Des sources ont révélé à Automotive News que Chrysler serait sur le point de rembourser ses dettes d'environ 7,5 milliards de dollars aux gouvernements américains et canadiens, afin de se placer dans une position financière plus avantageuse.
Selon les informations amassées, le montant que le fabricant déboursera sera composé de 3,5 milliards en obligations, d'un prêt à terme de 2,5 milliards et d'approximativement 1,3 milliard de fonds provenant de Fiat.
Pour l'instant, ce sont les seuls détails disponibles, et Chrysler n'a pas voulu commenter la nouvelle, désirant garder les discussions les plus privées que possible d'ici à l'annonce officielle. À ce moment, les renseignements entourant les obligations devraient être divulgués en détail.
Rappelons que cette stratégie de refinancement fera en sorte que l'entreprise de Auburn Hills pourra profiter de taux d'intérêt plus bas et ainsi réduire la taille de ses paiements. Parallèlement à cela, Fiat devrait voir sa participation passer de 30 à 46%.
Malgré tout, l'Associated Press affirme que Chrysler aurait toujours une dette évaluée à environ deux milliards envers l'administration Obama qui a décidé de la sauver de la faillite en 2009. Ce montant pourrait cependant être amorti quand le gouvernement américain vendra ses actions totalisant 8,6% des parts du fabricant.
Source : Automotive News
Selon les informations amassées, le montant que le fabricant déboursera sera composé de 3,5 milliards en obligations, d'un prêt à terme de 2,5 milliards et d'approximativement 1,3 milliard de fonds provenant de Fiat.
Pour l'instant, ce sont les seuls détails disponibles, et Chrysler n'a pas voulu commenter la nouvelle, désirant garder les discussions les plus privées que possible d'ici à l'annonce officielle. À ce moment, les renseignements entourant les obligations devraient être divulgués en détail.
Rappelons que cette stratégie de refinancement fera en sorte que l'entreprise de Auburn Hills pourra profiter de taux d'intérêt plus bas et ainsi réduire la taille de ses paiements. Parallèlement à cela, Fiat devrait voir sa participation passer de 30 à 46%.
Malgré tout, l'Associated Press affirme que Chrysler aurait toujours une dette évaluée à environ deux milliards envers l'administration Obama qui a décidé de la sauver de la faillite en 2009. Ce montant pourrait cependant être amorti quand le gouvernement américain vendra ses actions totalisant 8,6% des parts du fabricant.
Source : Automotive News