Du couple à revendre!
Car il ne faut pas oublier que sous le court capot de la 135i loge un 6-cylindres en ligne de 3,0 litres. Un biturbo fort de 300 chevaux et d’autant de livres-pied de couple. Un moteur qui déploie tout son couple dès qu’il tourne à 1400 tours! Ce qui rend la voiture très agréable à conduire même dans un trafic dense!
Ce moteur est plus nerveux que le 6-en-ligne atmosphérique de 3,0 litres qui anime la 128i. Même si ce dernier dispose de 230 chevaux pour déplacer une voiture qui ne pèse que 55 kilos de moins. Cependant, les deux turbos et une architecture de bloc-moteur différente contribuent à donner un caractère résolument sportif à la 135i.
Son moteur autorise d’ailleurs des accélérations impressionnantes, mais progressives. Tout juste 5,4 secondes suffisent à franchir les 100 km/h, soit une seconde de moins que ne requiert une 128i à boîte manuelle.
Le freinage, en outre, se révèle à la mesure de ces performances. Assuré par des disques aux quatre roues, de plus grand diamètre que ceux de la 128i, il se dose avec autant de précision que la direction. Un régal!
Forte consommation... hmmm... bof!
Certains trouveront ce biturbo gourmand. Durant nos essais, réalisés en ville et en campagne, nous avons relevé une consommation moyenne de 10,3 litres aux 100 kilomètres (de carburant super).
Cette cote s’avère tout de même légèrement inférieure à celle des concurrentes. De toute façon, l’acheteur de ce type de voiture ne priorise sans doute pas la consommation de carburant...
Il s’attend, par contre, à ce que cette voiture lui transmette un sentiment de sécurité. Écusson bleu et blanc oblige! Or à ce chapitre, la 135i, comme toute sportive à propulsion, affiche une double personnalité. Sur pavé sec, une bonne répartition de la masse (52,3% devant et 47,7% derrière) contribue à optimiser l’adhérence du train arrière. Sur un revêtement mouillé ou enneigé, avec tant de puissance acheminée aux roues arrière, cette BMW devient vite « antipatineuse ». Son système de contrôle de traction entre régulièrement en action pour atténuer les dérobades du train arrière. Mais encore, pour les éviter, on sortira avec... le X3!
En somme, la 135i représente une alternative logique aux coupés sport japonais raffinés, tout en constituant une exclusivité parmi les Européennes, à cause de son puissant moteur. Et pour ceux que ça intéresse, en allongeant 6 000 $ de plus, le coupé peut céder sa place à une décapotable, qui est aussi musclée... Un bijou, je vous dis!
photo:Matthieu Lambert
Car il ne faut pas oublier que sous le court capot de la 135i loge un 6-cylindres en ligne de 3,0 litres. Un biturbo fort de 300 chevaux et d’autant de livres-pied de couple. Un moteur qui déploie tout son couple dès qu’il tourne à 1400 tours! Ce qui rend la voiture très agréable à conduire même dans un trafic dense!
Ce moteur est plus nerveux que le 6-en-ligne atmosphérique de 3,0 litres qui anime la 128i. Même si ce dernier dispose de 230 chevaux pour déplacer une voiture qui ne pèse que 55 kilos de moins. Cependant, les deux turbos et une architecture de bloc-moteur différente contribuent à donner un caractère résolument sportif à la 135i.
Son moteur autorise d’ailleurs des accélérations impressionnantes, mais progressives. Tout juste 5,4 secondes suffisent à franchir les 100 km/h, soit une seconde de moins que ne requiert une 128i à boîte manuelle.
Le freinage, en outre, se révèle à la mesure de ces performances. Assuré par des disques aux quatre roues, de plus grand diamètre que ceux de la 128i, il se dose avec autant de précision que la direction. Un régal!
La silhouette très élégante rappelle le coupé de la Série 3. |
Forte consommation... hmmm... bof!
Certains trouveront ce biturbo gourmand. Durant nos essais, réalisés en ville et en campagne, nous avons relevé une consommation moyenne de 10,3 litres aux 100 kilomètres (de carburant super).
Cette cote s’avère tout de même légèrement inférieure à celle des concurrentes. De toute façon, l’acheteur de ce type de voiture ne priorise sans doute pas la consommation de carburant...
Il s’attend, par contre, à ce que cette voiture lui transmette un sentiment de sécurité. Écusson bleu et blanc oblige! Or à ce chapitre, la 135i, comme toute sportive à propulsion, affiche une double personnalité. Sur pavé sec, une bonne répartition de la masse (52,3% devant et 47,7% derrière) contribue à optimiser l’adhérence du train arrière. Sur un revêtement mouillé ou enneigé, avec tant de puissance acheminée aux roues arrière, cette BMW devient vite « antipatineuse ». Son système de contrôle de traction entre régulièrement en action pour atténuer les dérobades du train arrière. Mais encore, pour les éviter, on sortira avec... le X3!
En somme, la 135i représente une alternative logique aux coupés sport japonais raffinés, tout en constituant une exclusivité parmi les Européennes, à cause de son puissant moteur. Et pour ceux que ça intéresse, en allongeant 6 000 $ de plus, le coupé peut céder sa place à une décapotable, qui est aussi musclée... Un bijou, je vous dis!
photo:Matthieu Lambert