L’ingénieur de Lotus Colin Chapman est devenu quasi immortel grâce à l’héritage de petites voitures sport privilégiant la légèreté plutôt que la puissance qu’il nous a laissé. Or, avec le récent dévoilement de la Lotus Elite au Mondial de Paris, on se demande si le Prince de la Légèreté ne se retourne pas dans sa tombe!
En effet, l’Elite n’a rien à voir avec la philosophie traditionnelle de Lotus, où les petites voitures deux places agiles et légères sont reines. Une quatre-places substantielle du genre Grand Tourisme, l’Elite fait pencher la balance avec ses 1633 kilos costauds, sans parler du handicap supplémentaire qu’est son toit rigide rétractable.
Cependant, cette Lotus n’a rien d’un gros glouton. Sublime avec ses lignes coulantes et séduisantes, l’Elite possède le genre de beauté exotique digne d’une voiture de Monsieur James Bond lui-même!
Une bombe qui compte s’en prendre à des supervoitures de la trempe de la Ferrari 612, sous son long capot l’Elite cache 612 furieux chevaux entassés dans un V8 de 5,0 litres. La puissance est prise en main par une boîte automatique à sept rapports. La configuration de moteur central avant assure un excellent équilibre.
Le moteur est une version modifiée du moteur Lexus IS-F et peut catapulter l’Elite de 0 à 100 km/h en 3,2 secondes. Or, alors que la supervoiture Lexus (la LF-A) affiche une étiquette exorbitante de 375 000 $, l’Elite, qui verra le jour en 2014, devrait coûter la moitié de ça.
« Ne vous méprenez pas, il existe bel et bien un besoin et un marché pour l’Elite », a déclaré le directeur général de Lotus, Danny Bahar, au lancement à Paris. « Elle offre l’ultime expérience sport associée au confort et à l’espace. Il y en aura toujours qui croiront que Lotus devrait s’en tenir aux petites sportives, mais nous n’avons pas pris la décision de créer quelque chose comme l’Elite à la légère. »
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| Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com |
En effet, l’Elite n’a rien à voir avec la philosophie traditionnelle de Lotus, où les petites voitures deux places agiles et légères sont reines. Une quatre-places substantielle du genre Grand Tourisme, l’Elite fait pencher la balance avec ses 1633 kilos costauds, sans parler du handicap supplémentaire qu’est son toit rigide rétractable.
Cependant, cette Lotus n’a rien d’un gros glouton. Sublime avec ses lignes coulantes et séduisantes, l’Elite possède le genre de beauté exotique digne d’une voiture de Monsieur James Bond lui-même!
Une bombe qui compte s’en prendre à des supervoitures de la trempe de la Ferrari 612, sous son long capot l’Elite cache 612 furieux chevaux entassés dans un V8 de 5,0 litres. La puissance est prise en main par une boîte automatique à sept rapports. La configuration de moteur central avant assure un excellent équilibre.
Le moteur est une version modifiée du moteur Lexus IS-F et peut catapulter l’Elite de 0 à 100 km/h en 3,2 secondes. Or, alors que la supervoiture Lexus (la LF-A) affiche une étiquette exorbitante de 375 000 $, l’Elite, qui verra le jour en 2014, devrait coûter la moitié de ça.
« Ne vous méprenez pas, il existe bel et bien un besoin et un marché pour l’Elite », a déclaré le directeur général de Lotus, Danny Bahar, au lancement à Paris. « Elle offre l’ultime expérience sport associée au confort et à l’espace. Il y en aura toujours qui croiront que Lotus devrait s’en tenir aux petites sportives, mais nous n’avons pas pris la décision de créer quelque chose comme l’Elite à la légère. »
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| Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com |
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