La MP4-12C s’en trouve aussi plus pesante que la F1, mais « pesant » est un terme relatif : le véhicule complet ne pèse que 1 300 kg.
Le capot, le toit et les ailes avant sont également en aluminium. Les autres plaques sont en fibre de verre (SMC).
Groupe motopropulseur
Le V8 de 3,8 litres calé à 90 degrés a été conçu par McLaren et est construit par un fournisseur en Angleterre. Il est entièrement en aluminium et dispose d’un carter sec, de l’injection directe et de deux turbocompresseurs. Il produit 592 ch à 7 000 r/min et 443 pi-lb de couple à 6 500 r/min.
L’échappement en acier inoxydable est fixé haut sur le moteur, afin d’assurer la sortie rapide et directe des émissions, sans déviation. On peut également opter pour un système d’échappement en alliage.
Selon Freiberger, 80 % du couple est disponible à 2 000 tours et 100 % à 3 000 tours. On aura donc droit à une belle vivacité : McLaren parle d’un 0 à 100 km/h en moins de quatre secondes et d’une vitesse de pointe de 320 km/h.
Le moteur est associé à une boîte à double embrayage à sept rapports. Aucune pédale d’embrayage. Modes automatique et manuel, ce dernier à l’aide d’une palette qui pivote au centre du volant, façon Formule 1.
Personnalité dynamique
On y trouve de nombreux systèmes et solutions mécaniques axés sur la dynamique de conduite. En voici un échantillon :
Le capot, le toit et les ailes avant sont également en aluminium. Les autres plaques sont en fibre de verre (SMC).
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| Photo: Mathieu St-Pierre/Auto123.com |
Groupe motopropulseur
Le V8 de 3,8 litres calé à 90 degrés a été conçu par McLaren et est construit par un fournisseur en Angleterre. Il est entièrement en aluminium et dispose d’un carter sec, de l’injection directe et de deux turbocompresseurs. Il produit 592 ch à 7 000 r/min et 443 pi-lb de couple à 6 500 r/min.
L’échappement en acier inoxydable est fixé haut sur le moteur, afin d’assurer la sortie rapide et directe des émissions, sans déviation. On peut également opter pour un système d’échappement en alliage.
Selon Freiberger, 80 % du couple est disponible à 2 000 tours et 100 % à 3 000 tours. On aura donc droit à une belle vivacité : McLaren parle d’un 0 à 100 km/h en moins de quatre secondes et d’une vitesse de pointe de 320 km/h.
Le moteur est associé à une boîte à double embrayage à sept rapports. Aucune pédale d’embrayage. Modes automatique et manuel, ce dernier à l’aide d’une palette qui pivote au centre du volant, façon Formule 1.
Personnalité dynamique
On y trouve de nombreux systèmes et solutions mécaniques axés sur la dynamique de conduite. En voici un échantillon :
- Un soubassement entièrement fermé, comprenant des béquets avant et arrière;
- Des prises d’air latérales qui ont permis d’affiner le train arrière par rapport aux autres véhicules animés par un moteur central à haut rendement semblable;
- L’« Airbrake » de McLaren, un dispositif actif arrière rappelant un aileron et qui aide à stabiliser la voiture au freinage;
- Le contrôle du décollage;
- Le système « Brake Steer » qui réduit le sous-virage;
- Des disques en céramique optionnels;
- Une suspension à triangles avant et arrière boulonnée directement au châssis;
- Des amortisseurs à commande hydraulique proposant trois réglages (normal, sport et piste);
- Le système d’amortissement partage son liquide et sa pompe avec la servodirection afin de réduire le poids;
- Les autres solutions d’allègement comprennent l’utilisation d’une batterie au lithium-ion et d’un support de tableau de bord en magnésium (le logo McLaren y est gravé, réduisant le poids de 2,1 grammes supplémentaires!).
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| Photo: Mathieu St-Pierre/Auto123.com |