Détail singulier: un indicateur de suralimentation est placé sur le montant avant gauche, ajoutant une touche sportive mais plus ou moins pratique. En effet, il requière trop d'attention de la part du pilote à des moments où celui-ci devrait se concentrer entièrement sur la route.
Puissance turbo, performance accrue
Le fait de remplacer le compresseur volumétrique par un turbocompresseur a haussé la puissance du moteur Ecotec à quatre cylindres de 2,0 litres. Celui-ci génère maintenant 260 chevaux à 6200 tours/minute et autant de livres-pied de couple à seulement 2000 tours/minute.
Pour tout vous dire, j'ai été très impressionné par le moteur de la Cobalt SS. Sa courbe de puissance est généreuse et ses poussées sont toujours soutenues. De plus, il adore taquiner la zone de régime critique («redline»). À la différence de nombreux moteurs japonais à quatre cylindres qui explosent au-delà de 5000 tours/minute, ce turbo américain y va à fond de train quel que soit le rapport engagé (ou presque).
Technologies de course
Je ne connais aucun bolide de performance à prix comparable qui offre des gadgets inspirés de la course comme le fait la Cobalt SS 2008. En appuyant deux fois sur le bouton du système StabiliTrak, on actionne le mode Compétition, qui fait appel à un dispositif de contrôle du décollage ainsi qu'à une fonction d'embrayage «à la volée».
Pour partir en trombe à un feu de circulation, écrasez la pédale d'embrayage et l'accélérateur contre le plancher et le moteur patientera à 5100 tours/minute jusqu'à ce que vous leviez le pied gauche. À ce moment, les pneus avant patineront momentanément puis le différentiel à glissement limité bloquera le tout et catapultera la voiture vers l'avant. Lorsque vous vous rapprocherez du seuil critique de 6300 tours/minute, ladite fonction d'embrayage «à la volée» vous permettra de changer de vitesse avec la boîte manuelle à cinq rapports sans même devoir relâcher la pédale d'accélérateur. Génial, n'est-ce pas?
Cette fonction interrompt électroniquement la puissance quand on appuie sur l'embrayage et la rétablit automatiquement quand on relâche. De cette façon, la voiture ne souffre pas du décalage normalement associé aux impulsions de l'accélérateur. En bout de ligne, on peut atteindre les 100 km/h en moins de 6 secondes avec la Cobalt SS.
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| Sa courbe de puissance est généreuse et ses poussées sont toujours soutenues. |
Puissance turbo, performance accrue
Le fait de remplacer le compresseur volumétrique par un turbocompresseur a haussé la puissance du moteur Ecotec à quatre cylindres de 2,0 litres. Celui-ci génère maintenant 260 chevaux à 6200 tours/minute et autant de livres-pied de couple à seulement 2000 tours/minute.
Pour tout vous dire, j'ai été très impressionné par le moteur de la Cobalt SS. Sa courbe de puissance est généreuse et ses poussées sont toujours soutenues. De plus, il adore taquiner la zone de régime critique («redline»). À la différence de nombreux moteurs japonais à quatre cylindres qui explosent au-delà de 5000 tours/minute, ce turbo américain y va à fond de train quel que soit le rapport engagé (ou presque).
Technologies de course
Je ne connais aucun bolide de performance à prix comparable qui offre des gadgets inspirés de la course comme le fait la Cobalt SS 2008. En appuyant deux fois sur le bouton du système StabiliTrak, on actionne le mode Compétition, qui fait appel à un dispositif de contrôle du décollage ainsi qu'à une fonction d'embrayage «à la volée».
Pour partir en trombe à un feu de circulation, écrasez la pédale d'embrayage et l'accélérateur contre le plancher et le moteur patientera à 5100 tours/minute jusqu'à ce que vous leviez le pied gauche. À ce moment, les pneus avant patineront momentanément puis le différentiel à glissement limité bloquera le tout et catapultera la voiture vers l'avant. Lorsque vous vous rapprocherez du seuil critique de 6300 tours/minute, ladite fonction d'embrayage «à la volée» vous permettra de changer de vitesse avec la boîte manuelle à cinq rapports sans même devoir relâcher la pédale d'accélérateur. Génial, n'est-ce pas?
Cette fonction interrompt électroniquement la puissance quand on appuie sur l'embrayage et la rétablit automatiquement quand on relâche. De cette façon, la voiture ne souffre pas du décalage normalement associé aux impulsions de l'accélérateur. En bout de ligne, on peut atteindre les 100 km/h en moins de 6 secondes avec la Cobalt SS.
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| Le moteur de la Cobalt SS génère maintenant 260 chevaux à 6200 tours/minute. |