Malgré cette ambiguïté sonore, le X6 M ne dissimule aucunement sa férocité en pleine accélération et il se montre ainsi digne de porter l’emblème «M» qui identifie les modèles de haute performance de BMW. La poussée prodigieuse du double turbo avec refroidisseur m’a d’ailleurs inspiré le qualificatif «supersonique».
Six rapports et quatre roues motrices
C’est une bonne chose que les quatre roues de ce monstre soient sollicitées pour transmettre sa redoutable puissance à la route. Les décollages peuvent littéralement catapulter le véhicule, à tel point que le premier rapport ne semble durer qu’une fraction de seconde. J’exagère à peine.
Sérieusement, quand on se sert des palettes de commande manuelle au volant, le clic qui engage le deuxième rapport arrive incroyablement tôt lorsqu’on applique une solide pression sur l’accélérateur. Si vous ne suivez pas le tachymètre, qui est projeté sur le pare-brise grâce au système d’affichage tête-haute lorsque le mode «M» est activé, le moteur atteindra très rapidement sa zone de régime critique. Une telle situation démontre un manque de professionnalisme au volant et ce conducteur ne mérite pas de piloter un bolide allemand aussi sportif.
Ah, le bouton «M»!
BMW a placé son bouton «M» sur le volant pour en faciliter l’accès. Merci. Une fois que les divers réglages de performance ont été présélectionnés via l’interface iDrive, ce bouton les engage automatiquement dès que l’envie se fait sentir.
La dynamique du véhicule s’en trouve totalement et instantanément changée. J’ai même noté une différence dans le son du moteur au ralenti, qui devenait plus rauque. La réponse de l’accélérateur se veut plus rapide et les ratios de la boîte de vitesses varient afin de livrer des passages plus agressifs. La suspension, d’un naturel assez confortable, se raffermit.
Tous ces changements sont intervenus en douceur et en harmonie afin d’exploiter au maximum le potentiel du X6 M. J’ai aussi aimé le fait que le bouton «M» engendre cette transformation sans qu’on ait besoin de quitter la route des yeux. Puis, quand vient le temps de restaurer le calme, il suffit d’appuyer à nouveau sur ce bouton. Génial.
 |
| Les décollages peuvent littéralement catapulter le véhicule. |
Six rapports et quatre roues motrices
C’est une bonne chose que les quatre roues de ce monstre soient sollicitées pour transmettre sa redoutable puissance à la route. Les décollages peuvent littéralement catapulter le véhicule, à tel point que le premier rapport ne semble durer qu’une fraction de seconde. J’exagère à peine.
Sérieusement, quand on se sert des palettes de commande manuelle au volant, le clic qui engage le deuxième rapport arrive incroyablement tôt lorsqu’on applique une solide pression sur l’accélérateur. Si vous ne suivez pas le tachymètre, qui est projeté sur le pare-brise grâce au système d’affichage tête-haute lorsque le mode «M» est activé, le moteur atteindra très rapidement sa zone de régime critique. Une telle situation démontre un manque de professionnalisme au volant et ce conducteur ne mérite pas de piloter un bolide allemand aussi sportif.
Ah, le bouton «M»!
BMW a placé son bouton «M» sur le volant pour en faciliter l’accès. Merci. Une fois que les divers réglages de performance ont été présélectionnés via l’interface iDrive, ce bouton les engage automatiquement dès que l’envie se fait sentir.
La dynamique du véhicule s’en trouve totalement et instantanément changée. J’ai même noté une différence dans le son du moteur au ralenti, qui devenait plus rauque. La réponse de l’accélérateur se veut plus rapide et les ratios de la boîte de vitesses varient afin de livrer des passages plus agressifs. La suspension, d’un naturel assez confortable, se raffermit.
Tous ces changements sont intervenus en douceur et en harmonie afin d’exploiter au maximum le potentiel du X6 M. J’ai aussi aimé le fait que le bouton «M» engendre cette transformation sans qu’on ait besoin de quitter la route des yeux. Puis, quand vient le temps de restaurer le calme, il suffit d’appuyer à nouveau sur ce bouton. Génial.
 |
| BMW a placé son bouton «M» sur le volant pour en faciliter l’accès. |