Passagers
L'acheteur de la STI pensera d'abord à lui, mais son passager avant sera presque aussi gâté grâce au confort du baquet. Il aurait été utile d'offrir les mêmes réglages mécaniques du baquet. Si le système de navigation se révèle aisé à programmer, la chaîne audio, quant à elle, a une bonne sonorité et est conviviale à l'utilisation pour le pilote. L'insertion d'un CD demande un temps d'arrêt.
L'insonorisation de la voiture mérite une bonne mention car elle permet au conducteur d'écouter sa musique préférée quand il roule sagement en ville ou sur l'autoroute. Comme il s'agit d'un véhicule à quatre portières, l'accès aux places arrière est facile : les passagers y trouveront un bon dégagement, mais un confort plus limité en raison d'une suspension plus ferme que celle de la WRX de base ou de l'Impreza.
Puissance dosée
Le mode I du système SI-Drive permet de conduire cette petite bombe avec modération, douceur et économie de carburant, idéal aux heures de pointe. Si l'on souhaite un peu plus de puissance, on passe au mode Sport. Je l'ai utilisé sur les routes secondaires, concentrant mes efforts sur la tenue de route. Mais j'ai préféré sauter au mode SS plutôt que le S, notamment dans la circulation, car il produit instantanément la réaction du papillon des gaz. De plus, sa commande ne demande qu'un petit tour de la main pour s'enclencher.
On s'enfonce alors dans le baquet, car le boxer à turbocompresseur de 2,5 litres lâche alors toute sa cavalerie. J'aime cet équilibre et cette puissance, car il permet de répondre intelligemment aux besoins du moment. Sans trop forcer, j'ai obtenu les données suivantes en fonction des trois modes : 0 à 100 km/h 8,3/6,45/6,4 secondes. Les dépassements de 80 à 120 km/h donnent des différences senties : 5,18/4,7/4,5 secondes.
Sur la route
L'amortissement de la STI a été revu pour donner un roulement plus doux que dans la version précédente, et c'est tant mieux. L'ancienne version était pensée pour la piste. Celle-ci convient aux deux et permet de rouler de façon raisonnablement confortable au quotidien. On sent un léger roulis en virage serré, mais la STI colle à la route.
L'acheteur de la STI pensera d'abord à lui, mais son passager avant sera presque aussi gâté grâce au confort du baquet. Il aurait été utile d'offrir les mêmes réglages mécaniques du baquet. Si le système de navigation se révèle aisé à programmer, la chaîne audio, quant à elle, a une bonne sonorité et est conviviale à l'utilisation pour le pilote. L'insertion d'un CD demande un temps d'arrêt.
L'insonorisation de la voiture mérite une bonne mention car elle permet au conducteur d'écouter sa musique préférée quand il roule sagement en ville ou sur l'autoroute. Comme il s'agit d'un véhicule à quatre portières, l'accès aux places arrière est facile : les passagers y trouveront un bon dégagement, mais un confort plus limité en raison d'une suspension plus ferme que celle de la WRX de base ou de l'Impreza.
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| La Subaru Impreza WRX STI a un moteur turbocompresser de 2,5 litres. |
Puissance dosée
Le mode I du système SI-Drive permet de conduire cette petite bombe avec modération, douceur et économie de carburant, idéal aux heures de pointe. Si l'on souhaite un peu plus de puissance, on passe au mode Sport. Je l'ai utilisé sur les routes secondaires, concentrant mes efforts sur la tenue de route. Mais j'ai préféré sauter au mode SS plutôt que le S, notamment dans la circulation, car il produit instantanément la réaction du papillon des gaz. De plus, sa commande ne demande qu'un petit tour de la main pour s'enclencher.
On s'enfonce alors dans le baquet, car le boxer à turbocompresseur de 2,5 litres lâche alors toute sa cavalerie. J'aime cet équilibre et cette puissance, car il permet de répondre intelligemment aux besoins du moment. Sans trop forcer, j'ai obtenu les données suivantes en fonction des trois modes : 0 à 100 km/h 8,3/6,45/6,4 secondes. Les dépassements de 80 à 120 km/h donnent des différences senties : 5,18/4,7/4,5 secondes.
Sur la route
L'amortissement de la STI a été revu pour donner un roulement plus doux que dans la version précédente, et c'est tant mieux. L'ancienne version était pensée pour la piste. Celle-ci convient aux deux et permet de rouler de façon raisonnablement confortable au quotidien. On sent un léger roulis en virage serré, mais la STI colle à la route.
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| L'amortissement de la STI a été revu pour donner un roulement plus doux que dans la version précédente. |