Habitacle
En ouvrant la portière du conducteur de la Cavalier, vous retrouverez un habitacle qui, selon moi, mérite la médaille d'or en matière de finition bâclée et d'inconfort. Il est inadmissible qu'en 2004, on puisse se retrouver en présence de plastiques si bon marché et d'une qualité d'assemblage qui frise la catastrophe. Ne soyez d'ailleurs pas surpris si vous entendez quelques bruits étranges provenant du tableau de bord ou des portières, car le frottement des plastiques et les ajustements divers, s'ils existent, occasionnent une cacophonie qui vous obligera à monter le volume de la radio. Et que dire de l'accoudoir central installé dans les versions VLX et Z24 qui est à ce point mal fixé que votre bras fait constamment la navette d'un siège à l'autre. L'ergonomie en soit n'est cependant pas si mal, car les commandes et les boutons, si peu nombreux soient-ils, sont placés de façon à accommoder le conducteur. Un seul bémol de ce côté, il est impossible de placer un café dans le porte-verre si vous comptez régler la température de votre habitacle, car votre gobelet viendra se placer juste devant les commandes. Les sièges semblent confortables à première vue et munis de bons supports latéraux, mais lorsqu'on y prend place, c'est une toute autre histoire. En plus de posséder une assise trop longue et trop basse pour plusieurs, la mollesse des coussins et l'absence de réels supports font de ces baquets les plus inconfortables qui soient. De plus, ils ne sont même pas ajustables en hauteur et ce, sur toutes les versions. Quant à la banquette arrière, elle se compare à celles que l'on retrouve dans un autobus scolaire, soit plate, à peine inclinée et tout aussi inconfortable. La seule différence est qu'elle peut se rabattre pour optimiser l'espace cargo.
Équipement
La Cavalier en version VL est sans contredit la berline compacte la plus dénudée actuellement offerte sur le marché. L'habitacle brille par l'absence d'un volant inclinable, d'un lecteur de cassettes ou de disques compacts, de tapis protecteurs et d'essuie-glaces intermittents. De plus, seul le rétroviseur extérieur du côté gauche est ajustable de l'intérieur, un autre bel exemple d'économie de bouts de chandelle comme seul GM est capable d'en faire.
En ouvrant la portière du conducteur de la Cavalier, vous retrouverez un habitacle qui, selon moi, mérite la médaille d'or en matière de finition bâclée et d'inconfort. Il est inadmissible qu'en 2004, on puisse se retrouver en présence de plastiques si bon marché et d'une qualité d'assemblage qui frise la catastrophe. Ne soyez d'ailleurs pas surpris si vous entendez quelques bruits étranges provenant du tableau de bord ou des portières, car le frottement des plastiques et les ajustements divers, s'ils existent, occasionnent une cacophonie qui vous obligera à monter le volume de la radio. Et que dire de l'accoudoir central installé dans les versions VLX et Z24 qui est à ce point mal fixé que votre bras fait constamment la navette d'un siège à l'autre. L'ergonomie en soit n'est cependant pas si mal, car les commandes et les boutons, si peu nombreux soient-ils, sont placés de façon à accommoder le conducteur. Un seul bémol de ce côté, il est impossible de placer un café dans le porte-verre si vous comptez régler la température de votre habitacle, car votre gobelet viendra se placer juste devant les commandes. Les sièges semblent confortables à première vue et munis de bons supports latéraux, mais lorsqu'on y prend place, c'est une toute autre histoire. En plus de posséder une assise trop longue et trop basse pour plusieurs, la mollesse des coussins et l'absence de réels supports font de ces baquets les plus inconfortables qui soient. De plus, ils ne sont même pas ajustables en hauteur et ce, sur toutes les versions. Quant à la banquette arrière, elle se compare à celles que l'on retrouve dans un autobus scolaire, soit plate, à peine inclinée et tout aussi inconfortable. La seule différence est qu'elle peut se rabattre pour optimiser l'espace cargo.Équipement
La Cavalier en version VL est sans contredit la berline compacte la plus dénudée actuellement offerte sur le marché. L'habitacle brille par l'absence d'un volant inclinable, d'un lecteur de cassettes ou de disques compacts, de tapis protecteurs et d'essuie-glaces intermittents. De plus, seul le rétroviseur extérieur du côté gauche est ajustable de l'intérieur, un autre bel exemple d'économie de bouts de chandelle comme seul GM est capable d'en faire.