Durant les dernières vacances des Fêtes, je suis complètement tombé sous le charme de la voiture que je conduisais. Car je ne m’en suis jamais caché : les produits Volkswagen occupent une place bien spéciale dans mon cœur.
La voiture qui a suscité chez moi autant d’émoi maintes et maintes fois sur Instagram et Twitter (Matt_St_Pierre) et sur Facebook n’est nulle autre que la Volkswagen Golf R 2012 déclinée en Bleu aurore.
À 39 675 $, la Volkswagen Golf R partage le terrain avec la Subaru STI (38 195 $) et la Mitsubishi EVO X (41 998 $), même si les passionnés diront que la Golf n’est pas à la hauteur en termes de performance. Elle n’offre pas autant de puissance et de couple et il lui manque certaines particularités propres aux grandes sportives, qu’il s’agisse de l’imposant becquet ou des logements de roues évasés. Mais elle remporte la palme pour ce qui est de la classe.
Quiconque a déjà pris le volant de toutes ces voitures sait où je veux en venir. Les légendaires caractéristiques allemandes de précision, de ferveur et d’efficacité globale, qui ne mettent en danger ni l’équilibre mental, la santé ou l’audition, rendent cette voiture exceptionnelle.
Seulement voilà : si j’avais conduit une EVO ou une STI durant toute une semaine, je me serais probablement tout autant épanché sur ces voitures que sur la R.
À propos de la Mitsubishi EVO, j’aurais vanté sa direction précise, son châssis complètement dépassé et son incroyable agilité. Si j’avais piloté une STI, je n’aurais pu m’empêcher de louanger sa robuste puissance brute, sa traction hors du commun et son comportement de char d’assaut.
Toutes ces voitures se seraient gentiment moquées de la première grosse tempête de neige de l’hiver qui nous a laissé 45 cm d’or blanc en 24 heures. Elles disposent toutes d’un excellent rouage intégral doté d’avantages distincts.
En ce qui concerne la Volkswagen Golf R 2012, l’embrayage Haldex de sa transmission intégrale passe sans se fatiguer au couple nécessaire pour entraîner le train arrière. Ainsi, sur la chaussée enneigée particulièrement glissante, les roues arrière recevaient toute la puissance que pouvait leur donner le 2,0T, pour un plaisir sans borne. Il en faut un peu plus pour emballer l’arrière-train de la Subaru STI. Quant à la Mitsubishi EVO S-AWC, elle est légendaire pour être parfaite sur toute la ligne.
Bref, ce que j’essaie de dire, c’est que la Golf R n’est peut-être pas la panacée des supervoitures abordables, mais c’est un produit incroyable. Tous les constructeurs automobiles ont la capacité de construire une voiture comme celle-là et sur laquelle je pourrais m’épancher – même Toyota.
En fait, il fut un temps où Toyota prenait part au World Rallye Championship (WRC) avec une Corolla turbocompressée à transmission intégrale. Si cette voiture devait revenir, Toyota tomberait dans mes grâces. Cherchez donc sur Google.
Quoi qu’il en soit, Volkswagen Golf R mérite tout l’amour qu’elle m’a inspiré. Et je suis prêt à recommencer.
La voiture qui a suscité chez moi autant d’émoi maintes et maintes fois sur Instagram et Twitter (Matt_St_Pierre) et sur Facebook n’est nulle autre que la Volkswagen Golf R 2012 déclinée en Bleu aurore.
 |
| Photo: Mathieu St-Pierre |
À 39 675 $, la Volkswagen Golf R partage le terrain avec la Subaru STI (38 195 $) et la Mitsubishi EVO X (41 998 $), même si les passionnés diront que la Golf n’est pas à la hauteur en termes de performance. Elle n’offre pas autant de puissance et de couple et il lui manque certaines particularités propres aux grandes sportives, qu’il s’agisse de l’imposant becquet ou des logements de roues évasés. Mais elle remporte la palme pour ce qui est de la classe.
Quiconque a déjà pris le volant de toutes ces voitures sait où je veux en venir. Les légendaires caractéristiques allemandes de précision, de ferveur et d’efficacité globale, qui ne mettent en danger ni l’équilibre mental, la santé ou l’audition, rendent cette voiture exceptionnelle.
Seulement voilà : si j’avais conduit une EVO ou une STI durant toute une semaine, je me serais probablement tout autant épanché sur ces voitures que sur la R.
À propos de la Mitsubishi EVO, j’aurais vanté sa direction précise, son châssis complètement dépassé et son incroyable agilité. Si j’avais piloté une STI, je n’aurais pu m’empêcher de louanger sa robuste puissance brute, sa traction hors du commun et son comportement de char d’assaut.
Toutes ces voitures se seraient gentiment moquées de la première grosse tempête de neige de l’hiver qui nous a laissé 45 cm d’or blanc en 24 heures. Elles disposent toutes d’un excellent rouage intégral doté d’avantages distincts.
En ce qui concerne la Volkswagen Golf R 2012, l’embrayage Haldex de sa transmission intégrale passe sans se fatiguer au couple nécessaire pour entraîner le train arrière. Ainsi, sur la chaussée enneigée particulièrement glissante, les roues arrière recevaient toute la puissance que pouvait leur donner le 2,0T, pour un plaisir sans borne. Il en faut un peu plus pour emballer l’arrière-train de la Subaru STI. Quant à la Mitsubishi EVO S-AWC, elle est légendaire pour être parfaite sur toute la ligne.
Bref, ce que j’essaie de dire, c’est que la Golf R n’est peut-être pas la panacée des supervoitures abordables, mais c’est un produit incroyable. Tous les constructeurs automobiles ont la capacité de construire une voiture comme celle-là et sur laquelle je pourrais m’épancher – même Toyota.
En fait, il fut un temps où Toyota prenait part au World Rallye Championship (WRC) avec une Corolla turbocompressée à transmission intégrale. Si cette voiture devait revenir, Toyota tomberait dans mes grâces. Cherchez donc sur Google.
Quoi qu’il en soit, Volkswagen Golf R mérite tout l’amour qu’elle m’a inspiré. Et je suis prêt à recommencer.