Pas de boîte manuelle disponible
Dommage, une seule boîte de vitesses accompagne le V6, en l’occurrence une automatique à cinq rapports avec mode manuel et palettes au volant. Cette boîte s’avère efficace, douce et superbement précise. Bien que les palettes favorisent des passages rapides, elles ne parviennent pas à reproduire la sensation d’une vraie boîte manuelle.
Malheureusement, la TSX n’offre pas non plus la traction intégrale SH-AWD d’Acura. Je ne suis pas un fan des berlines à traction avant, surtout quand on parle de voitures de performance. Dans ce cas-ci, je dois reconnaître que les ingénieurs de Honda ont fait un boulot honnête même si leur système n’est pas parfait.
Ainsi, les accélérations intenses sur tout ce qui n’est pas une surface parfaitement plane et dans une trajectoire droite comme une flèche entraînent un effet de couple notable dans la direction et un tirage latéral désagréable. Bien que la TSX se comporte mieux que la plupart des voitures à traction avant de puissance comparable, il faut quand même rester prudent lorsqu’on désire solliciter toute la cavalerie.
Espérons que l’application de la traction intégrale d’Acura s’étendra une fois de plus dans la gamme et rejoindra la belle TSX. Pareille bonification en ferait une joueuse très difficile à battre dans le créneau des berlines sport de luxe d’entrée de gamme, son rapport qualité/prix et sa tenue de route typiquement japonaise aidant à faire le poids contre les dangereuses Allemandes.
Conduite assortie au surplus de puissance
Depuis son lancement en 2004, la TSX m’a toujours charmé au volant. Les ingénieurs l’ont dotée d’un châssis dynamique et sportif à souhait, un élément qui inspire grandement confiance lorsqu’on s’attaque à un ruban d’asphalte sinueux.
La direction précise et la tenue de route prévisible de la TSX ne compromettent pas sa qualité de roulement, ce qui est merveilleux. La voiture communique un sentiment de solidité et de calme sur les chaussées endommagées, sentiment qui ne fait que redoubler le confort des occupants en général.
Dommage, une seule boîte de vitesses accompagne le V6, en l’occurrence une automatique à cinq rapports avec mode manuel et palettes au volant. Cette boîte s’avère efficace, douce et superbement précise. Bien que les palettes favorisent des passages rapides, elles ne parviennent pas à reproduire la sensation d’une vraie boîte manuelle.
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| Dommage, une seule boîte de vitesses accompagne le V6, en l’occurrence une automatique à cinq rapports. |
Malheureusement, la TSX n’offre pas non plus la traction intégrale SH-AWD d’Acura. Je ne suis pas un fan des berlines à traction avant, surtout quand on parle de voitures de performance. Dans ce cas-ci, je dois reconnaître que les ingénieurs de Honda ont fait un boulot honnête même si leur système n’est pas parfait.
Ainsi, les accélérations intenses sur tout ce qui n’est pas une surface parfaitement plane et dans une trajectoire droite comme une flèche entraînent un effet de couple notable dans la direction et un tirage latéral désagréable. Bien que la TSX se comporte mieux que la plupart des voitures à traction avant de puissance comparable, il faut quand même rester prudent lorsqu’on désire solliciter toute la cavalerie.
Espérons que l’application de la traction intégrale d’Acura s’étendra une fois de plus dans la gamme et rejoindra la belle TSX. Pareille bonification en ferait une joueuse très difficile à battre dans le créneau des berlines sport de luxe d’entrée de gamme, son rapport qualité/prix et sa tenue de route typiquement japonaise aidant à faire le poids contre les dangereuses Allemandes.
Conduite assortie au surplus de puissance
Depuis son lancement en 2004, la TSX m’a toujours charmé au volant. Les ingénieurs l’ont dotée d’un châssis dynamique et sportif à souhait, un élément qui inspire grandement confiance lorsqu’on s’attaque à un ruban d’asphalte sinueux.
La direction précise et la tenue de route prévisible de la TSX ne compromettent pas sa qualité de roulement, ce qui est merveilleux. La voiture communique un sentiment de solidité et de calme sur les chaussées endommagées, sentiment qui ne fait que redoubler le confort des occupants en général.
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| La direction précise et la tenue de route prévisible de la TSX ne compromettent pas sa qualité de roulement. |