Il me fait grand plaisir de vous confirmer que la A1 jouit bel et bien de la technologie quattro. À l'instar des A3 et TT, elle emploie un embrayage hydraulique multidisque à commande électronique au niveau de l'essieu arrière afin d'acheminer vers celui-ci, au besoin, une partie du couple normalement distribué à l'essieu avant.
Au lieu de compter sur une suspension ajustable, la A1 possède des jambes de force conventionnelles à l'avant et une poutre de torsion à l'arrière. La version supérieure S line dont parle la rumeur nous promet des ressorts et amortisseurs qui favorisent un roulement plus ferme et plus sportif que celui déjà très solide de la version régulière.
Tel un parcours de rallye hivernal, le circuit glacé de Mécaglisse comportait des montées et des descentes se succédant en lacet autour des sapins gorgés de neige. Dès le deuxième tour, j'ai pris confiance grâce à la stabilité rassurante de la A1, de même qu'à sa servodirection rapide et communicative.
Anticipant un peu de sous-virage dans les courbes glissantes, j'ai été surprise de voir le système de répartition électronique du couple éliminer pratiquement tout recours à des manœuvres de contre-braquage. En redirigeant la puissance lors du patinage des roues, la A1 s'accrochait férocement même dans les courbes en dévers. Sa voie est légèrement plus large que celle de la Polo et rehausse la sensation de stabilité.
Nous avons ouï-dire qu'une version RS biturbo de 180 chevaux figure dans les plans. Entretemps, Audi propose divers choix de motorisation accompagnés d'une boîte manuelle à six rapports ou, en option, d'une boîte automatique à double embrayage à sept rapports avec sélecteurs de vitesses au volant.
L'exemplaire que j'ai personnellement testé renfermait un quatre-cylindres de 1,4 litre développant 121 chevaux et 148 livres-pied de couple. Je l'ai trouvé plutôt rapide même si l'absence de longues lignes droites m'obligeait à rouler en première et deuxième vitesses seulement. Apparemment, la A1 peut boucler le 0-100 km/h en 8,9 secondes et j'imagine bien tout le plaisir qu'elle doit procurer sur une chaussée sèche. En général, la A1 m'a paru bien conçue et aussi compétente que ses grandes sœurs plus dispendieuses.
Les petites voitures font depuis longtemps partie de la culture européenne et elles ont la cote autant auprès des consommateurs bien nantis que de ceux ayant un budget plus serré. Malheureusement, jusqu'à ce que les conducteurs nord-américains cessent de les voir comme de vulgaires compromis économiques, il ne faut vraisemblablement pas s'attendre à voir la petite Audi débarquer chez nous.
Quel dommage!
Au lieu de compter sur une suspension ajustable, la A1 possède des jambes de force conventionnelles à l'avant et une poutre de torsion à l'arrière. La version supérieure S line dont parle la rumeur nous promet des ressorts et amortisseurs qui favorisent un roulement plus ferme et plus sportif que celui déjà très solide de la version régulière.
Tel un parcours de rallye hivernal, le circuit glacé de Mécaglisse comportait des montées et des descentes se succédant en lacet autour des sapins gorgés de neige. Dès le deuxième tour, j'ai pris confiance grâce à la stabilité rassurante de la A1, de même qu'à sa servodirection rapide et communicative.
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| La A1 peut boucler le 0-100 km/h en 8,9 secondes. (Photo: Lesley Wimbush/Auto123.com) |
Anticipant un peu de sous-virage dans les courbes glissantes, j'ai été surprise de voir le système de répartition électronique du couple éliminer pratiquement tout recours à des manœuvres de contre-braquage. En redirigeant la puissance lors du patinage des roues, la A1 s'accrochait férocement même dans les courbes en dévers. Sa voie est légèrement plus large que celle de la Polo et rehausse la sensation de stabilité.
Nous avons ouï-dire qu'une version RS biturbo de 180 chevaux figure dans les plans. Entretemps, Audi propose divers choix de motorisation accompagnés d'une boîte manuelle à six rapports ou, en option, d'une boîte automatique à double embrayage à sept rapports avec sélecteurs de vitesses au volant.
L'exemplaire que j'ai personnellement testé renfermait un quatre-cylindres de 1,4 litre développant 121 chevaux et 148 livres-pied de couple. Je l'ai trouvé plutôt rapide même si l'absence de longues lignes droites m'obligeait à rouler en première et deuxième vitesses seulement. Apparemment, la A1 peut boucler le 0-100 km/h en 8,9 secondes et j'imagine bien tout le plaisir qu'elle doit procurer sur une chaussée sèche. En général, la A1 m'a paru bien conçue et aussi compétente que ses grandes sœurs plus dispendieuses.
Les petites voitures font depuis longtemps partie de la culture européenne et elles ont la cote autant auprès des consommateurs bien nantis que de ceux ayant un budget plus serré. Malheureusement, jusqu'à ce que les conducteurs nord-américains cessent de les voir comme de vulgaires compromis économiques, il ne faut vraisemblablement pas s'attendre à voir la petite Audi débarquer chez nous.
Quel dommage!
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