À l'intérieur, Chevrolet propose un décor qui peut réellement rivaliser avec les meilleurs de la catégorie. Bien que les plastiques soient un peu trop durs à mon goût, la disposition de la console centrale, les rangements bien pensés et l'ergonomie générale de l'habitacle se révèlent de première classe.
L'item le plus cool, à mes yeux, reste sans contredit l'instrumentation inspirée d'une moto. Petite, simple mais possiblement l'une des plus futuristes que j'aie jamais vue, elle m'a donné un peu de fil à retordre au début, mais une fois habituée, je suis tombée en amour. Tout comme dans la MINI Cooper, impossible de cacher notre vitesse aux autres occupants de la voiture tellement l'indicateur (numérique) est gros et bien à la vue.
Le style de l'habitacle (qu'on peut accentuer en optant pour un revêtement deux tons) plaira assurément à la clientèle ciblée par Chevrolet, à savoir les jeunes célibataires branchés.
Ce que j'ai trouvé le plus intéressant, c'est la préséance du design et de la personnalité sur la conduite. Oui, la Sonic est agréable à conduire, mais elle n'excite pas. J'ai commencé la journée au volant de la version haut de gamme LTZ (20 495 $) avec moteur Ecotec turbocompressé de 1,4 litre. Considérant ses 138 chevaux (même puissance que le quatre-cylindres de 1,8 litre des versions LS et LT) et ses 148 livres-pied de couple, je m'attendais à des accélérations plus fougueuses.
La boîte manuelle à six rapports qui l'accompagne se manipule sans effort, si bien que je la recommanderais fortement à tous ceux qui s'initient à la conduite manuelle. Toutefois, alors que Chevrolet vante le décalage réduit de son moteur turbo (90 % du couple est disponible à 2400 tours/minute), j'aurais aimé le sentir un peu plus.
Traitez-moi de capricieuse, mais ça me fâche quand un turbocompresseur moderne me cache quelque chose. Je veux l'entendre, je veux le sentir, je veux savoir qu'il est là. Mon commentaire s'applique à tous les fabricants. J'ai fait le même reproche au BMW X1 et à la Subaru Impreza WRX. En ce sens, j'appartiens peut-être encore à la vieille école, mais ne parlons pas de ça ici...
La Sonic LT avec boîte automatique à six rapports s'est montrée plaisante et relativement économe d'essence. Chevrolet promet une consommation de 5,1 L/100 km sur l'autoroute et de 7,7 L/100 km en ville; j'ai obtenu une moyenne de 7,8 en combinant routes de campagne, autoroute et un peu de boulevards congestionnés.
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| À l'intérieur, Chevrolet propose un décor qui peut réellement rivaliser avec les meilleurs de la catégorie. (Photo: Chevrolet) |
L'item le plus cool, à mes yeux, reste sans contredit l'instrumentation inspirée d'une moto. Petite, simple mais possiblement l'une des plus futuristes que j'aie jamais vue, elle m'a donné un peu de fil à retordre au début, mais une fois habituée, je suis tombée en amour. Tout comme dans la MINI Cooper, impossible de cacher notre vitesse aux autres occupants de la voiture tellement l'indicateur (numérique) est gros et bien à la vue.
Le style de l'habitacle (qu'on peut accentuer en optant pour un revêtement deux tons) plaira assurément à la clientèle ciblée par Chevrolet, à savoir les jeunes célibataires branchés.
Ce que j'ai trouvé le plus intéressant, c'est la préséance du design et de la personnalité sur la conduite. Oui, la Sonic est agréable à conduire, mais elle n'excite pas. J'ai commencé la journée au volant de la version haut de gamme LTZ (20 495 $) avec moteur Ecotec turbocompressé de 1,4 litre. Considérant ses 138 chevaux (même puissance que le quatre-cylindres de 1,8 litre des versions LS et LT) et ses 148 livres-pied de couple, je m'attendais à des accélérations plus fougueuses.
La boîte manuelle à six rapports qui l'accompagne se manipule sans effort, si bien que je la recommanderais fortement à tous ceux qui s'initient à la conduite manuelle. Toutefois, alors que Chevrolet vante le décalage réduit de son moteur turbo (90 % du couple est disponible à 2400 tours/minute), j'aurais aimé le sentir un peu plus.
Traitez-moi de capricieuse, mais ça me fâche quand un turbocompresseur moderne me cache quelque chose. Je veux l'entendre, je veux le sentir, je veux savoir qu'il est là. Mon commentaire s'applique à tous les fabricants. J'ai fait le même reproche au BMW X1 et à la Subaru Impreza WRX. En ce sens, j'appartiens peut-être encore à la vieille école, mais ne parlons pas de ça ici...
La Sonic LT avec boîte automatique à six rapports s'est montrée plaisante et relativement économe d'essence. Chevrolet promet une consommation de 5,1 L/100 km sur l'autoroute et de 7,7 L/100 km en ville; j'ai obtenu une moyenne de 7,8 en combinant routes de campagne, autoroute et un peu de boulevards congestionnés.
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| L'item le plus cool, à mes yeux, reste sans contredit l'instrumentation inspirée d'une moto. (Photo: Chevrolet) |