assorti de sélecteurs de vitesses au volant, elle offre le meilleur des deux mondes – douceur et rapidité.
Vraiment, je ne m'attendais pas à cela. Pouvoir faire grimper le régime et conduire cette petite sportive de manière plus agressive a rendu mon expérience terriblement gratifiante. Dans la circulation dense, gardez la boîte en mode automatique et n'y pensez même plus. Quand l'envie de vous amuser se fait sentir, prenez vous-même le contrôle des rapports.
La présence d'un verre de café ou d'une bouteille d'eau dans la console devient un irritant de la conduite manuelle à l'aide d'un levier. Or, dans ce cas-ci, on peut garder les deux mains sur le volant en tout temps grâce aux sélecteurs en question.
Dilemme, dilemme... Je n'arrive pas à y croire : j'aurais bien du mal à choisir entre la boîte manuelle ou l'automatique. Peut-être que le prix jouera un rôle décisif. Voyons voir, une MX-5 GX manuelle (5 rapports) se vend à partir de 28 995 $ et elle s'avère drôlement excitante à conduire.
À l'autre bout de l'échelle, la version GT frôle les 40 000 $ et ses divers équipements additionnels valent à mon avis le supplément exigé. Pour 1200 $ de plus, la boîte automatique avec sélecteurs de vitesses se veut une option très intéressante.
Bon, je vais l'avouer : je pense que j'ai éprouvé davantage de plaisir avec l'automatique. Cette petite Japonaise continue de m'impressionner.
Aucun de nous n'aime entrer et sortir d'une voiture qui repose aussi près du sol (est-ce un signe de vieillissement?), mais le bas centre de gravité et la configuration de la MX-5 (moteur avant, roues motrices arrière) favorisent une répartition quasi parfaite du poids. Il en résulte une tenue de route prévisible et docile, comme c'est le cas d'année en année.
Ce que j'aime par-dessus tout, c'est la sensation de conduire un go-kart en ville et de jouir d'une stabilité remarquable à haute vitesse. Le toit rigide rétractable procure une insonorisation supplémentaire, mais l'intérieur demeure quand même assez bruyant, en particulier sur l'autoroute. Cela dit, le moteur à quatre cylindres de 2,0 litres développant 158 chevaux (167 avec la boîte manuelle) émet un son grisant.
La Mazda MX-5 2011 de base inclut des commodités de série telles qu'un régulateur de vitesse, des commandes audio sur le volant, des espaces de rangement pratiques un peu partout, une colonne de direction inclinable, un lecteur CD/MP3 et une prise auxiliaire. Malheureusement, il faut opter pour la version supérieure GT afin de compter sur la téléphonie Bluetooth et la radio satellite SIRIUS.
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| Ce que j'aime par-dessus tout, c'est la sensation de conduire un go-kart en ville et de jouir d'une stabilité remarquable à haute vitesse. (Photo: Mazda) |
En matière de sécurité, ce roadster possède des freins à disque aux quatre roues avec antiblocage, un système antidérapage ainsi que des coussins gonflables frontaux et latéraux.
La GT ajoute une chaîne audio Bose à sept haut-parleurs qui livre un son incroyable même en roulant la capote baissée.
Ah oui, j'oubliais : j'ai passé une semaine entière avec la boîte automatique à six rapports et je reste impressionnée. Avec son mode Sport (manuel) assorti de sélecteurs de vitesses au volant, elle offre le meilleur des deux mondes – douceur et rapidité.
Vraiment, je ne m'attendais pas à cela. Pouvoir faire grimper le régime et conduire cette petite sportive de manière plus agressive a rendu mon expérience terriblement gratifiante. Dans la circulation dense, gardez la boîte en mode automatique et n'y pensez même plus. Quand l'envie de vous amuser se fait sentir, prenez vous-même le contrôle des rapports.
La présence d'un verre de café ou d'une bouteille d'eau dans la console devient un irritant de la conduite manuelle à l'aide d'un levier. Or, dans ce cas-ci, on peut garder les deux mains sur le volant en tout temps grâce aux sélecteurs en question.
Dilemme, dilemme... Je n'arrive pas à y croire : j'aurais bien du mal à choisir entre la boîte manuelle ou l'automatique. Peut-être que le prix jouera un rôle décisif. Voyons voir, une MX-5 GX manuelle (5 rapports) se vend à partir de 28 995 $ et elle s'avère drôlement excitante à conduire.
À l'autre bout de l'échelle, la version GT frôle les 40 000 $ et ses divers équipements additionnels valent à mon avis le supplément exigé. Pour 1200 $ de plus, la boîte automatique avec sélecteurs de vitesses se veut une option très intéressante.
Bon, je vais l'avouer : je pense que j'ai éprouvé davantage de plaisir avec l'automatique. Cette petite Japonaise continue de m'impressionner.
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