Comportement
Après avoir mis le contact et enfoncé la pédale d'embrayage, on appuie sur le bouton rouge. Le V12 déclenche son grondement. Wow ! On emballe un peu le moteur, question de s'assurer qu'on ne rêve pas. Quelle merveille ! Le levier de vitesses glisse dans un parcours assez long mais au milieu d'engrenages serrés, qui découragent l'erreur. La course de la pédale d'embrayage est également longue, et lourde de surcroît. La meilleure façon de casser un soulier neuf consiste à maintenir cette pédale à un feu rouge. Le petit volant mi-bois mi-cuir communique les ordres instantanément aux roues. Les réflexes sont vifs, voire surprenants pour une voiture au capot aussi long. Mais la cavalerie qui piaffe d'impatience se rappelle à notre bon souvenir. On n'a qu'à appuyer légèrement sur l'accélérateur et la DB7 bondit littéralement. On tient le volant à deux mains, c'est plus prudent. La suspension musclée et la qualité des sièges nous font quand même vivre l'expérience de la vitesse sur fond de tendresse. Le toit amovible se descend semi manuellement puisque l'occupant doit lui-même le dégrafer avant d'actionner sa descente automatique. En revanche, la lunette arrière est en verre et pourvue d'un dégivreur.
Habitacle
Difficile d'essayer un habitacle plus seyant. Dans le siège du conducteur, très galbé, une personne de forte taille sera mal à l'aise. La banquette arrière a été conçue dans la plus pure tradition 2+2, c'est-à-dire bonne pour les enfants en bas âge. Dommage car ces deux places ont l'air invitantes avec leurs nombreux coussins dodus. Le mariage du cuir, du suède et du bois est parfait. La voiture de mon essai mêlait le beige et le vert avec un goût irréprochable. Le toit de toile en place, on ne peut que vouloir caresser l'intérieur de la capote recouverte de suède. Tout dans l'habitacle doit être petit, faute d'espace. Les cadrans sont beaux et nombreux mais serrés. Les témoins lumineux sont alignés sur une bande étroite et cachée par l'arcade des cadrans. C'est à tâtons qu'on trouve les réglages du siège, car ils sont coincés entre le coussin et la portière. Les interrupteurs de la chaîne audio sont minuscules, comme les espaces de rangement. Une seule façon de s'en sortir : on règle tout ce qu'il faut avant de partir puis on oublie les boutons pour se concentrer sur la route et la conduite. Et là, mes amis, il ny a plus rien de petit !
Après avoir mis le contact et enfoncé la pédale d'embrayage, on appuie sur le bouton rouge. Le V12 déclenche son grondement. Wow ! On emballe un peu le moteur, question de s'assurer qu'on ne rêve pas. Quelle merveille ! Le levier de vitesses glisse dans un parcours assez long mais au milieu d'engrenages serrés, qui découragent l'erreur. La course de la pédale d'embrayage est également longue, et lourde de surcroît. La meilleure façon de casser un soulier neuf consiste à maintenir cette pédale à un feu rouge. Le petit volant mi-bois mi-cuir communique les ordres instantanément aux roues. Les réflexes sont vifs, voire surprenants pour une voiture au capot aussi long. Mais la cavalerie qui piaffe d'impatience se rappelle à notre bon souvenir. On n'a qu'à appuyer légèrement sur l'accélérateur et la DB7 bondit littéralement. On tient le volant à deux mains, c'est plus prudent. La suspension musclée et la qualité des sièges nous font quand même vivre l'expérience de la vitesse sur fond de tendresse. Le toit amovible se descend semi manuellement puisque l'occupant doit lui-même le dégrafer avant d'actionner sa descente automatique. En revanche, la lunette arrière est en verre et pourvue d'un dégivreur.Habitacle
Difficile d'essayer un habitacle plus seyant. Dans le siège du conducteur, très galbé, une personne de forte taille sera mal à l'aise. La banquette arrière a été conçue dans la plus pure tradition 2+2, c'est-à-dire bonne pour les enfants en bas âge. Dommage car ces deux places ont l'air invitantes avec leurs nombreux coussins dodus. Le mariage du cuir, du suède et du bois est parfait. La voiture de mon essai mêlait le beige et le vert avec un goût irréprochable. Le toit de toile en place, on ne peut que vouloir caresser l'intérieur de la capote recouverte de suède. Tout dans l'habitacle doit être petit, faute d'espace. Les cadrans sont beaux et nombreux mais serrés. Les témoins lumineux sont alignés sur une bande étroite et cachée par l'arcade des cadrans. C'est à tâtons qu'on trouve les réglages du siège, car ils sont coincés entre le coussin et la portière. Les interrupteurs de la chaîne audio sont minuscules, comme les espaces de rangement. Une seule façon de s'en sortir : on règle tout ce qu'il faut avant de partir puis on oublie les boutons pour se concentrer sur la route et la conduite. Et là, mes amis, il ny a plus rien de petit !




