Si, au contraire, vous préférez que l’ordinateur se charge de tout, optez alors pour le mode Normal et laissez le levier en position Drive. De cette façon, la boîte effectuera des passages optimaux en fonction de divers facteurs comme la vitesse, la position de l’accélérateur et le rapport déjà engagé.
D’autre part, la qualité du roulement peut varier si l’on choisit la suspension sport avec amortisseurs et ressorts 30 % plus rigides ainsi que des barres stabilisatrices renforcées. Cela dit, les ingénieurs d’Audi ont tellement fait du bon travail qu’on arrive à sentir la fermeté accrue sans se faire brasser la cage. Les bosses, les fissures et les nids-de-poule dans la chaussée sont facilement absorbés mais non masqués. En comparaison, avec la suspension régulière, les mêmes obstacles se font sentir plus en douceur.
À l’intérieur de ma Audi A3 2.0 TFSI 2009, équipée par surcroît de l’ensemble S line, le seul défaut dont je pourrais me plaindre est le positionnement des boutons pour le chauffage des sièges; ils sont difficiles à repérer. Du reste, toutes les commandes et interfaces sont à portée de main et très lisibles. En outre, une fois qu’on est habitué aux palettes sur le volant, la conduite devient presque aussi facile qu’en mode automatique.
Les sièges baquets à l’avant m’ont paru bien dessinés; ils sont assez larges pour offrir un confort adéquat et, en même temps, juste assez enveloppants pour maintenir le dos droit dans les manœuvres de virage agressives. Dans la position du conducteur, le repose-pied à gauche est assez gros pour convenir à toutes les pointures. Du côté du passager avant, le plancher bien plat favorise le confort.
À l’arrière, les occupants ont moins de chance. La A3 étant compacte, le dégagement y est limité. En vérité, l’espace que vos jambes et vos genoux auront dépendra fortement de la générosité de la personne assise devant vous. Quant au dégagement pour les hanches et la tête, il convient à deux bons adultes mais pas à trois.
La banquette arrière se rabat pour accroître le volume de chargement disponible, mais la surface qui en résulte n’est pas tout à fait plate, ce qui pose problème pour certains items. Quand je faisais de grosses emplettes, je trouvais qu’il était plus facile de remplir le coffre et de placer le reste sur la banquette que de rabattre les dossiers.
Pendant la semaine de mon essai routier, une chose étrange s’est produite. Cette covoitureuse au métier ennuyant (comptable) qu’est mon épouse a été charmée par la A3. Elle a dit qu’elle trouvait son format très adapté à la ville. Le confort a aussi été mentionné, sans oublier la traction intégrale, un élément qu’elle juge «incontournable». Tout comme moi, elle a apprécié la disposition des commandes et le confort du siège principal. Le moteur turbo 2.0 FSI a passé son test de frugalité et la boîte automatique lui a plu.
Bref, le mérite de l’Audi A3 2009 semblait faire l’unanimité entre nous, une preuve que la compagnie aux quatre anneaux réussit à attirer une clientèle diversifiée. Si au moins nous pouvions nous entendre aussi bien sur le budget familial…
photo:Matthieu Lambert
D’autre part, la qualité du roulement peut varier si l’on choisit la suspension sport avec amortisseurs et ressorts 30 % plus rigides ainsi que des barres stabilisatrices renforcées. Cela dit, les ingénieurs d’Audi ont tellement fait du bon travail qu’on arrive à sentir la fermeté accrue sans se faire brasser la cage. Les bosses, les fissures et les nids-de-poule dans la chaussée sont facilement absorbés mais non masqués. En comparaison, avec la suspension régulière, les mêmes obstacles se font sentir plus en douceur.
À l’intérieur de ma Audi A3 2.0 TFSI 2009, équipée par surcroît de l’ensemble S line, le seul défaut dont je pourrais me plaindre est le positionnement des boutons pour le chauffage des sièges; ils sont difficiles à repérer. Du reste, toutes les commandes et interfaces sont à portée de main et très lisibles. En outre, une fois qu’on est habitué aux palettes sur le volant, la conduite devient presque aussi facile qu’en mode automatique.
Les sièges baquets à l’avant m’ont paru bien dessinés; ils sont assez larges pour offrir un confort adéquat et, en même temps, juste assez enveloppants pour maintenir le dos droit dans les manœuvres de virage agressives. Dans la position du conducteur, le repose-pied à gauche est assez gros pour convenir à toutes les pointures. Du côté du passager avant, le plancher bien plat favorise le confort.
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| Le seul défaut dont je pourrais me plaindre est le positionnement des boutons pour le chauffage des sièges. |
À l’arrière, les occupants ont moins de chance. La A3 étant compacte, le dégagement y est limité. En vérité, l’espace que vos jambes et vos genoux auront dépendra fortement de la générosité de la personne assise devant vous. Quant au dégagement pour les hanches et la tête, il convient à deux bons adultes mais pas à trois.
La banquette arrière se rabat pour accroître le volume de chargement disponible, mais la surface qui en résulte n’est pas tout à fait plate, ce qui pose problème pour certains items. Quand je faisais de grosses emplettes, je trouvais qu’il était plus facile de remplir le coffre et de placer le reste sur la banquette que de rabattre les dossiers.
Pendant la semaine de mon essai routier, une chose étrange s’est produite. Cette covoitureuse au métier ennuyant (comptable) qu’est mon épouse a été charmée par la A3. Elle a dit qu’elle trouvait son format très adapté à la ville. Le confort a aussi été mentionné, sans oublier la traction intégrale, un élément qu’elle juge «incontournable». Tout comme moi, elle a apprécié la disposition des commandes et le confort du siège principal. Le moteur turbo 2.0 FSI a passé son test de frugalité et la boîte automatique lui a plu.
Bref, le mérite de l’Audi A3 2009 semblait faire l’unanimité entre nous, une preuve que la compagnie aux quatre anneaux réussit à attirer une clientèle diversifiée. Si au moins nous pouvions nous entendre aussi bien sur le budget familial…
photo:Matthieu Lambert
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