Mais là où il manque le plus d'espace, c'est au niveau du rangement. Il s'agit d'un petit roadster, après tout! On retrouve entre les sièges un compartiment compact mais ingénieux permettant de dissimuler les petits effets personnels comme un sac à main, un cellulaire, un agenda, etc. Le coffre est raisonnablement volumineux, à moins que vous ne soyez un couple qui joue au golf ou qui magasine chez Costco. Les porte-gobelets sont situés aux extrémités du tableau de bord, près des rétroviseurs extérieurs. Ils accommodent parfaitement n'importe quel format de breuvage, ce qui est génial, mais mieux vaut avoir un couvercle ou un bouchon, sinon gare à vos beaux pantalons lorsque vous conduisez sportivement.
L'excellence motrice
Une chose est sûre: la Z4 ne déçoit pas à l'accélération. Munie d'un moteur à six cylindres en ligne de 3,0 litres qui développe 255 chevaux, la version 3.0si de la Z4 est propulsée de manière renversante au décollage. Parfois, il faut même être prudent. J'ai surtout été impressionnée par la nervosité de la pédale d'accélérateur. On se sent toujours en contact étroit avec la voiture, comme si elle communiquait par télépathie avec nous et comprenait nos moindres envies. Elle réagit de façon superbe à toutes les commandes du pied droit.
De son côté, la boîte manuelle à six rapports est rapide comme l'éclair et sa manipulation est exceptionnellement fluide. Les embrayages s'effectuent sans effort et avec précision grâce à un levier court favorisant une conduite dynamique. C'est une manuelle qui a l'air d'une automatique tellement elle est docile et intuitive.
Technologies et gadgets
La capote souple rétractable de la Z4 est agréable à utiliser. Elle se range dans un minuscule compartiment en quelques secondes, et ce, à la pression d'un bouton. On peut activer le mécanisme n'importe où, n'importe quand... à condition que la voiture ne bouge pas -- du tout. Le fait qu'on ne puisse même pas déployer la capote à une vitesse de 30 km/h, disons, est une insulte à la technologie moderne. Prendre la peine de s'arrêter sur le bord de la route pour ouvrir ou fermer la capote est une vraie perte de temps, surtout avec un bolide aussi amusant à conduire.
 |
| La boîte manuelle à six rapports est bien assortie au moteur à six cylindres en ligne de 3,0 litres. |
L'excellence motrice
Une chose est sûre: la Z4 ne déçoit pas à l'accélération. Munie d'un moteur à six cylindres en ligne de 3,0 litres qui développe 255 chevaux, la version 3.0si de la Z4 est propulsée de manière renversante au décollage. Parfois, il faut même être prudent. J'ai surtout été impressionnée par la nervosité de la pédale d'accélérateur. On se sent toujours en contact étroit avec la voiture, comme si elle communiquait par télépathie avec nous et comprenait nos moindres envies. Elle réagit de façon superbe à toutes les commandes du pied droit.
De son côté, la boîte manuelle à six rapports est rapide comme l'éclair et sa manipulation est exceptionnellement fluide. Les embrayages s'effectuent sans effort et avec précision grâce à un levier court favorisant une conduite dynamique. C'est une manuelle qui a l'air d'une automatique tellement elle est docile et intuitive.
Technologies et gadgets
La capote souple rétractable de la Z4 est agréable à utiliser. Elle se range dans un minuscule compartiment en quelques secondes, et ce, à la pression d'un bouton. On peut activer le mécanisme n'importe où, n'importe quand... à condition que la voiture ne bouge pas -- du tout. Le fait qu'on ne puisse même pas déployer la capote à une vitesse de 30 km/h, disons, est une insulte à la technologie moderne. Prendre la peine de s'arrêter sur le bord de la route pour ouvrir ou fermer la capote est une vraie perte de temps, surtout avec un bolide aussi amusant à conduire.
 |
| Le design de la Z4 est unique et impossible à confondre avec toute autre voiture. |